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Burundi – Sécurité5 mai 2023
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Burundi – Sécurité4 mai 2023
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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
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|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice11 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi - Anniversaire

Spécial « 38ème anniversaire de l’avènement de la IIème République »

31 octobre 2014

Demain 1er novembre 2014, fête de la Toussaint, cela fera exactement 38 ans que le lieutenant-général Michel Micombero était relevé de ses fonctions de président de la République par un groupe d’officiers qui formèrent ce qu’on appela « le Mouvement du 1er novembre 1976 ». La rédaction de l’agence « Net Press » y consacre un numéro spécial de 6 articles, pour rappeler ce que fut la IIème République (1976-1987) et l’homme qui présida à ses destinées, le Colonel Jean-Baptiste Bagaza.

Remettre les gens au travail

Du temps de la Ière République de Michel Micombero (1966-1976), un célèbre bistrot qui s’appelait « Bagatelle », résume assez bien l’esprit de travail de l’époque.

Situé à l’actuel « Ciné Caméo », les grands fonctionnaires de l’Etat y convergeaient peu après 9 heures du matin du lundi au samedi, après être passés par leurs bureaux expédier rapidement les affaires courantes et avoir donné des ordres à leurs subalternes. C’étaient des directeurs généraux, des directeurs de département qui s’y rendaient pour « prendre un petit verre » jusqu’à 12 heures.

Mais les autres bistrots situés dans des quartiers moyens n’étaient pas au chômage. Les fonctionnaires moyens « les plus disciplinés » quittaient leurs bureaux à 12 heures (le système gong unique n’existait pas encore), pour aller prendre eux aussi un verre jusqu’à 13 heures 30 minutes, avant d’aller à la maison prendre leur repas, car les brochettes ne furent introduites dans les cabarets (même le soir) qu’une vingtaine d’années plus tard.

Il faudra que Micombero soit destitué pour que les heures d’ouverture et de fermeture des bistrots soient réglementées comme c’est le cas actuellement, même si Prosper Bazombaza, le 1er vice-président de la République, y a mis un grain de sel un peu maladroit qui a fâché ceux qui gagnent difficilement leur vie.

La IIème République remit donc les gens au travail, et le pays se développa à un rythme accéléré, surtout sur le plan économique, qui fait encore rêver tous les régimes qui se sont succédé jusqu’à ce jour. Mais il faut ajouter que Jean-Baptiste Bagaza bénéficia d’une conjoncture très favorable, à la fois sur le plan économique (le café, le thé et le coton s’exportaient très bien), dont ne bénéficièrent pas ses successeurs, de Pierre Buyoya à Pierre Nkurunziza, en passant par Sylvestre Ntibantunganya et Domitien Ndayizeye.

L’unilatéralisme poussé jusqu’à l’extrême ou le combat perdu d’avance contre l’Eglise Catholique.

Jean Gol, un ancien ministre belge qui n’est plus de ce monde et qui aimait beaucoup le Burundi, demanda un jour à être reçu par Jean-Baptiste Bagaza, au cours d’un de ses séjours qu’il effectuait régulièrement au Burundi pour admirer ses beaux paysages.

L’audience lui fut accordée, et à l’issue de ses entretiens avec le président, il lui dit en termes clairs que jamais dans l’histoire de l’humanité, aucune puissance au monde, fût-elle l’Union Soviétique, n’est parvenue à combattre l’Eglise catholique et réussir à la vaincre. Et il avait conclu : « je serais surpris que vous fassiez exception ».

Selon notre informateur, l’ancien président aurait pris note de la remarque, et demandé à tous les Evêques de l’époque à les recevoir quelques jours plus tard. Très surpris par cette invitation inattendue, ils se présentèrent tous à l’heure prévue-très probablement vers 9 heures du matin – et attendirent jusqu’à 15 heures dans l’après-midi, lorsqu’un membre du protocole entra pour leur dire que le président avait un calendrier « trop chargé » qui ne lui permettait pas de les recevoir.

Prié d’expliquer pourquoi le président changea d’avis, notre informateur, ancien ministre de Micombero qui a tenu à garder l’anonymat, cita un proverbe français bien connu pour l’appliquer au fondateur de la IIème République : « Vous chassez le naturel et il revient au galop ».

No Comment !

Une certaine collégialité durant les 2 premières années.

« La déviance totalitaire d’un pouvoir solitaire ». Ce titre à la rime riche est celui d’un livre publié par Marc Manirakiza, un ancien homme politique très apprécié, un ancien diplomate talentueux) et un ancien haut fonctionnaire au sein des organisations internationales.

Le livre correspond parfaitement à l’état d’esprit de Jean-Baptiste Bagaza durant les dernières années de son pouvoir (nous y consacrons l’article qui suit). Au départ cependant, il consultait ses proches collaborateurs avant de prendre les décisions les plus importantes, notamment son premier ministre et ministre du plan, le lieutenant-colonel Edouard Nzambimana.

