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Burundi – Justice10 avril 2023
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Burundi – Génocide

Démarrage de la 19ème semaine de réflexion et d’information sur le génocide

23 octobre 2014

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . C’est hier soir que la 19ème semaine de réflexion et d’information sur le génocide a débuté ses travaux au Carrefour de la JRR, dans la commune urbaine de Ngagara. Le professeur Venant Bambneyeho, président de l’association Ac-Génocide Cirimoso, a indiqué que le génocide est là, reconnu par des enquêtes indépendantes et internationales sur demande du gouvernement du Burundi, mais que jusqu’à présent, rien n’est fait pour qu’il y ait réparation. A défaut, a poursuivi le Pr. Bamboneyeho, certains voudraient recourir à des raccourcis tels que vérité et réconciliation. Pourtant, s’il faut remédier à un problème, il faut d’abord mettre en avant la vérité et ensuite la justice pour qu’il y ait réparation puis réconciliation.

Ce démarrage de ladite semaine a vu donc l’animation d’une conférence inaugurale par un autre professeur du nom d’Evariste Ngayimpenda, recteur de l’université du lac Tanganyika, Dr. en Histoire et spécialiste de haut niveau dans le domaine de la démographie. Son exposé portait sur « l’historique du génocide des Tutsi au Burundi ». L’orateur du jour a indiqué d’ores et déjà qu’il n’y a pas moyen de tout dire sur le génocide des Tutsi, surtout en 1972 et en 1993, mais qu’il allait donner quelques repères qui puissent démontrer qu’il y avait planification du génocide contre les Batutsi.

Il a parlé des massacres de janvier 1962 où 4 morts parmi les syndicalistes et 7 blessés ont été enregistrés. Ce fut le cas aussi de l’attaque de 1964 par Paul Mirerekano, à la tête d’une équipe de 34 personnes, à Mparamirundi et à Kabarore, aujourd’hui dans les provinces de Ngozi et de Kayanza. Il y a eu 29 condamnations avec une amende de 935.510 francs burundais destinée aux sinistrés. L’assassinat de Pierre Ngendandumwe le 15 janvier 1965 est venu compliquer les choses car il est perçu comme une action tutsi visant à éliminer des Hutu. C’es ainsi qu’en octobre 1965, il y a eu des massacres contre des tutsi à grande échelle dans les communes de Busangana et de Bugarama dans la province actuelle de Muramvya, suivis d’une tentative de coup d’Etat contre le roi.

Le 28 novembre 1966, Michel Micombero opère un coup d’Etat qui est mal accepté par les Hutu car il est accusé d’être à l’origine de l’échec de la tentative du coup de 1965 et c’est dans ce contexte qu’une autre tentative de le renverser a eu lieu en 1969. Le procès de 1971 contre Ntungumburanye et consorts n’avait d’autres visées que faciliter la division des tutsi pour préparer le génocide de 1972 et de 1973. En 1987, Pierre Buyoya renverse Jean-Baptiste Bagaza et moins d’une année après, il voit l’attaque du Palipehutu au Nord, à Ntega et Marangara. Le 23 novembre 1991, il y a des attaques du Palipehutu à Kayanza, à Cibitoke et à Bujumbura et en 1993, il y a eu un autre génocide contre les tutsi qui a emporté plus ou moins 120.000 morts.

L’orateur a indiqué que le génocide de 1972 et de 1973 n’est pas un fruit du hasard car il y avait des signaux qui montraient que quelque chose se préparait. C’était le cas des drapeaux de la République du soleil, des gens qui le disaient avant que le drame n’ait lieu, la soirée dansante qui était organisée à travers tout le pays, etc. Pour ce professeur, l’analyse objective de 1972 est difficile car il n’y avait pas de journaux, la communication n’était pas aussi développée qu’aujourd’hui. Les journaux qui existaient étaient Flash Infor (du gouvernement), le Monde, le Soir, la Libre Belgique, la Cité mais ils étaient caractérisés par la non maîtrise de la situation réelle du Burundi.

Quant à 1993, c’est facile à constater car après l’assassinat de Melchior Ndadaye, l’on assiste à une spontanéité dans la réaction, la similitude dans la méthodologie, la couverture du territoire (2/3), les moyens (cordes, machettes, etc) et le discours (niveau ni ugutwi = le niveau c’est l’oreille). Contrairement aux autres massacres, le génocide de 1993 est publiquement assumé quand on dit que c’est la démocratie qui s’est défendue ou alors par la mobilisation des femmes.

