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|Sommet de Bujumbura, deux grands absents, le Rwanda et le Kenya

Burundi – Sécurité5 mai 2023
|Un corps sans vie d’une femme retrouvé dans la province de Rutana

Burundi – Sécurité4 mai 2023
|Des personnes trouvent la mort suite à des pluies diluviennes

Burundi – Médias3 mai 2023
|Le Burundi se joint à la communauté internationale pour la journée mondiale de la liberté de la presse

Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
|Le secrétaire général de l’Onu attendu à Bujumbura

Burundi – Sécurité1er mai 2023
|Une femme attrapée en tentant de voler dans un champ appartenant au chef de l’Etat

Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
|51 ans après, les Burundais n’ont pas encore une lecture commune des événements de 1972

Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
|Encore un mort dans la capitale politique Gitega…

Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Droits de l’Homme22 avril 2023
|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
|Le colonel Désiré Uwamahoro serait désormais locataire de la prison de Murembwe

Burundi – Sécurité20 avril 2023
|Des voisins encombrants dans la réserve naturelle de la Kibira

Burundi - Sécurité19 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
|Une famille demande la libération d’un rapatrié détenu en prison

Burundi – Sécurité12 avril 2023
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|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi – Elections

Elections, auront-elles lieu ou pas dans des conditions pareilles ?

7 octobre 2014

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . D’aucuns se posent la question de savoir si les élections au Burundi auront lieu l’année prochaine. En effet, dès la mise en place de la commission électorale nationale indépendante, Ceni, des politiciens ont indiqué que la reconduction de la même équipe n’augurait rien de bon.

Plus le temps avançait, plus la Ceni a pris des mesures qui étaient de nature à inquiéter les milieux politiques, surtout de l’opposition, quand notamment elle a déclaré que les politiciens qui ont des dossiers pendants devant les instances judiciaires n’auront pas le droit de se faire élire. Cette position ressemblait étrangement à celle de la cour suprême dont la porte-parole, Agnès Bangiricenge, qui pointait du doigt deux gros poissons de l’opposition, Agathon Rwasa et Frédéric Bamvuginyumvira, annonçant leur non participation aux prochaines élections.

Avec la mise en place des commissions électorales provinciales indépendantes, Cepi, les mêmes inquiétudes se sont renforcées à l’opposition et au niveau de la société civile qui estimaient qu’elles ont été écartées par cette commission. Malgré cela, la mouvance présidentielle affirme haut et fort que les élections seront mieux organisées par rapport à celles de 2005 et de 2010.

La rédaction a contacté un analyste politique à ce sujet qui a d’emblée indiqué que les politiciens ne devraient pas commettre une autre erreur de ne pas participer aux prochaines élections. Sinon, les élections peuvent être bonnes et mauvaises, si jamais les conditions minimales de crédibilité des élections sont remplies ou pas. Il faut que les partis politiques aient accès aux membres et sympathisants sur terrain. Il faut que les politiciens aillent à l’essentiel, c’est-à-dire à la réunification des partis politiques. Quant aux Cepi et Ceci, elles ne posent pas de problème car, à titre d’exemple, la Ceni de 1993 n’était pas favorable au Frodebu. Discuter donc actuellement des Ceci et ou des Ceci est une diversion politique, a-t-il répondu.

A la question de savoir si, dans une période de 7 mois qui nous sépare des élections de 2015, ces conditions peuvent être mises en place, il a rétorqué qu’il s’agit d’une question de volonté politique. Si celle-ci y est, cela pourrait prendre trois jours au maximum, si pas une seule journée.

La rédaction a contacté le porte-parole de la Ceni, M. Prospère Ntahorwamiye, pour avoir son point de vue sur les différentes inquiétudes des uns et des autres. Dans un premier temps, il a indiqué au téléphone qu’il était en réunion. Dans un deuxième temps, il ne répondait pas tout simplement à l’appel.

Burundi - Energie

Burundi Musongati Mining : un espoir pour notre pays ?

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Le deuxième vice-président de la République, M. Gervais Rufyikiri, a procédé le 2 octobre 2014 en commune de Musongati de la province de Rutana au lancement officiel des activités de la société « Burundi Musongati Mining » chargée de l’exploitation du gisement de Nickel de Musongati. Pour le représentant légal de l’Ong Parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (Parcem), M. Faustin Ndikumana, l’expérience a montré que l’exploitation minière n’engendre pas toujours le développement du pays comme veut le faire croire les autorités burundaises.

