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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice11 avril 2023
|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi – Politique

Pour qui roule Mme Concilie Nibigira ?

2 juillet 2014

Bujumbura, le 2 juillet 2014 (Net Press) . Mme Concilie Nibigira, reconnue par le ministre de l’intérieur comme étant la présidente de l’Uprona, a adressé une lettre à ce ministère pour l’informer qu’elle a exclu définitivement Charles Nditije de cette formation politique. A travers cette correspondance, elle a égrené tout un chapelet de « fautes » graves qu’elle a imputées à Charles Nditije, dont la corruption et le détournement des biens du parti.

A la lecture de ce document, l’on peut y apporter objectivement deux critiques. D’une part, il est difficile de savoir quelle mouche a piqué la dame puisqu’elle a pensé à chasser de son parti un homme qui n’y a jamais adhéré. Car, si Charles Nditije est un membre de l’Uprona, ce n’est pas celui de Concilie Nibigira, mais plutôt celui qui est reconnu par les Upronistes d’autant plus que le parti leur appartient.

D’autre part, au niveau de l’accusation, Concilie Nibigira semble ne pas s’attarder sur l’idéologie du parti, mis à part les quelques griefs relatifs à la division des Upronistes. Or, ce sont des fautes liées à la vision qui sont graves et qui mènent à l’exclusion du parti, car il y a trahison en ce moment. Pour l’instant, en analysant le comportement des deux personnes, c’est plutôt la dame qui pourrait être accusée de trahison à l’idéologie de Rwagasore. Encore que là, ce n’est pas le président qui décide seul, mais le comité central qui soumet le cas au congrès qui doit statuer. Et à ce niveau, Concilie Nibigira continue à se rendre coupable de violation de l’idéologie du parti Uprona car elle ne veut pas la réconciliation des Upronistes alors que l’Unité est l’un des piliers de cette formation politique.

Selon des informations à notre disposition, le ministre de l’intérieur avait donné rendez-vous aux deux personnes pour le 30 juin dans son cabinet afin qu’ils discutent ensemble de la préparation conjointe du congrès. La rédaction a appris plus tard que Concilie Nibigira ne s’est jamais présentée, préférant se réunir avec ses « poulains » comme Gaston Sindimwo et autres Tharcisse et Dieudonné. De cette réunion non moins marginale, il en a été décidé d’exclure de leur cercle Charles Nditije. C’est ainsi que le soir, Concilie Nibigira a appelé le secrétaire permanent au ministère de l’intérieur pour lui dire qu’elle a déjà pris connaissance du contenu de leur message.

Pour qui roule Concilie Nibigira ? Serait-elle devenue rebelle contre Edouard qui l’a politiquement accouchée ? L’opinion trouve donc intéressant de voir que cette dame n’est plus gérée par le ministre de l’intérieur pour des intérêts d’un parti autre que le Cndd-Fdd. La même opinion estime que Concilie Nibigira, en voulant se maintenir qu’il pleuve qu’il neige, serait soutenue par une main partiellement invisible puisqu’il s’agit de …. Alain Guillaume Bunyoni, chef de cabinet civil à la présidence de la République.

Le ministre de l’intérieur vient d’animer une conférence de presse où il n’a pratiquement rien dit sur le l’Uprona. Il a nié toute tentative de vouloir réconcilier les ailes de l’Uprona et que par ailleurs ils ne sont plus en contact depuis quelques temps. Concernant l’exclusion de Charles Nditije, le ministre Nduwimana n’a voulu rien dire en arguant qu’une formation politique peut d’un moment à l’autre chasser un membre. Pour lui, si Charles Nditije occupait un poste de responsabilité au parti, il pourrait s’exprimer.

Burundi – Politique.

La radiation de M Charles Nditije au sein du parti Uprona reste nul et de nul effet, dixit Tatien Sibomana.

