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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
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Burundi – Sécurité1er mai 2023
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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
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|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

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|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Droits de l’Homme22 avril 2023
|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi - Sécurité19 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Sécurité17 avril 2023
|Fouille-perquisition au domicile de l’ancien premier ministre

Burundi – Sécurité15 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
|Une famille demande la libération d’un rapatrié détenu en prison

Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice11 avril 2023
|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi – Justice – Droits de l’Homme

Pierre-Claver Mbonimpa prêt à foncer davantage

30 septembre 2014

Bujumbura, le 30 septembre 2014 (Net Press) . Toujours sur son lit de l’hôpital Bumerec, le président de l’Aprodh a accordé sa première interview d’homme libre aux journalistes après sa libération provisoire prononcée hier par le tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura. M. Pierre-Claver Mbonimpa se réjouit qu’il va prochainement recommencer son travail de défendre les droits de l’homme. Il estime néanmoins que les conditionnalités l’empêchant de dépasser les limites de la ville de Bujumbura et de se rendre à l’aéroport sans l’autorisation préalable du juge est une autre forme d’incarcération lorsqu’elles sont imposées à un défenseur des droits humains.

Il ne comprend pas non plus pourquoi la justice a dû attendre la 6ème audience et les interventions musclées du parlement européen et du président américain Barack Obama. Il rappelle que les dénonciations de la population burundaise, des organisations locale et internationale de la société civile, des médias et de la communauté internationale sont toujours tombées dans des oreilles d’un sourd. Il demande par conséquent aux juges de toujours considérer les plaidoiries de la personne inculpée en lieu et place des pressions venues des normes judiciaires.

A quelque chose malheur est bon, constate le président de l’Aprodh. Grâce à mon emprisonnement, poursuit-il, j’ai pu remarquer que mes actions sont très appréciées aussi bien au Burundi qu’à l’étranger. Il se réfère sur le cas d’une foule nombreuse qui était venue assister à son audience publique du 4 juillet 2014 au tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura. Il a été aussi ému par l’intervention directe du président de la première puissance mondiale, Barack Obama, dans la campagne de sa libération. Celui-ci a pu prononcer très aisément mon nom kirundiphone « Mbonimpa » dont la prononciation est parfois mal faite par des Burundais, s’étonne-t-il.

M. Pierre-Claver Mbonimpa considère également que sa libération provisoire inaugure la fin de la récréation chez tous ceux qui ont profité de son emprisonnement pour violer les droits humains. Quel que soit le coup à payer, rassure-t-il, je ne craindrai en aucun cas de dénoncer leurs bavures. Il signale par ailleurs que même en prison, il a continué à secourir les autres prisonniers. Et une centaine parmi eux sera libérée prochainement dans le cadre de la dernière grâce présidentielle parce qu’il leur a éclairé sur les procédures à suivre pour profiter de cette mesure du président Pierre Nkurunziza.

De son côté, le gouvernement burundais n’a pas tardé à s’exprimer sur cette mise en liberté provisoire du président de l’Aprodh. Par un communiqué de presse signé Philippe Nzobonariba, secrétaire général et porte-parole de gouvernement, il souhaite à l’actuel locataire de l’hôpital Bumerec un prompt rétablissement de sa santé pour que son dossier puisse poursuivre son cours normal devant la justice afin qu’il soit clôturé et définitivement vidé. Il met également en garde quiconque interpréterait la mise en liberté provisoire du président de l’Aprodh comme une consécration à l’impunité au Burundi. Il encourage une fois de plus la justice à ne pas hésiter à interpeller et juger toute personne qui se mettra en état d’infraction.

Burundi – Droits de l’Homme

Les Osc poursuivent le combat de la liberté d’expression

Bujumbura, le 30 septembre 2014 (Net Press) . Les organisations de la société civile burundaise se sentent soulagées de revoir libre leur frère aîné dans la lutte contre les restrictions des libertés publiques. Cependant, elles restent sur leur soif puisqu’une multitude de Burundais sont encore en prison pour avoir exprimé un jour une opinion différente de celle des autorités burundaises.