Le professeur a terminé par une recommandation : pour que le génocide soit accepté, il faut un engagement, une détermination et une documentation suffisante pour avoir des arguments solides. Il a déploré enfin le fait que les tutsi ne communiquent pas suffisamment pour que leur cause soit connue. Cette conférence a été très applaudie par l’assistance. Pour certains, il faut que Ac-Génocide organise un autre cadre beaucoup plus élargi pour une conférence – débat en invitant le maximum de gens aux horizons différents pour qu’il y ait échanges. D’autres ont suggéré qu’il y ait des séances du genre à l’endroit des plus jeunes qui ne maîtrisent pas les contours du génocide des tutsi au Burundi.

Burundi – Elections

Une partie de la classe politique s’indigne de l’environnement sécuritaire et politique

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . Douze partis politiques d’opposition ont rédigé un mémorandum à l’intention du chef de l’Etat pour exprimer leur indignation relative à l’environnement sécuritaire et politique à la veille des élections de 2015.

En effet, dans ce document de 10 pages, 32 points y sont développés, les partis politiques signataires ont voulu mettre le président de la République devant ses responsabilités par rapport aux graves questions qui sont posées à notre pays. C’est notamment des questions liées aux enjeux sécuritaires et aux élections.

Quant à l’organisation proprement dite des élections, des questions qui sont soulevées sont l’indépendance de la commission électorale nationale indépendante, l’interdiction de certains des principaux partis politiques de participer aux élections, la mise en œuvre du plan de fraude électorale « Bacemwo », la persécution terrorisante et l’intimidation des électeurs par le pouvoir local des collines et les Imbonerakure, l’instrumentalisation politique de la justice pour exclure des leaders politiques de la participation aux élections, la restriction des droits et libertés garantis par la constitution pour neutraliser l’action des partis politiques dans la préparation des élections, la question de l’achat des consciences avec les moyens et les ressources de l’Etat, la confiscation des médias publics, notamment la radio et la télévision nationales par le système Cndd-Fdd ainsi que la propagande des médias du parti Cndd-Fdd qui échappe au contrôle des organes constitutionnels et légaux de régulation des médias.

Ces partis indiquent que toutes ces questions constituent une réalité indéniable qui met en péril la démocratie, le processus électoral et la sécurité dans notre pays. Si rien n’est fait, il y a lieu de craindre le pire, concluent-ils. Les signataires sont Léonce Ngendakumana du Sahwanya Frodebu, François Nyamoya pour le Msd, Terence Binagana de Feds Sangira, Chevineau Mugwengezo pour l’Upd Zigamibanga, Rosette Nizigama pour l’A.D.R, Hermenegilde Ryanyeninka de Abahuza, Agahon Rwasa pour le Fnl, Zénon Nimubona du Parena, Déogratias Ndayishimiye pour Sonovi, Jeanne d’Arc Nsabimana pour le Cndd, Charles Nditije pour l’Uprona et Thierry Barampama pour le Pit.

Burundi – Politique – Elections

Le pays toujours en panne politique en matière d’élections

Gitega, le 23 octobre 2014 (Net Press) . C’est ce matin que s’est ouverte à Gitega, au Grand Séminaire Jean Paul II, une troisième évaluation de la feuille de route pour les élections de 2015. Les hommes politiques qui avaient répondu présents au rendez-vous avaient des attentes différentes. Pour ceux de la mouvance présidentielle, il fallait qu’il y ait encore une formation sur ce que l’on pourrait comprendre par élections alors que ceux de l’opposition (Adc-Ikibiri) voulaient justement cette évaluation. Pour ne pas gêner la poursuite des travaux, ceux de l’Adc-Ikibiri et les acteurs politiques ont décidé de quitter la salle.

Burundi – Société civile – Anniversaire

L’Oag souffle ses 15 bougies d’existence

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . L’observatoire de l’action gouvernementale organise une session de redevabilité envers ses partenaires actuels et potentiels ce 24 octobre 2014 à l’hôtel Source du Nil. Cette activité coïncide avec le 15ème anniversaire de l’Oag. L’objectif global de cette activité est de permettre aux différents partenaires de l’Oag de jeter un regard rétrospectif sur ses réalisations et de rendre compte devant l’opinion sur la mise en œuvre de ses engagements et l’utilisation des moyens reçus pour la réalisation de sa mission.

Burundi – Politique - Elections

Adc- Ikibiri : Surtout pas commettre l’erreur monumentale de 2010

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . Les formations politiques regroupées au sein de l’Alliance des démocrates pour le changement ont pris la décision de ne pas envoyer de candidats aux commissions électorales communales indépendantes (Ceci) estimant que les jeux sont déjà faits d’avance.

En effet, les membres des Ceci auraient déjà été désignés dans la plus grande clandestinité, car la Cepi de Bujumbura sait très bien que les 3 jours accordés aux partis politiques pour présenter les candidats ne seront pas suffisants. Dès lors, elle s’en servira comme argument pour officialiser les candidatures de ceux qu’elle aura elle-même sélectionnés, presque tous de sensibilité cnndffddienne.

