NET PRESS
TEL.(257)217080
B.P;.2775
FAX.(257)217614
E-MAIL ADDRESS:netpress@cbinf.com
Bujumbura-Burundi.
BURUNDI - NEGOCIATIONS.

LES POURPARLERS INTERBURUNDAIS AU 6E ROUND A ARUSHA.

ARUSHA, LE 14 SEPTEMBRE 1999 (NET PERSS). LES NEGOCIATIONS A ARUSHA SONT ENTREES DANS LEUR 6E PHASE DEPUIS LE 13 SEPTEMBRE 1999. LES EVEQUES CATHOLIQUES DU BURUNDI QUI SONT REUNIS POUR LE MOMENT A ROME EN ITALIE ONT RENDU PUBLIQUE UNE DECLARATION EN DATE DU 9 SEPTEMBRE 1999 SELON LAQUELLE LES POLITICIENS S'NTREDECHIRENT DAVANTAGE AU LIEU DE FAIRE UN SURSAUT POUR SAUVER LA NATION. ILS ENCOURAGENT LA POURSUITE DES NEGOCIATIONS AVEC TOUTES LES PARTIES AU CONFLIT, DONT LE CNDD-FDD. DE SON COTE, LE PALIPEHUTU-FNL A FAIT SAVOIR EN DATE DU 11 SEPTEMBRE 1999 A LA COMMUNAUTE NATIONALE ET INTERNATIONALE QUE "LES ACCORDS DE PAIX QUI POURRAIENT ETRE SIGNES A ARUSHA N'ENGAGE PAR LES PALIPEHUTU-FNL POUR LA BONNE RAISON QU'IL A ETE ECARTE DES NEGOCIATIONS. TOUTES LES CONSEQUENCES PREVISIBLES ET IMPREVISIBLES DE CET ETAT DE FAIT INCOMBENT AU GOUVERNEMENT ET A SES PARTENAIRES".

BURUNDI - ECONOMIE.

LE GOUVERNEUR DE LA BRB DONNE DES PRECISIONS SUR UN ARTICLE PARU DANS NET PRESS.

BUJUMBURA, LE 14 SEPTEMBRE 1999 (NET PRESS). DANS SA DEPECHE DU 3 SEPTEMBRE 1999, LA REDACTION AVAIT INDIQUE QUE "SELON UNE SOURCE NON ENCORE CONFIRMEE OFFICIELLEMENT, UNE MISSION DE CONTROLE A ETE DEPECHEE AUPRES DE L'A ABC (BASEE DANS LES LOCAUX D'AFFIMET) MAIS ELLE A ETE EMPECHEE DE TRAVAILLER". LE GOUVERNEUR DE LA BRB, M. GREGOIRE BANYIYEZAKO A INDIQUE A LA REDACTION QU'IL Y AVAIT EU CONFUSION. EN EFFET, LE MINISTRE DU COMMERCE DE L'EPOQUE, M. NESTOR NYABENDA, AVAIT INDIQUE A LA BANQUE ABC QU'ELLE N'ETAIT PAS CONCERNEE PAR LE CONTROLE DE LA BANQUE CENTRALE POUR LA SIMPLE RAISON QU'ELLE A ETE AGREEE DANS LE CADRE DE LA ZONE FRANCHE. CETTE EQUIVOQUE A ETE LEVEE ET POUR LE MOMENT, UNE MISSION D'INSPECTION DE LA BRB TRAVAILLE A LA BANQUE ABC DEPUIS LE 2 AOUT 1999.

BURUNDI - SYNDICAT.

LE SERVICE CHARGE DES ENTREPRISES PUBLIQUES (SCEP) REAGIT AUX SLOGANS DU SYNDICAT DE L'ONATEL.

BUJUMBURA, LE 14 SEPTEMBRE 1999 (NET PRESS). DANS SA DEPECHE D'HIER 13 SEPTEMBRE 1999, LA REDACTION A DECRIT LE CONTENU LES SLOGANS QUE LE SYNDICAT DES POSTES, TRANSPORTS ET TELECOMMUNICATIONS - SPTT A RENDU PUBLIC. LE SCEP A REAGI A CES SLOGANS ET NET PRESS PROPOSE L'ENTIERETE DE SES REACTIONS.

