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Burundi – Malversations Economiques

L’affaire d’exploitation du nickel de Musongati est entachée de nombreuses irrégularités

15 octobre 2014

Bujumbura, le 15 octobre (Net Press) . Cela a été déclaré ce matin par le président de l’observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques(Olucome), M. Gabriel Rufyiri, au cours d’une conférence de presse qu’il a animée dans son cabinet de travail, pour dénoncer la convention d’exploitation minière sur le gisement du nickel et minerais associés de Musongati, signé entre le gouvernement du Burundi et Dr. Danko Koncar, Ceo des sociétés Bmm International et Kermas Limited le 22 mai 2014, parce que selon cet observatoire, elle est entachée de nombreuses irrégularités.

L’Olucome voudrait à cet effet savoir comment ont été choisies les sociétés Bmm International et Kermas Limited qui ont obtenu la licence d’exploitation de gisement du nickel de Musongati. Il se demande qui étaient en compétition avec elles e pourquoi on a retenu ces dernières ? Et où a été publiée l’offre ?

Pour M. Rufyiri, l’annonce du début d’exploitation du gisement du nickel de Musongati intervient en même temps que celle de l’octroi, par ceux que le porte-parole du chef de l’Etat a appelé des « amis partenaires du Burundi », du nouvel avion présidentiel qui vient remplacer le Falcon 50, ce jet présidentiel vendu illégalement en 2006. L’Olucome a évoqué un Sud-Africain d’origine nigériane du nom d’Obi Adim, marié à une rwandaise, pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la sœur de l’actuel ministre des forces armées rwandaises, James Kabarebe, qui aurait prêté gentiment son avion à notre président chaque fois qu’il entreprend de voyager à l’étranger. Selon ses investigations, il paraitrait que c’est le même avion qui déplace le président Pierre Nkurunziza lorsqu’il se rend à l’étranger, ce que M. Léonidas Hatungimana, porte-parole du chef de l’Etat, a qualifié de mensonge.

L’Olucome a constaté que l’article 6 de la convention d’exploitation du Nickel de Musongati dispose de certains paiements à effectuer au gouvernement du Burundi, y compris l’achat d’un jet d’affaires de 14 places et autres moyens de transport. A ses yeux, il est clair que cet avion a un lien étroit avec la convention de l’octroi du nickel de Musongati. Aussi, le compte n° 1101/001.17 enregistré dans les livres de la Brb intitulé « Appui aux bonnes initiatives » est alimenté par plusieurs sources, y compris certaines conventions qui ont été signées, certaines conventions en rapport avec certains permis de recherche des minerais et certaines licences qui ont été octroyées dans le cadre de l’exploitation minière.

M. Rufyiri a indiqué que des milliards de nos francs ont été versés sur ce compte ci haut-cité. Et d’ajouter que ce dernier est géré directement par le chef de l’Etat via son chef de cabinet civil Alain Guillaume Bunyoni et un certain Jean Paul, le conseiller principal en charge de l’administration et gestion. Cette convention qui vient d’être signée est aujourd’hui sur le marché, et est en train d’être vendue au moment où le ministre de l’énergie et des mines, le porte-parole du gouvernement et le porte-parole du chef de l’Etat disent que le Burundi va d’ici peu sortir de la misère qui guette la population burundaise. Aux yeux de M. Rufyiri, si le chef de l’Etat n’y prenne pas garde et redresser la situation dans les meilleurs délais, le pays risque de se trouver dans une situation incontrôlable.

Il a indiqué que la convention des Nations Unies contre la corruption exige une convention qui a été ratifiée par le Burundi et l’Olucome et partie prenante dans les cessions des Nations Unies. Normalement, souligne le président de l’Olucome, tout bien public, au moment de la vente, doit suivre le processus transparent, il doit dès le départ y avoir un dossier d’appel d’offre international et le publier. Après la publication, il doit y avoir une commission indépendante d’experts pour faire un suivi de ce dossier. Cette commission est indépendante, elle a toute responsabilité. A entendre M. Rufyiri, cela n’a pas été fait, ce sont les commissionnaires toujours qui sont responsables et la présidence, alors que normalement les biens de l’Etat sont gérés par des lois.

Au cours de cette conférence de presse, le président de l’Olucome a indiqué qu’il a été fortement surpris et scandalisé par la décision du conseil des ministres de la semaine passée qui a décidé que le Burundi ne peut pas entrer directement dans Itie (Initiative des Etats pour garantir la transparence d’exploitation minière). Selon cet observatoire, cela montre qu’il s’agit des manœuvres pour continuer à exploiter et vendre les minerais dans l’irrégularité. Sur ce, l’Olucome interpelle tous les partenaires tant nationaux qu’internationaux du Burundi de suivre cette question car c’est la vie du pays qui en dépend.