Mais l’Adc Ikibiri serait bien inspirée de ne pas commettre l’erreur monumentale de mai 2010 lorsqu’après les élections communales, elle s’est retirée de la suite du processus électorale. Si elle s’était maintenue malgré tout, les formations qui la composent auraient obtenu des sièges à l’assemblée nationale, surtout le Fnl d’Agathon Rwasa, ce qui aurait empêché le Cndd-Fdd de monopoliser le pouvoir comme il le fait depuis 4 ans exactement comme à l’époque de l’ancien parti unique l’Uprona.

Burundi – Malversations Economiques

Achat d’un appareil présidentiel en 2014, vente du Falcon 50 en 2006 : même pouvoir, même opacité.

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . L’histoire des avions présidentiels sous le pouvoir du Cndd-Fdd, serait-elle un perpétuel recommencement ? A la fin du mois de décembre 2005, Hussein Radjabu, l’ancien président du Cndd-Fdd et homme fort du pays en lieu et place de Pierre Nkurunziza, annonçait à la surprise générale que le Falçon 50 de l’époque qui était l’avion présidentiel, connaissait des problèmes techniques et qu’il fallait s’en débarrasser à tout prix.

Il n’en était absolument rien comme l’attesta plus tard son commandant de bord, qui n’est plus de ce monde, le colonel Arthémon Rwamigabo. Mais comme la parole de Radjabu était parole d’Evangile à l’époque avant qu’il ne tombe en disgrâce et soit conduit à Mpimba où il est détenu jusqu’à ce jour, le processus de sa vente illicite était lancée, ce qui sera fait en mai-juin 2006, et personne n’a jamais su quelle fut la destination du fruit de sa vente en Californie.

Aujourd’hui, l’acquisition d’un nouvel appareil pour très bientôt, est en train de se faire dans la même opacité que celle d’il y a 8 ans. Quand on entend de la bouche de deux grands ténors du parti au pouvoir, Philippe Nzobonariba et Léonidas Hatungimana, affirmer le premier que c’est un don offert par les pays amis et le second déclarer qu’il a coûté la bagatelle somme de 8 millions de dollars, cela signifie que l’un des deux est un grand menteur.

Pour quelle raison ? Comme il s’agit d’une affaire de gros sous, il y en a certainement qui vont en tirer d’énormes profits financiers. Lesquels ? Certainement pas de l’Uprona, certainement pas du Msd, certainement pas du Frodebu, certainement pas du Fnl…Qui alors ? Tournez votre regard Svp !

Burundi – Hygiène - Assainissement

Pénurie d’eau à Kirundo et à Cibitoke.

Kirundo, le 23 octobre 2014 (Net Press) . Les deux provinces sont caractérisées actuellement par la pénurie de l’eau potable, ce qui cause beaucoup d’inquiétude au sein de la population sur la contamination des maladies dites des « mains sales ».

En province Kirundo, la situation sanitaire est beaucoup plus grave parce qu’elle découle des cadavres jetés dans le lac Rweru il y a bientôt deux mois et qui ont causé des controverses diplomatiques entre Kigali e Bujumbura et qui persistent encore.

Ils se sont littéralement décomposés, avant d’être jetés dans le lac, ce qui n’empêche pas la population de s’approvisionner pour utiliser cette eau dans la cuisson de la nourriture et aussi pour se désaltérer

En province Cibitoke, c’est le médecin directeur de la région sanitaire qui a lancé le cri d’alarme, précisant qu’au moins 560 familles boivent des eaux des rivières totalement impropres à la consommation et courent donc le risque d’attraper des maladies tel que le choléra, la dysenterie etc.. Il a sollicité l’intervention des organisations humanitaires et celle de toutes les âmes de bonne volonté pour éviter une éventuelle catastrophe sanitaire en cette période de pluies diluviennes.

Burundi - Santé

Pourvu que la fièvre ébola ne frappe pas à nos portes

Bujumbura, le 23 octobre 2014 (Net Press) . La ministre de la santé publique et de la lutte contre le sida, Mme Sabine Ntakarutimana, se trouvait hier au palais des congrès de Kigobe, afin d’expliquer les mesures déjà prises pour prémunir notre pays contre l’envahissement éventuel de la fièvre ébola ainsi que ce qui serait fait au cas où les premiers cas seraient dépistés.

Mais ce qui a été effrayant parmi les informations qu’elle a données, c’est que des infirmiers et des infirmières sont en train de se faire inscrire massivement pour aller soigner les patients déjà contaminés dans les 3 pays où cette maladie a déjà causé des ravages, c’est-à-dire le Libéria, la Guinée Conakry et la Sierra Leone.