"AVANT DE REAGIR AUX SLOGANS DU SYNDICAT SPTT, LE SCEP VOUDRAIT RAPPELER SON MANDAT GENERAL ET SON ROLE PARTICULIER DANS LA GESTION DES INVESTISSEMENTS DES SPP. 1. SCEP : CABINET CONSEIL. LA MISSION DU SCEP EST AXEE SUR 2 VOLETS ESSENTIELS : (i) L'ASSISTANCE - CONSEIL DES SOCIETES A PARTICIPATION PUBLIQUE (SPP) ET DU GOUVERNEMENT EN MATIERE DE GESTION; (ii) LA REFORME STRUCTURELLE QUI INCLUT, ENTRE AUTRES, LE VOLET RELATIF A LA PRIVATISATION. 2. ROLE DU SCEP DANS LA GESTION DES INVESTISSEMENTS DES SPP. LE SCEP EST CHARGE, ENTRE AUTRES : (i) D'ANALYSER LES PROJETS D'INVESTISSMENTS ELABORES PAR LES SPP; (ii). D'APPRECIER LEUR OPPORTUNITE, LEUR PERTINENCE NOTAMMENT QUANT AU RAPPORT COUT/AVANTAGE ET LE CHOIX DE LA TECHNOLOGIE, LES SOURCES DE FINANCEMENT, LES SOURCES D'APPROVISIONNEMENT ENVISAGES AINSI QUE LE RESPECT DES NORMES JURIDIQUES ET TECHNIQUES APPLICABLES. C'EST DANS CE CADRE QUE LE SCEP A CONSEILLE L'ONATEL A OPERER UN CHOIX JUDICIEUX AUSSI BIEN EN MATIERE TECHNIQUE ET TECHNOLOGIQUE QU'EN MATIERE FINANCIERE DE SON INVESTISSEMENT. LE SCEP DECONSEILLE TOUT INVESTISSEMENT DES SOCIETES A PARTICIPATION PUBLIQUE SANS ETUDES TECHNIQUES ET FINANCIERES DE SON INVESTISSMENT. LE SCEP DECONSEILLE TOUT INVESTISSMENT DES SOCIETES A PARTICIPATION PUBLIQUE SANS ETUDES TECHNIQUES ET FINANCIERE SURTOUT.

3. SCEP: AUCUN AGENDA CACHE, AUCUNE COALITION AVEC LES CORRUPTEURS. i) LE SCEP VIENT D'APPRENDRE AVEC STUPEFACTION LES AFFIRMATIONS GRATUITES RENDUES PUBLIQUES PAR LE SYNDICAT-SPTT CE LUNDI 13/9/99 L'ACCUSANT NOTAMMENT D'AVOIR UN AGENDA CACHE, DE SE COALISER AVEC LES PERSONNES VOUEES A LA CORRUPTION. ii) LE SCEP REJETTE CES ALLEGATIONS GRATUITES ET INFAMANTES QUI CAUSENT UN GRAND PREJUDICE A L'IMAGE DE MARQUE DE CETTE INSTITUTION, A LA MORALITE ET A L'HONORABILITE DE SON PERSONNEL. iii) EN CONSEQUENCE, LE SCEP VIENT DE SAISIR LE PARQUET GENERAL DE LA REPUBLIQUE POUR MENER DES ENQUETES, QUALIFIER LES FAITS ET FIXER DES RESPONSABILITES DES AUTEURS AFIN DE REPARER LE PREJUDICE SUBI. iv) LE SCEP RAPPELLE CE QUI SUIT : - LE SCEP AGIT ET AGIRA TOUJOURS DANS LE CADRE DE SON MANDAT EN TANT QUE CABINET CONSEIL DU GOUVERNEMENT EN MATIERE DE GESTION ET DE REFORME DU SECTEUR PARAPUBLIC. - LE SCEP N'A PAS D'AGENDA CACHE. AU CONTRAIRE, LE SCEP CONSEILLE LA TRANSPARENCE ET LA REGULARITE DANS LA GESTION CONFORMEMENT AUX LOIS, AUX STATUTS ET REGLEMENTS REGISSANT LES SPP. - LE SCEP N'A AUCUNE COALITION AVEC LES PERSONNES VOUEES A LA CORRUPTION. LE SCEP S'EMPLOIE PLUTOT A PREVENIR LA CORRUPTION ET TOUTES SORTES DE MALVERSATIONS EN CONSEILLANT L'EFFICACITE ET L'EFFICIENCE DANS TOUT ACTE DE GESTION DES SPP EN GENERAL ET DANS LA GESTION DES INVESTISSEMENTS EN PARTICULIER".

BURUNDI - SYNDICAT.

LE CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ONATEL REAFFIRME L'OPTION DE L'ACHAT D'UN NOUVEAU CENTRAL.