Le président du Focode, Pacifique Nininahazwe, qui s’est exprimé au nom des organisations qui étaient engagées dans la campagne « vendredi vert » pour demander la libération de Mbonimpa, cite notamment Hussein Radjabu, les jeunes de Ngagara emprisonnés dans la suite du dossier Nyakabeto, beaucoup de militants d’Agathon Rwasa et les jeunes du parti Msd qui sont en prison sur base d’un jugement qui n’a rien d’équitable selon les standards internationaux des droits de l’homme.

Les mêmes organisations ont adressé une pétition au président du Burundi, celui de la République démocratique du Congo, à l’Union africaine et au secrétaire général des Nations Unies pour demander une enquête crédible sur les allégations qui font état de la distribution des armes aux jeunes Imbonerakure et d’entrainements paramilitaires en Rdc. M. Pacifique Nininahazwe rappelle que ce sont ces dossiers qui ont été à l’origine de l’emprisonnement de Pierre-Claver Mbonimpa.

Pour ce qui est du dossier du président de l’Aprodh, les organisations de la société civile demandent à la justice d’agir rapidement pour que le dossier soit appelé devant le juge pour que Mbonimpa soit blanchi de toutes les charges qui pèsent sur lui injustement.

Mais en attendant cette étape, ces organisations remercient tous ceux qui leur ont soutenu dans cette campagne de demande de libération de ce grand défenseur des droits de l’homme et des prisonniers en particulier. Elles remercient les milliers de citoyens burundais qui ont porté des tenues vertes durant les 19 vendredi verts pour demander la libération de Mbonimpa. Elles remercient les différentes organisations, aussi bien nationales qu’internationales et les médias, qui ont beaucoup soutenu leur campagne et qui ont porté plus loin leurs voix. Leurs remerciements vont également à l’endroit des ambassadeurs accrédités à Bujumbura qui n’ont cessé de les soutenir ainsi que les pays partenaires du Burundi pour leur contribution louable. M. Nininahazwe cite en l’occurrence les parlementaires européens qui ont été courageux en adoptant la résolution du 18 septembre 2014 et le président Barack Obama qui a fait de manière inédite un soutien au président de l’Aprodh.

Burundi – Justice – Droits de l’Homme

Human Rights Watch se réjouit de la libération provisoire de Mbonimpa

Nairobi, le 30 septembre 2014 (Net Press) . « La mise en liberté provisoire de Pierre-Claver Mbonimpa pour des raisons médicales est une bonne nouvelle », a déclaré Anneke Van Woudenberg, directrice de plaidoyer pour l’Afrique à Human Rights Watch. Pierre-Claver Mbonimpa n’est pas une menace pour le Burundi, mais plutôt un atout. Les autorités burundaises devraient de toute urgence faire un pas de plus et abandonner tous les chefs d’accusation qui pèsent contre lui », mentionne cette organisation.

Elle rappelle que le tribunal a rejeté à plusieurs reprises les demandes de ses avocats en faveur de sa libération provisoire en raison de son âge et de sa santé fragile, même après qu’il est tombé gravement malade fin août. Le 15 septembre, le tribunal a demandé qu’une commission médicale rende compte de son état de santé. Le 26 septembre, le rapport de la commission concluant que Mbonimpa présentait plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire a été soumis aux juges. Il énumérait bon nombre de problèmes médicaux graves ainsi que huit médicaments pris par le président de l’Aprodh, poursuit le communiqué.

Cette Ong internationale signale que le cas Mbonimpa a une très grande importance au Burundi car il a acquis un immense respect et l’admiration de la population burundaise, comme le démontre dans une vidéo de Human Rights Watch le nombre impressionnant de personnes venues le soutenir lors de sa première audience devant le tribunal. Il est également très reconnu en dehors du Burundi et il a reçu des prix internationaux en reconnaissance de son travail en faveur des droits des personnes les plus vulnérables, renchérit la correspondance.