Au cours d’un point de presse animé ce matin, il est revenu sur certains cas des pays qui sont restés pauvres à la suite des mauvais contrats avec des sociétés qui exploitaient les minerais de leur sous-sol et d’une mauvaise gestion des recettes collectées. Pour le premier point, il a cité notamment la République démocratique du Congo, le Niger, la Guinée. Quant au second, il a rappelé l’expérience malheureuse de la Hollande au cours des années 60 avec le gaz, la Zambie avec le cuivre et récemment le Ghana avec le pétrole.

Pour profiter de l’exploitation de ses minerais, a expliqué M. Ndikumana, le pays propriétaire doit respecter certaines conditionnalités. Il doit identifier les compagnies extractives avec lesquelles, il signe les contrats. C’est-à-dire qu’il doit connaître leurs expériences antérieures, connaître l’identité de leurs vrais propriétaires. D’autres conditionnalités sont la transparence des contrats, des institutions habilitées doivent jouer leur rôle, une bonne gestion des ressources, la création des fonds des ressources naturelles, l’implication des communautés à la base, le contrôle des transactions illicites et l’adhésion du pays à l’Initiative de transparence des industries extractives (ITIE).

La Parcem recommande alors au gouvernement burundais de publier dans l’immédiat les contrats signés par la société Burundi Musongati Mining pour que tous les Burundais et les partenaires de notre pays analysent que le contrat signé est bénéfique ou pas au Burundi. Lorsque le pays concerné publie les contrats (contenu et conditions : les taxes, redevances, dividendes, durée, etc.), le respect de la législation et l’optimisation des profits de l’Etat sont garantis et le gouvernement agit dans l’intérêt du pays.

Burundi – Education

Le Credej interpelle le président Pierre Nkurunziza

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Le Centre pour le renforcement de l’éducation et du développement de la jeunesse (Credej) interpelle le chef de l’Etat à intervenir dans l’affaire des étudiants des universités publiques et privées locales qui sont en grève depuis le 3 octobre 2014. Comme la première promotion du système Baccalauréat-Master-Doctorat (Bmd) termine bientôt le premier cycle du système (trois premières années), ils demandent que le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique leur informe sur la valeur du diplôme qu’ils obtiendront et toutes les modalités y relatives.

Le Credej s’inquiète de la lenteur manifestée par l’autorité compétente dans la gestion de cette question qui ne devrait pas se poser après plus de trois ans du lancement du système Bmd. Ce centre trouve également que le ministre de tutelle veut emprunter un mauvais chemin pour la résolution de ce problème. Pour lui, la solution ne peut provenir en aucun cas des états généraux de l’éducation prévus en novembre prochain. Un avis exprimé aussi par le prédécesseur de l’actuel ministre de l’enseignement supérieur. Interrogé par nos confrères de la radio Isanganiro, Pr Julien Nimubona a expliqué que cette question est plus technique au point qu’elle ne puisse pas être réglée au cours des états généraux de l’éducation. Selon un communiqué de presse du Credej, les recommandations issues des états généraux ne peuvent pas remplacer des cadres juridiques tels que la loi régissant le nouveau système Bmd, le décret régissant l’enseignement supérieur, le règlement académique de ce système, etc.

Estimant que le ministre Butore reste indifférent à toute question qui hante la communauté universitaire, ce centre demande au président de la République de s’impliquer dans l’affaire pour trouver une solution comme il l’a fait pour le mouvement de revendication du mois de mars dernier relatif aux nouvelles formes d’octroi de la bourse. Il demande également au personnel-enseignant des universités en grève d’apporter leur contribution car, leur intervention s’est révélée indispensable à travers la même grève du mois de mars 2014.

Burundi - Santé – Droits de l’Homme

« Il ne faut pas directement emprisonner avant de s’assurer que la personne est normale », dixit le directeur général du Cnpk

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Dans nos éditions antérieures, nous avions mentionné un cas d’un détenu du prénom d’Alexis, qui était hébergé au centre neuropsychiatrique de Kamenge, Cnpk, qui avait besoin d’une assistance. (voir Net Press du 6 octobre 2014). Nous avons contacté le directeur général du Cnpk, Frère Hippolyte Manirakiza, au sujet du fonctionnement de cette boîte.

Pour lui, ce n’est pas parce qu’il y a infraction quelque part qu’il faut directement emprisonner. Sur ce cas, il a préféré donner une démarche globale de traitement des patients par ledit centre. Selon lui, le Cnpk a signé des conventions d’intervention avec la direction générale de l’administration pénitentiaire (Dgap). Les prisons donc envoient des détenus malades ou alors sur demande du même Cnpk quand il apprend que dans telle ou telle autre maison d’arrêt, il y a des malades mentaux qui ont besoin d’une assistance.