BUJUMBURA, LE 14 SEPTEMBRE 1999 (NET PRESS). LE CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'ONATEL S'EST REUNI HIER 13 SEPTEMBRE 1999 EN REUNION EXTRAORDINAIRE. IL A CONDAMNE LE MOUVEMENT DE GREVE ORGANISE AUTOUR DU DOSSIER "ACHAT D'UN NOUVEAU CENTRAL" ALORS QUE LES AUTORITES HABILITEES ETAIENT EN TRAIN DE LUI TROUVER UNE SOLUTION. IL REAFFIRME L'OPTION DE L'ACHAT D'UN NOUVEAU CENTRAL EQUIPE A12.500 ABONNES, MAIS CABLE POUR 20.000 ABONNES ET EXTENSIBLE JUSQU'A 50.000 ABONNES. IL DEMANDE A LA DIRECTION D'ADAPTER SANS DELAIS LE DOSSIER D'APPEL D'OFFRES CONFORMEMENT A LA DECISION PRECEDENTE. IL DEMANDE ENFIN AU MINISTRE DE TUTELLE DE VOIR AVEC LE MINISTRE DES FINANCES COMMENT ACCELERER LES PROCEDURES D'ACQUISITION DE CE CENTRAL DANS LE RESPECT DES LOIS ET REGLEMENTS EN VIGUEUR. MALGRE CETTE MAIN TENDUE PAR LE CONSEIL D'ADMINISTRATION A L'ENDROIT DU SYNDICAT, LES AGENTS DE L'ONATEL N'ONT PAS TRAVAILLE AUJOURD'HUI. ILS ATTENDENT LA LIBERATION DU SECRETAIRE GENERAL DE LEUR SYNDICAT, M. ILDEPHONSE NDAGIJIMANA, QUI EST ECROUE A LA DOCUMENTATION NATIONALE DEPUIS VENDREDI 10 SEPTEMBRE 1999.

BURUNDI - SYNDICAT.

DES REACTIONS CONCERNANT L'ARRESTATION DU DR. HAJAYANDI.

BUJUMBURA, LE 14 SEPTEMBRE 1999 (NET PRESS). LE DR. PIERRE CLAVER HAJAYANDI, PRESIDENT DU SYNDICAT DES TRAVAILLEURS DE L'INSS, EST EMPRISONNE DEPUIS VENDREDI 10 SEPTEMBRE 1999. DEPUIS, IL N'A RECU AUCUNE VISITE DE LA PART DE SES AMIS ET PARENTES.

LE DIRECTEUR GENERAL DE L'INSS, M. THEODORE KAMWENUBUSA, A REUNI LES CADRES DE L'INSS CE MATIN POUR DISCUTER DES DEMARCHES A FAIRE EN VUE DE LA LIBERATION DU DR. PIERRE CLAVER HAJAYANDI. EN EFFET, A-T-IL PRECISE, JUSQU'HIER, LE DR. PIERRE CLAVER HAJAYANDI N'AVAIT PAS DROIT A AUCUNE VISITE. L'INSS VA TOUT FAIRE POUR SAVOIR POURQUOI IL EST ARRETE. EN OUTRE, A AJOUTE LE DIRECTEUR GENERAL, LE DR. HAJAYANDI A DES PROBLEMES D'ESTOMAC. CETTE SITUATION RISQUE DE S'AGGRAVER SI LES CONDITIONS DE SA DETENTION NE SONT PAS AMELIOREES.

MME GLORIOSE RUTERAKAGAYO, SON EPOUSE ET M. RAPHAEL HORUMPENDE (FRERE JUMEAU DU DR. HAJAYANDI) ONT ECRIT EN DATE DU 13 SEPTEMBRE 1999 A TOUTE ORGANISATION LUTTANT POUR LE RESPECT DES DROITS DE L'HOMME. ILS DECLARENT NE PAS ETRE AU COURANT DES RAISONS DE L'ARRESTATION DU DR. HAJAYANDI ET DE SON ETAT DE SANTE. SELON LA LETTRE, LE COMMANDANT DE DISTRICT, LE MAJOR FABIEN NDAYISHIMIYE, "A DONNE CE DIMANCHE 12 SEPTEMBRE 1999 DES ORDRES AUX GENDARMES DU DISTRICT, COMME QUOI LE DOCTEUR HAJAYANDI DOIT ETRE MIS DANS UN CACHOT ET DANS DES CONDITIONS INTENABLES. DIMANCHE 12 SEPTEMBRE, LE DR. HAJAYANDI N'A PAS MANGE JUSQU'A 16 HEURES (HEURE DE LA REDACTION DE CETTE LETTRE) ALORS QU'IL SOUFFRE D'UN UCERE D'ESTOMAC TRES SEVERE, PRECISE LA LETTRE. SON ETAT DE SANTE SE DETERIORERAIT CAR, SELON TOUJOURS LA LETTRE, IL AURAIT DEJA VOMIS DU SANG, CE QUI MONTRE QUE SON ESTOMAC RISQUE DE SE PERFORER. LES AUTEURS DE LA LETTRE DEMANDENT ALORS L'INTERVENTION DES DEFENSEURS DES DROITS DE L'HOMME POUR QUE LE DR. HAJAYANDI SOIT IMMEDIATEMENT LIBERE OU QU'L SOIT PLACE DANS DES CONDITIONS HUMAINES LUI PERMETTANT DE MANGER, DE SE COUCHER ET DE SE FAIRE SOIGNER; QU'IL RECOIVE LES VISITES DES MEMBRES DE SA FAMILLE PARTICULIEREMENT CELLES DE SON EPOUSE, DE SES ENFANTS ET DE SES FRERES ET QU'IL RECOIVE LES VISITES DES MEDECINS ET DE SES AVOCATS-CONSEILS.

Précédent