Bujumbura, le 2 juillet 2014(Net Press). Tatien Sibomana, porte-parole du parti Uprona dirigé par Charles Nditije et non reconnu par le ministre de l’intérieur, a fait savoir que la décision de Mme Concilie Nibigira de radier M Charles Nditije au sein du parti Uprona reste nulle et de nul effet d’autant plus qu’il est bien stipulé à l’article 13 du statut du parti Uprona qu’un militant peut être radié à condition d’être accusé de travailler pour le compte d’un autre parti, d’avoir été coupable de violer le secret du parti, d’être coupable de violation de l’idéologie et de l’identité du parti , de la violation de ses statuts et enfin quand le militant est accusé de détournement des deniers et fonds du parti Uprona ou bien quand il est accusé de la même infraction dans l’exercice de ses fonctions ou de ses pouvoirs publics qui lui étaient confiés par le parti Uprona.

Or, a expliqué Tatien Sibomana, il n’y a aucun organe statutaire du parti Uprona qui poursuit Charles Nditije pour manquement à ses obligations. Tatien Sibomana précise aussi que l’article 14 du même statut stipule que l’hiérarchie des sanctions, tout comme les organes habilités à les prendre, sont prévus dans les textes régissant le fonctionnement de la commission nationale d’éthique et de discipline tel que prévu par les articles 146 et 148 des mêmes statuts.

Toutefois, souligne M Tatien Sibomana, cet organe qui devait être composé par 5 personnes parmi les sages du parti Uprona n’a pas été mis en place, ce qui est un manquement grave à M Bonaventure Niyoyankana et à Mme Concilie Nibigira. Il rappelle que cette commission devait être désignée par le président en consultation avec son vice et devait être soumise à l’approbation du comité central.

Ainsi, pour Tatien Sibomana, Charles Nditije reste donc député, il reste aussi président du parti Uprona jusqu’à ce que le congrès ou un autre organe habilité en décident autrement.

Signalons que Concilie Nibigira accuse le Pr Nditije de bloquer le processus de réunification, de dilapider le patrimoine du parti Uprona et qu’en plus, ce sont ces moyens même qu’il met à sa disposition pour diviser les Badasigana. Cette dame précise que le président du parti non reconnu par le ministre Nduwimana a laissé de côté tout ce qui a trait à l’Uprona pour s’appeler un acteur politique. Suite à tout cela, l’ex-ministre en charge de la communication précise qu’elle va poursuivre le Pr Nditije devant la justice.

La situation se trouve ainsi décrite au moment où au ministère de l’intérieur, il y avait plutôt l’intention de se pencher sur la question de l’Uprona afin que les divisions disparaissent. Mais tout d’un coup, Concilie Nibigira jette le pavé dans la marre.

Ce qui ont entendu hier dame Concilie au cours de son discours à l’occasion du 52ème anniversaire de l’indépendance ont pu décrocher des mots comme « renouer avec l’idéologie du prince Louis Rwagasore ». Est-ce avec un tel comportement que Mme Nibigira commence de s’allier aux idéaux du héro de l’indépendance ?

Burundi – Société

Quels sont les critères pour primer les gens M. le président ?

Bujumbura, le 2 juillet 2014(Net Press) . Telles sont les interrogations que se posent la population de Bujumbura après que le président Nkurunziza ait octroyé des médailles aux 13 personnes qui se sont distinguées dans des actions de nature à suivre les actions du héro de l’indépendance. Ces individus approchés par notre rédaction indiquent que primer des gens en soi n’est pas une mauvaise chose, mais il y a des gens à qui l’on fait cet honneur sans pour autant le mériter. Primer un homme comme un militaire qui s’est donné dans ses actions de maintien de la paix ou une veuve qui a été aux côtés des enfants démunis est tout à fait louable mais primer des individus puisqu’ils appartiennent à un parti auquel le président de la République se retrouve n’est pas très bien compréhensible, déplorent les interlocuteurs.