Elle fait savoir également que l’arrestation de Mbonimpa s’inscrit dans le cadre d’une répression plus large de la part du gouvernement contre des détracteurs opposants présumés en vue des élections prévues pour 2015. D’autres militants, ainsi que des journalistes indépendants et des membres des partis d’opposition, ont régulièrement fait objet de harcèlement et d’intimidation, et ont été empêchés de mener leurs activités.

Hrw souligne que le 23 septembre, le président américain Barack Obama a appelé publiquement à la libération de ce défenseur des droits humains. Le 18 septembre, le parlement européen avait insisté auprès du gouvernement burundais pour qu’il libère Mbonimpa immédiatement et sans condition. Auparavant, les gouvernements et ambassadeurs de plusieurs pays - notamment les Etats-Unis, l’Union Européenne, la France, le Royaume-Uni et la Belgique - avaient exprimé leur inquiétude à propos du cas de Mbonimpa, en particulier à la suite de son hospitalisation, reprend le communiqué.

Hrw rappelle également que les charges supposées pesant contre Mbonimpa ne constituaient pas une infraction criminelle crédible, il n’aurait jamais dû être arrêté et mis en détention en premier lieu », a conclu Anneke Van Woudenberg. « Les autorités burundaises devraient mettre un terme à cette affaire, abandonner les charges qui pèsent contre lui, et le laisser se rétablir de façon à ce qu’il puisse poursuivre son travail extraordinaire pour la défense des Burundais en situation vulnérable » ; termine le communiqué.

Burundi - Population

Que faire pour limiter les naissances dans notre pays ?

Bujumbura, le 30 septembre 2014 (Net Press) . La rédaction de « Net Press » a déjà émis le vœu dans une de ses éditions antérieures, que les confessions religieuses et particulièrement l’église catholique burundaise et l’Etat organisent ensemble une rencontre bipartite pour tenter d’harmoniser leurs points de vue sur la limitation des naissances.

La tâche serait très compliquée, mais cela vaudrait la peine d’essayer, parce que jusqu’à présent, chacune des deux parties prêche de son côté et propose des solutions qui ne vont pas dans la même direction.

On a pu s’en rendre compte une fois de plus la nuit dernière sur les ondes de Radio Maria Burundi, au cours d’une émission hebdomadaire intitulée « Cercle Saint Paul ». Elle était animée par deux diacres du grand séminaire de Gitega : Jérémie Ndagijimana et Casimir Nkengurutse. Ils ont souhaité que les médecins accueillant les femmes enceintes (ou pas) se comportent comme « le Bon Samaritain » de l’évangile selon Saint Matthieu, ont affirmé que le seul moyen recommandé par l’église pour limiter la croissance de la population est l’abstinence et que les centres de santé gérés par les consacrés ne devraient plus être accusés de s’opposer à l’usage des moyens artificiels recommandés par l’Etat pour freiner la croissance exponentielle de la population.

Cependant, un expert en démographie qui n’est plus de ce monde a fait remarquer un jour « qu’il est trop facile (sic) » à des hommes d’église d’avancer des propositions pour résoudre un problème auquel ils ne seront jamais confrontés.

Burundi - Education

Une nouvelle école de paramédicale à Mugoboka

Bujumbura, le 30 septembre 2014 (Net Press) . Une école paramédicale a ouvert ses portes le 15 septembre mais a été solennellement inaugurée ce matin. Elle s’appelle école paramédicale de la miséricorde (Mercy Médical Institute), de 4 ans après la 10ème. Le coordinateur technique de cette école, M. Gédéon Niyonkuru, a indiqué que le fait de penser à ouvrir un tel institut est que dans notre pays, il y a peu d’écoles de ce genre et il a fallu prendre du temps pour construire des locaux et dans les plus proches délais, il sera question de commencer des études universitaires dans cette école.