Signalons que l’Olucome a adressé une correspondance au chef de l’Etat en date du 13 octobre 2014 pour dénoncer la convention d’exploitation minière sur le gisement du nickel et minerais associés de Musongati. De plus, Rufyiri interpelle la population de sortir de son silence pour veiller à sa richesse et revendiquer ses droits.

Burundi – Rwanda – Sécurité - Opinion

Les cadavres du lac Rweru à l’origine de beaucoup de polémiques

Bujumbura, le 15 octobre 2014 (Net Press) . Depuis que le procureur général de la République, Valentin Bagorikunda, eut déclaré que les quatre corps sans vie découverts dans le lac Rweru au mois d’août dernier, sont d’origine rwandaise, l’on a senti que M. Bagorikunda a présenté un travail inachevé. D’autant plus qu’il a reconnu lui-même qu’il faut des compléments d’enquêtes plus modernes pour déterminer l’identité parfaite des victimes de ce meurtre.

Dans l’opinion, la déclaration du procureur général de la République constitue ni plus ni moins un incident diplomatique sans précédent. Si l’on considère la problématique de nationalité des Burundais vivant en Tanzanie d’une part, il y a moyen de déceler une éventuelle concertation entre le Burundi et notre grand voisin de l’Est pour lutter contre le corridor Nord. En outre, le voisin du Nord avait accepté la collaboration avec Bujumbura au cas où des enquêtes impartiales débuteraient, l’on ne voit pas pourquoi l’on s’empresse de désigner la provenance des cadavres avant même que la partie rwandaise n’entre dans le jeu, surtout qu’elle avait elle aussi déclaré que Kigali ne déplorait aucun mort sur son territoire en ce moment précis.

D’autres se posent la question de savoir pourquoi le procureur général de la République s’est prononcé par voie des médias alors que le domaine des relations entre Etats relève du ministère des affaires étrangères. En effet, au regard du statut du procureur général dans un pays donné, il est le patron du ministère public, donc est en étroite collaboration avec l’exécutif. En d’autres termes, ses déclarations engagent également le gouvernement.

Nous avons contacté le Pr. Pascal Niyonizigiye, spécialiste de l’Histoire des relations internationales pour qu’il donne son point de vue. D’emblée, il a fait savoir que quand le Burundi a enterré les quatre cadavres, il avait fait savoir qu’il y aura constitution d’une commission mixte rwando-burundaise chargée de mener des enquêtes. Il aurait été sage si le Burundi avait pensé à créer une telle commission et en cas de besoin, demander une aide extérieure comme celle de la Fbi, surtout que tout semblait être acquis. Cela aurait été plus rationnel.

A la question de savoir dans quelle mesure il faudrait rectifier les propos du procureur général au cas où Kigali serait fâché, M. Niyonizigiye a indiqué que la meilleure façon c’est d’attendre la réaction de l’autre côté de l’Akanyaru. Il a donné l’exemple de Sabanerwa, la frontière entre les deux pays où les militaires se regardaient en face mais que grâce à une commission mixte, tout est rentré dans l’ordre. Même pour le cas présent, rien n’empêche que les choses puissent évoluer d’une façon consensuelle, a-t-il conclu.

Burundi - Elections

Mise en place des Cepi : Même les Batwa sont contre

Bujumbura, le 15 octobre 2014 (Net Press) . Après la grogne de nombreux politiciens en ce qui concerne la mise en place des Cepi, c’est le tour des Batwa qui eux aussi se lamentent de la manière dont la commission électorale nationale indépendante a mis en place les commissions provinciales indépendantes (Cepi).

Effet, ces derniers se plaignent qu’ils n’ont pas reçu les places qu’il leur faut car, ont-ils souligné, car leurs places ont été occupées soit par des Batutsi, soit par des Bahutu. Ces Batwa demandent, via leur représentant Vital Bambanze, alors à la Ceni de revoir la constitution des Cepi et souhaitent que ce qui s’est passé pour les Cepi ne se répète plus pour les Ceci.

Burundi - Administration

Qu’est- ce qui se cache derrière les recoupages et la création de nouvelles entités ?