Ils avancent en plus que décorer la veuve de feu président Ndadaye sans primer la famille du héro de l’indépendance est aussi diviser des gens, qui apparemment, se trouvent sur un même pied d’égalité. Pour eux, les deux familles devaient être traitées de la même façon puisque celle qui a été choisie est la veuve du héro de la démocratie et celle ou celui qui représente la famille du héro de l’indépendance devait aussi recevoir les mêmes honneurs. Et de renchérir que ceux qui ont aidé le président à opérer ce choix n’ont pas poussé loin ou ont oublié de le faire. Ici ils précisent que les conseillers devaient être vigilants pour ne pas semer la confusion dans l’opinion.

Ces interlocuteurs précisent en outre que les sélectionneurs des lauréats des prix « nkurunizien » devaient penser, en plus des pasteurs blancs, aux prélats burundais ne fut ce que pour l’équilibre. Enfin, ils font signaler que si ces sommes données hier proviennent des dividendes de la population, il faudra établir des critères objectifs et primer des gens qui sont à la portée de tout le monde en ce qui est de leurs bonnes œuvres sans avoir des tendances de quelques natures que ce soient.

Pour un seul cas, le porte-parole du président de la République, Léonidas Hatungimana a fourni des éclaircissements, celui de Laurence Ndadaye où il a fait savoir que « Abagabo ntibaronkera rimwe », (la chance ne sourit pas à tout le monde au même moment (traduction de la rédaction, Ndlr). Il a bien précisé que Laurence Ndadaye a reçu ce prix puisqu’elle s’est bien comportée après la mort de son mari au moment où Rwagasore ne peut pas avoir un mérite plus important que la reconnaissance qu’il est héro. En outre, son image se trouve sur le billet de 100Fbu et ces honneurs sont suffisants.

Burundi – Alimentation

Si rien n’est fait, la malnutrition risque d’hypothéquer les efforts entrepris dans le cadre du développement

Bujumbura, le 2 juillet 2014(Net Press) . Cela a été dit ce matin par Dr Evelyne Ngomirakiza, directrice du programme national intégré de nutrition et d’alimentation au ministère de la santé publique et de la lutte contre le sida. C’était au cours d’un atelier de formation de trois jours sur la nutrition qui a été organisé le programme alimentaire mondial (Pam) au Burundi.

La malnutrition constitue un problème majeur de santé publique au Burundi, en témoignent les résultats de l’enquête démographique et de santé de 2010 et de l’étude globale de sécurité alimentaire, nutrition et analyse de la vulnérabilité de 2014. Selon Dr Ngomirakiza, le gouvernement du Burundi en a pris conscience et différents efforts sont en train d’être déployés pour endiguer la progression de la malnutrition jusqu’à un niveau où elle ne constituera plus un problème de santé publique au Burundi.

M. Bienvenu Djossa, représentant du Pam au Burundi, a quant à lui fait savoir qu’en décembre 2011 et sur l’initiative du Pam, un premier forum national sur la sécurité alimentaire et la nutrition, s’est tenu à Bujumbura sous le thème « Investir dans la sécurité alimentaire et la nutrition, un préalable pour un développement durable ».

Une feuille de route basée sur la déclaration consensuelle finale et les recommandations principales focalisées sur les actions et interventions clés complémentaires pour une lutte multisectorielle contre la malnutrition chronique et l’insécurité alimentaire au Burundi devra d’ici 2015 contribuer aux résultats tels que la réduction de la malnutrition chronique chez les enfants de moins de 5 ans de 58% à 48% ; la réduction de l’insuffisance pondérale de 29% à 21% et la réduction du nombre de personnes en état d’extrême insécurité alimentaire et l’augmentation de 10% par an de la production agricole et animale.

Selon l’étude globale de sécurité alimentaire, nutrition et analyse de la vulnérabilité diligentée par le Pam en mars 2014, la malnutrition aigüe (dite récente) touche 80400 enfants, soit un taux de 5,5% (5,7% en 2010). La malnutrition chronique (retard de croissance) affecte 816000 enfants, soit 49% (58% en 2010) des enfants de 6 – 23 mois.