Les filières prévues sont la nutrition, l’hygiène, les cours relatifs au laboratoire et à l’assainissement car, selon lui, il s’agit des filières importantes dans des écoles à vocation médicale. Il a fait savoir que les professeurs sont disponibles et que même des visiteurs belges sont disposés à venir dispenser des cours dans cet institut. Des problèmes de démarrage ont eu lieu alors que la permission était déjà délivrée par le ministère de tutelle, heureusement que les démarches ont été vite entreprises pour l’ouverture des activités.

Une partie du matériel didactique est aux commandes au moment qu’une autre est déjà sur place. Il est demandé à l’Obr de faciliter le dédouanement puisque ce sont des matériaux qui sont destinés pour le bien public, a fait savoir l’orateur. Il demande alors aux habitants de Mugoboka de veiller au bon fonctionnement de cette école.

Spécial 24ème anniversaire de l’attaque de l’APR sur le Rwanda

1er octobre 1990 : ni les Hutu, ni les Tutsi n’est oublié, mais par des raisons différentes

Kigali, le 30 septembre 2014 (Net Press) . Le 1er octobre 1990, l’armée patriotique rwandaise lançait une attaque surprise sur le Nord du Rwanda, et plus précisément sur la préfecture de Byumba, frontalière avec l’Ouganda. Le monde entier découvrit alors qu’il existait un seul pays sur les cinq continents, où ses ressortissants n’avaient aucun droit de retourner, ne fût-ce que pour y passer un seul petit week-end : le Rwanda.

Près d’un quart de siècle plus tard, personne au sein de ses deux principales composantes ethniques n’a encore oublié la date du 1er octobre 1990, à commencer par les Hutu. Depuis 1959, en effet, ce qu’ils présentent encore comme « la Révolution sociale » de l’époque était à leurs yeux, la fin définitive du pouvoir des Tutsi dont l’histoire, ni au Rwanda, ni ailleurs dans le monde, ne parlerait plus jamais « jusqu’au retour de Jésus-Christ ».

Quant aux Tutsi, à l’exception de deux généraux, Fred Rwigyema et Paul Kagame et de leur entourage immédiat composé d’une poignée d’officiers tutsi, très peu d’hommes croyaient à la réussite de ce qui était considéré comme une aventure militaire « suicidaire ».

Et pourtant, le tout se terminera le 4 juillet 1994 par la marche triomphale de l’armée patriotique rwandaise sur Kigali et Butare et la fuite au Zaïre de Mobutu des forces génocidaires de Juvénal Habyalimana.

L’élément déclencheur du génocide : l’explosion de l’avion transportant Habyalimana et Ntaryamira

Le génocide ayant coûté la vie au président rwandais et à son homologue burundais, Juvénal Habyalimana et Cyprien Ntaryamira, n’aurait probablement jamais eu lieu n’eût été l’abattage du Falcon présidentiel à bord duquel voyageraient les deux chefs d’Etat.

Ils rentraient de Dar-Es-Salaam le 6 avril 1994 d’un sommet des chefs d’Etat de la sous-région sur le Burundi, lorsqu’il explosa en plein air, alors qu’il amorçait l’atterrissage sur l’aéroport international de Kigali.

Jusqu’à ce jour, la controverse s’est installée entre le régime de Paul Kagame et ses opposants hutu comme tutsi, pour savoir d’où ont été lancés les missiles qui ont réduit l’appareil en cendres.

Pour le général-major Kagame et une bonne partie de la communauté internationale, ce sont les extrémistes hutu qui ne voulaient pas que Habyalimana partage le pouvoir avec les Tutsi qui ont mis fin à ses jours. Et aux yeux de ses opposants intérieurs comme extérieurs, en revanche, c’est bien lui-même qui aurait commandité l’abattage de l’avion, afin d’avoir le champ libre pour gérer seul le pouvoir.

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