Bujumbura, le 15 octobre (Net Press) . Le Forum pour la conscience et le développement (Focode) indique qu’il suit avec beaucoup d’intérêt les projets d’un nouveau découpage territorial que ne cesse d’annoncer le gouvernement du Burundi. Alors, cette organisation s’étonne qu’aucun débat public n’ait précédé ces grandes réformes administratives qui se préparent en catimini et qui ne sont annoncées à la population qu’à la fin du processus, c’est-à-dire au moment des discussions au parlement. De telles réformes devraient être annoncées préalablement lors des grands messages du chef de l’Etat à la nation et être suivies de consultations et débats à tous les niveaux avant leur traduction en projets de loi, a fait savoir Pacifique Nininahazwe lors de sa sortie médiatique ce matin.

Il s’inquiète de ce fait d’un redécoupage territorial juste à la veille d’un processus électoral. En 2010, le parti au pouvoir avait été moins voté dans les provinces de Bujumbura-Mairie et rural, Bururi et Mwaro, a-t-il rappelé. Il est alors surprenant, selon le numéro 1 du Focode, de constater que les deux réformes déjà annoncées ont ciblé la réduction du nombre de communes de la mairie de Bujumbura, de la province de Bururi et de celle de Bujumbura rural. A en croire l’orateur, la restriction des communes de la mairie par exemple pourra faire que le nombre des administrateurs des partis qui ne voteront pas comme d’habitude le Cndd-Fdd diminue.

Le Focode note dans ce cas une incohérence et une contradiction flagrantes dans les deux réformes déjà annoncées : à Bujumbura, on regroupe les communes, ailleurs on multiplie le nombre de provinces en créant celle de Rumonge. Il est difficilement justifiable qu’on envisage à la fois les regroupements et les multiplications ! Aux yeux de Nininahazwe, l’Etat burundais ne touche pas la vraie question du rôle de la commune dans le développement, en détachant Rumonge de la province Bururi, juste pour lui attacher d’autres communes. Ce n’est pas ainsi que les populations de ces communes auront des solutions à leurs problèmes de pauvreté, renchérit-il. Il dit alors que le mieux aurait été de doter plus d’autonomie à la commune Rumonge en lui dotant notamment du statut de municipalité à l’instar de la Mairie de Bujumbura.

Néanmoins, le Focode soutient le fait de regrouper les communes pour les rendre économiquement viables et plus efficaces dans la réponse aux préoccupations de leurs populations. La réforme doit viser prioritairement la dotation à la commune des pouvoirs et d’une structure d’un véritable gouvernement local, de moyens financiers et humains à la hauteur de sa mission, poursuit le conférencier. Il propose à cet effet qu’au moins 15% du budget national soit rétrocédé aux communes.

Cet acteur de la société civile propose en effet une grande réflexion sur le rôle de la province. Les options ouvertes ici sont : soit la suppression pure et simple de la province comme l’a fait l’Ouganda, soit la division du pays en quatre ou cinq grandes provinces comme l’a fait le Rwanda.

Enfin, le Focode recommande au gouvernement du Burundi de sursoir à ces réformes de redécoupage territorial, d’engager un grand débat national entre experts de la décentralisation, élus du peuple, administratifs et organisations citoyennes afin de définir une bonne politique de décentralisation répondant à l’exigence du développement. A tous les leaders politiques de faire de l’avenir de la commune un enjeu des élections de 2015 : le renforcement et l’efficacité de la commune est un passage obligé vers le développement du monde rural.

Burundi – France - Syrie - Sécurité

Un djihadiste met en garde son propre pays.

Damas, le 15 octobre 2014 (Net Press) . Suite aux bombardements de la coalition internationale contre l’Etat islamiste, un djihadiste français précise "Autant de bombes que vous avez lâchées en Irak et au Sham (Syrie) vous aurez autant de meurtres, autant de tueries, comme l’a fait notre frère Mohammed Merah, mentionne L’Express. « Vous avez peur d’un frère, il y en aura des milliers et des milliers dans le futur. ». Cette menace d’un djihadiste français établi en Syrie émane d’une vidéo mise en ligne ce mardi, c’est la première fois qu’un Français menace directement la France par un canal officiel de l’Etat islamique, poursuivent nos confrères.

Le même journal précise que la vidéo, suivie d’un appel de deux djihadistes marocains à s’en prendre aux Américains et au Maroc, se présente comme un « message à la France ». Un djihadiste francophone, revêtu d’une combinaison militaire et muni d’une arme, appelle depuis le siège de sa voiture tous les frères qui vivent en France à tuer n’importe quel civil.

Un message « dans la droite ligne de celui d’Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole de l’Etat islamique, qui, le 21 septembre dernier, appelait les musulmans du monde entier à tuer de quelque manière que ce soit les ressortissants de la coalition anti-Daech et en particulier, les Français, les Américains, les Australiens et les Canadiens, comme le stipulent les mêmes informations de L’Express.

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