Revenant sur le cas d’Alexis, nous avons contacté les services proches de la prison de Mpimba qui nous ont fait savoir que ce garçon a beaucoup de maladies, y compris la démence, mais également et surtout des complications somatiques d’où il a été transféré à l’hôpital prince régent Charles. Selon toujours le directeur général du Cnpk, ce centre n’est pas spécialisé dans des complications du genre, mais peut organiser une visite thérapeutique à l’endroit où il se trouve. Sinon dans la prison, il logeait au corridor et il a été délaissé, raison pour laquelle probablement il y avait un policier qui venait vérifier s’il est encore en vie.

Concernant la vie dans ce centre, le directeur général Manirakiza a indiqué que les malades mentaux causent beaucoup de casses alors qu’ils ne peuvent pas payer ce qu’ils ont abîmé. C’est pour cela que le centre réclame beaucoup de fonds de la part du gouvernement pour qu’on envisage de réhabiliter les lieux détruits. C’est pour cela, d’ailleurs, a-t-il poursuivi, l’on ne peut même pas fournir de matelas. En effet, une fois le Cnpk a acheté des matelas pour tous les malades –dont l’effectif oscille entre 120 et 150, 127 précisément au 6 octobre 2014, qui n’ont pas duré trois jours.

Pour le directeur général, le centre a besoin de beaucoup de fonds pour assurer pleinement sa mission, heureusement que le ministère à la solidarité lui a octroyé 200 millions de nos francs pour fonctionnement. Avec ces fonds, le Cnpk va réhabiliter certaines parties abîmées et prévoir un endroit pour les enfants de moins de 20 ans qui sont de plus en plus nombreux à attraper les maladies mentales. A la question de savoir d’où proviennent les fonds, Frère Manirakiza a indiqué que l’Etat lui verse 170 millions par an, ce qui est très peu car le centre a besoin d’un minimum d’un milliard de nos francs par an.

Enfin, le gouvernement paie toujours tardivement les services offerts aux patients, ce qui peut déstabiliser le fonctionnement du centre, a-t-il conclu.

Burundi – Transport – Economie

Qui est le destinataire final de ces fonds ?

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Il s’agit d’une association des transporteurs du Burundi (Atrabu) qui distribue des tickets sur lesquels il est mentionné « Exploitation des parkings en mairie de Bujumbura (E.p.m.b). Il est prévu un endroit où l’on mentionne le nom du chauffeur et le numéro de plaque de la voiture, mais sur les pointillés qui suivent ces écrits, l’on voit tout simplement 500 Fbu. Le ticket en soi porte le numéro 180.912 et un cachet de cette association.

Selon des informations reçues, ce montant est versé au jour le jour par chacun des véhicules dont l’usage est à but lucratif, les bus Hiace, les bus Coasters, lex taxis-voitures, etc. Selon les mêmes sources d’information, il n’y a pas du tout l’unanimité entre les gestionnaires de cette association et les transporteurs qui doivent payer cet argent. Mais toutes les deux parties sont muettes sur la destination de cette cotisation au quotidien. Nous avons tenté d’entrer en contact avec les gestionnaires de cette association mais en vain mais la rédaction se trouve sur les traces de ses statuts. Affaire à suivre !

Burundi – Politique

La vérité, oui, mais quelle vérité ?

Bujumbura, le 7 octobre 2014 (Net Press) . C’est hier lundi qu’a été ouverte la session du mois d’octobre 2014 des deux chambres du parlement, l’assemblée nationale et le sénat. Plusieurs points sont inscrits à l’ordre du jour, mais le plus important qui sera passé de long en large par les députés de la chambre haute est le lancement de la commission « vérité et réconciliation » (C.v.r). Pour le moment, personne ne saurait prédire comment se dérouleront les débats et deux scénarii sont possibles.

Il est à rappeler de prime abord que sa mise en place a été le fruit du seul parti au pouvoir, le Cndd-Fdd, car tous les autres partis faisant partie de la coalition gouvernementale ont boycotté la séance, estimant que leurs remarques et points de vue n’ont pas été tenus en considération. C’est donc la formation présidentielle qui a seule pris part au vote, ce qui, par conséquent, en a fait un texte caractérisé par l’unilatéralisme.