Aux yeux de M. Djossa, même si globalement l’on enregistre une certaine diminution des enfants affectés, il n’en reste pas moins que la situation soit toujours dangereuse dans certaines provinces du pays, car ces taux y atteignent des proportions qui nécessitent des actions encore plus soutenues pour venir à bout du mal.

Burundi – Santé - Société

Sport et grossesse ne sont pas incompatibles

Paris, le 2 juillet 2014 (Net Press) . L’athlète américaine Alysia Montano vient de le démontrer ou tout simplement de le rappeler en faisant sa série de 800 m en un peu plus de 2 minutes bien qu’elle était enceinte de 8 mois. Comme l’indique « Le Figaro », c’était lors des derniers championnats américains d’athlétisme de fin juin 2014. Elle a profité de l’occasion pour signaler que pratiquer une activité physique durant la grossesse est tout à fait possible et même bénéfique, si l’on reste raisonnable.

Depuis le début de sa grossesse, la quintuple championne des États-Unis continue à s’entraîner et à participer à des compétitions de haut niveau. Un exploit qui nous rappelle que sport et grossesse ne sont pas incompatibles, même pour les sportives occasionnelles ou les sédentaires. Car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, commencer ou continuer une activité physique ou sportive adaptée et modérée pendant la grossesse n’est pas dangereux ni pour la future maman ni pour le bébé. « Faire de l’exercice n’augmente pas le risque de fausse couche ou d’accouchement prématurée », martèle le Dr Thierry Harvey, gynécologue obstétricien et chef de service à la maternité des Diaconesses à Paris. L’activité physique présente plutôt de nombreux avantages : limitation de la prise de poids, diminution du risque de diabète gestationnel et deprééclampsie, amélioration du retour veineux ou encore diminution de la dépression post-partum.

SPORT PLAISIR

« Si la femme enceinte fait du sport habituellement, qu’elle continue », affirme au Figaro le Dr Thierry Harvey, « l’important c’est qu’elle prenne du plaisir et qu’elle s’écoute ». Même les femmes qui n’ont jamais été de grandes sportives peuvent s’y mettre. « Il suffit de prendre les escaliers à la place des escalators, descendre du bus ou du métro un arrêt avant », décrit le gynécologue. Marche rapide ou footing, natation, promenade en vélo ou d’appartement, ces activités sont conseillées et vivement recommandées par le spécialiste. La fréquence des exercices, leur durée et leur intensité dépendront de chaque femme. Certaines seront capables de pratiquer une activité physique jusqu’à terme, « et il faut les laisser faire », assure le Dr Thierry Harvey.

Toutefois, les activités où le risque de chute et de coup sont possibles doivent être évitées. « Pour les sportives qui pratiquent des sports de contact, il faut leur proposer une autre discipline dans laquelle elles peuvent se dépenser », explique le Dr Thierry Harvey. Il rappelle d’ailleurs que, contrairement à ce qu’a fait AlysiaMontano, l’objectif de performances ou de compétition n’est pas recommandé. Le maintien d’une bonne forme physique nécessite écoute et prudence, notamment en cas de signes inhabituels : « si des saignements apparaissent, l’activité devra être arrêtée », prévient-il. Le gynécologue rappelle également que les exercices couchés sur le dos sont à proscrire, en particulier après le quatrième mois, car ils réduisent le retour veineux.

En outre, le retour à l’activité physique après l’accouchement est possible et peut être très rapide. Il sera plus facile pour les mères actives durant leurs grossesses et dépend du mode d’accouchement et d’allaitement. « Il est conseillé de donner le sein et boire beaucoup d’eau, avant de faire du sport », explique le Dr Thierry Harvey, « comme cela la poitrine sera moins lourde et cela évitera le passage d’acide lactique dans le lait ». L’exercice physique permettra de vaincre l’anxiété et la fatigue causée par le manque de sommeil et les exercices du plancher pelvien réduiront le risque futur d’incontinence urinaire. Chaque activité sera profitable et source de bien-être.

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