Or, les experts sont d’avis que les infirmiers en contact avec les malades figurent parmi les premières victimes qui sont déjà mortes, y compris aux Etats-Unis d’Amérique, qui, pourtant possèdent les meilleurs hôpitaux du monde.

Au cas où ces infirmiers, uniquement mus par de l’argent et non par leur santé, retournaient dans notre pays une fois atteints par ce virus, ils deviendraient illico les « importateurs » les plus efficaces de cette maladie mortelle.

Et, au vu de la densité de la population dans notre pays où les habitants sont agglutinés les uns contre les autres sur leurs collines et dans leurs villages, où les maisons dans la capitale sont, soit juxtaposées, soit superposées, la propagation d’ébola atteindrait un rythme presqu’olympique parce qu’il y a eu des concitoyens en blouse blanche totalement inconscients qui sont allés faire « le baiser de la mort ». Tout ce qu’on espère est que cela ne se produira pas.

Burundi – Rd Congo - Sécurité

La Monusco impopulaire en Rdc

Goma, le 23 octobre 2014 (Net Press) . La tension est montée d’un cran hier à l’Est de la République démocratique du Congo, après la mort de 3 manifestants qui figuraient parmi les centaines de Congolais dénonçant l’incapacité de la mission onusienne de sécurisation des provinces orientales de ce vaste territoire.

Les éléments de l’armée gouvernementale appuyés par ceux de la police se sont trouvés « dans l’obligation » de tirer à balles réelles contre les protestataires, lorsqu’ils ont été l’objet des jets de pierre qui ont fait des blessés plus ou moins graves parmi les forces de l’ordre.

Les jets de pierre visaient également les locaux de la Monusco, et la crainte des officiels qui ont donné l’ordre de tirer, était que cette agression fasse des victimes parmi les soldats de la paix envoyés par New York au terme d’une résolution du conseil de sécurité des Nations-Unies.

Pour être plus efficaces dans leur tentative de sécurisation de l’Est de la Rdc, les chancelleries occidentales ont déjà suggéré que les soldats onusiens opèrent main dans la main avec ceux de l’armée gouvernementale qui connaissent mieux le terrain.

Burundi – Côte d’Ivoire - Justice

Le procès de Simone Gbagbo finalement reporté

Abidjan, le 24 octobre 2014 (Net Press) . Jusqu’hier matin, c’était encore de la valse hésitation à Abidjan, car la justice ivoirienne était encore partagée pour savoir s’il fallait oui ou non faire comparaître l’ancienne première dame et épouse de Laurent Gbagbo, Simone Gbagbo.

Les raisons sont celles-là même que nous avons évoquées dans notre édition d’hier, mais ce qui est nouveau, c’est qu’un communiqué officiel a indiqué que le gouvernement reste opposé à ce que cette dame, qui faisait la pluie et le beau temps sur le tout Abidjan et le tout Yamoussoukro, surtout durant les 5 mois qu’a duré le conflit post-électoral, soit extradé à La Haye, malgré les demandes répétées de la cour pénale internationale.

La justice ivoirienne a encore affirmé qu’elle possède suffisamment de preuves et de compétence pour conduire le procès jusqu’à bon port, dans la transparence et l’honnêteté.

Burundi – Burkina Faso - Elections

Réaction vigoureuse de l’opposition contre « la présidence à vie » de Blaise Compaoré

Ouagadougou, le 23 octobre 2014 (Net Press) . 24 heures après qu’un conseil des ministres extraordinaire présidé par Blaise Compaoré lui-même eût décidé de soumettre un projet de loi à l’assemblée nationale portant modification de l’article 37 de la constitution fixant le nombre de mandats présidentiels à deux quinquennats et pas plus, l’opposition parlementaire soutenue par la quasi-totalité des organisations de la société civile n’a pas tardé à réagir hier mercredi.

Elle a appelé à un vaste mouvement de protestation prévue le mardi prochain 28 octobre 2014 qui consistera notamment en une désobéissance civile. Les organisateurs souhaitent que tous les services de l’Etat soient boycottés de façon systématique et que le mouvement soit accompagné de défilés dans les rues des principales villes du Burkina-Faso, à commencer par Ouagadougou la capitale.

En fait au-delà des dix ans « constitutionnels » que Blaise Compaoré vient de passer à la tête de Burkina Fasso, l’opposition y ajoute les 17 ans « putschistes » durant lesquels il a dirigé le pays de 1987 à 2005, après avoir fait assassiner lui-même le charismatique Thomas Sankara. 27 ans en tout auxquels il voudrait ajouter encore 5 ans jusqu’en 2020 avec la quasi-certitude qu’il irait bien au-delà, c’est ce qu’on appelle « une présidence à vie » dont les Burkina-Bé ne veulent pas du tout entendre parler.

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