Le premier scénario serait donc que la même logique de boycott du vote prévale au cours de cette session d’octobre, lorsque la C.v.r. sera inscrite à l’ordre du jour. Mais les députés de l’Uprona et du Frdebu – Nyakuri pourraient aller faire le plus d’obstructions possibles, car même si l’issue du vote final est prévisible, ils marqueraient les esprits par médias interposés, et prendraient ainsi à témoin la communauté nationale et internationale.

Burundi – Kenya – Pays-Bas – Justice

Uhuru Kenyatta confirme lui-même sa comparution demain à La Haye

Nairobi, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Dans notre édition d’hier, nous évoquions la probabilité que le chef de l’Etat kenyan et fils aîné du père de l’indépendance du Kenya, Jomo Kenyatta, pourrait ne pas se ranger derrière la consigne de l’union africaine, celle qui voudrait que la cour pénale internationale de La Haye attende que les présidents africains encore en exercice ne soient cités à comparaître qu’au terme de leur mandat.

De la probabilité, on est passé à la certitude, puisqu’Uhuru Kenyatta a annoncé qu’il se présenterait lui-même ce mercredi devant les juges du tribunal international pour répondre de ses actes présumés.

Il l’a dit en personne hier dans l’après-midi devant les députés de l’assemblée nationale, ajoutant que l’intérim de la présidence de la République serait assuré par le vice-président William Ruto, lui aussi dans le collimateur de la cour pénale internationale.

Cependant, les milieux humoristiques de Nairobi ainsi que les experts en sémantique ont passé une partie de la matinée de ce mardi à décrypter et à gloser un des passages du discours de M. Kenyatta. Il n’a pas dit qu’il va comparaître devant les juges, mais qu’il va « assister à la conférence de mise en état » (Sic). Comprenne qui pourra.

Burundi – Rd Congo – Justice

Des zones d’ombre autour du procès des assassins du colonel Mamadou Ndala

Kinshasa, le 7 octobre 2014 (Net Press) . Ce nom est celui d’un officier de l’armée gouvernementale congolaise assassiné il y a presqu’une année. Même après sa mort, il est toujours considéré comme « un héros national » par les 60 millions de Congolais, pour avoir réussi ce que n’avaient jamais pu faire les forces armées de ce vaste territoire depuis Mobutu en 1965 : mettre en déroute un ennemi étranger ayant conquis une portion du territoire national.

D’autant plus que cet étranger n’était pas n’importe lequel, puisqu’il s’agissait du M23 dont les combattants sont connus pour être particulièrement bien aguerris, car ce sont eux qui ont marché sur Kinshasa au juillet 1997 et mis fin aux 32 ans du régime de Mobutu.

Il fallait donc le faire et c’est le colonel Mamadou Ndala qui l’a réussi en novembre 2012, après les études très brillantes à l’académie militaire de l’Ecole Royale des cadets en Belgique. C’est là même où le lieutenant-général Michel Micombero, le colonel Jean-Baptiste Bagaza et le major Pierre Buyoya ont suivi des études aussi brillantes, qui leur inspirèrent probablement les stratégies à mettre en œuvre pour réussir leurs putschs le 28 novembre 1966, le 1er novembre 1976, le 3 septembre 1987et le 25 juillet 1996.

Pour revenir sur ce procès qui s’est ouvert hier, son épilogue pourrait ne pas aboutir à la condamnation des vrais commanditaires et des véritables criminels, car il semble que « le héros national » aurait été éliminé sur fond de règlement de comptes au sein des grands officiers de l’armée congolaise.

Burundi – Burkina Faso – Elections

Le dialogue national voulu par Compaoré pourrait je jamais avoir lieu

Ouagadougou, le 7 octobre 2014 (Net Press) . La semaine dernière, l’agence « Net Press » faisait part à ses lecteurs de l’intention de Blaise Compaoré, le président du Burkina Faso, d’organiser ce qu’il a présenté comme « un dialogue national », rassemblant les acteurs de la classe politique de ce pays.

Après avoir hésité dans un premier temps, les formations politiques de l’opposition finirent par accepter, ayant obtenu du chef de l’Etat qu’une des deux vice-présidences soit occupée par un de leurs leaders.

Et puis voilà qu’hier mardi, on a appris en début de la soirée que les préparatifs de ce dialogue venaient de se terminer en queue de poisson car le successeur de Thomas Sankara est toujours soupçonné d’être mû par des calculs « bassement électoralistes ».

D’une part, l’opposition ne veut pas du tout qu’il soit « partie prenante » de ce dialogue, et d’autre part, elle ne souhaite pas non plus qu’il profite de ces assises pour imposer un référendum constitutionnel qui lui permettrait de se présenter à un 3ème mandat.

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