Cependant, comme l’esprit de collégialité ne correspondait pas au tempérament de l’ancien président - ce sont ses proches qui le disent-, il amorce un grand tournant politique deux ans après son arrivée au pouvoir.

Il effectue un profond remaniement ministériel, relève Edouard Nzambimana de ses fonctions de premier ministre pour le placer à la tête de la diplomatie burundaise, limoge le lieutenant -colonel Gabriel Ndikumana (trop ronchonneur et trop rouspéteur de son point de vue) pour le remplacer par le lieutenant-colonel Stanislas Mandi, envoie Jean-Baptiste Manuangari à la tête du ministère des transports quand en tant que ministre de la justice, il était « trop Jrr » et ordonne que le dossier « Ntiyankundiye » soit traité « comme il fallait ».

C’est donc le Bagaza à l’esprit collégial qui sollicitait les avis des autres qui fit place au Bagaza qui était convaincu qu’il avait chaque fois raison contre tous, en tous lieux et en toutes circonstances, ce qui le fit prendre des décisions totalement irrationnelles, comme nous l’expliquons dans les lignes qui suivent.

Et si les massacres de Ntega et Marangara avaient été déclenchés sous Bagaza - - -

Moins d’une année après son départ du pouvoir, des massacres d’une grande ampleur furent déclenchés dans deux communes du nord du pays, Ntega dans la province de Kirundo et Marangara dans celle de Ngozi.

Ils visaient les Tutsi qui furent éliminés par milliers, mais l’armée réagit de façon musclée comme toujours contre les Hutu, et fit également des milliers de victimes. C’est donc de justesse que le prédécesseur de Pierre Buyoya n’eut pas à « gérer » cette crise, et lorsqu’on interroge ses partisans, à commencer par ceux du Parena, comment leur mentor aurait réagi, ils répondent que ces massacres ne se seraient jamais produits s’il n’y avait pas eu la date « funeste » du 3 septembre 1987, soit parce que les Hutu le craignaient, soit parce qu’ils l’aimaient.

Or, cette présentation des faits est fausse, archifausse. Une des preuves éclatantes est le communiqué de presse qui suivit le coup d’Etat d’il y a 27 ans. Rédigé par le Palipehutu du vivant de Rémy Gahutu à partir de l’antenne basée en Afrique du Sud, il regrettait beaucoup le départ de Jean-Baptiste Bagaza. Et surtout, il en joignait aux missionnaires étrangers chassés sous le régime précédent de ne pas retourner au Burundi, parce que « rien n’avait changé ».

Les massacres de Ntega et Marangara auraient donc été plus faciles à justifier par leurs commanditaires sous la IIème République. Les propagandistes hutu avaient même une façon mensongère d’expliquer l’anti-cléricalisme du colonel Jean-Baptiste Bagaza. Ils affirmaient que l’ancien président détestait l’Eglise catholique parce que ses fidèles étaient majoritairement Hutu, ce qui était totalement faux.

Pour revenir à l’hypothèse émise en titre, au cas où la crise sanglante d’août 1988 avait éclaté sous la IIème République, il est certain qu’elle n’aurait pas été gérée avec la même « gentillesse » qu’utilisa le major Buyoya. Qu’il soit permis à notre rédaction de citer un prêtre burundais de l’Archidiocèse de Gitega, qui, s’exprimant l’année dernière dans un cadre privé, affirma que si les massacres d’il y a 26 ans avaient eu lieu sous Bagaza, celui-ci aurait ramené, sur le plan numérique, le nombre des Hutu à celui des Tutsi. Sans doute a-t-il exagéré, mais sa réflexion souligne que l’ancienne « armée monoethnique tutsi » aurait réagi d’une manière beaucoup plus musclée qu’en 1972, ce qui correspond à ce qu’on entend souvent, en langue nationale, de la part de ceux qui ont vécu cette période : « Ntiyarikubafyinisha nka Buyoya », pour dire en substance que Jean-Baptiste Bagaza aurait déclenché une répression plus violente que celle de Pierre Buyoya.

L’homme qui faisait peur à Habyalimana

Les amateurs de comparaisons ont l’habitude de faire un rapprochement entre l’ancien président du Burundi Jean-Baptiste Bagaza, et l’actuel l’homme fort de Kigali, Paul Kagame. Sur trois points au moins, la comparaison est facile à comprendre. D’une part, qu’on les aime ou qu’on ne les aime pas, les deux hommes sont des Tutsi qui ont dirigé leurs pays d’une main de fer.

D’autre part, dans la gestion des affaires de leurs pays, ils se croient d’une infaillibilité papale, même si aujourd’hui, le Vatican ne le répète plus avec la même assurance qu’autrefois. Enfin, ils sont tous les deux caractérisés par un tempérament d’acier, ce qui fait que la gentillesse, la douceur et le pardon ne font pas partie de leurs réactions de tous les jours.

C’est cette attitude qui a toujours guidé Bagaza dans ses relations très difficiles avec Juvénal Habyalimana.

En mai 1979, la France, alors dirigée par Valéry Giscard d’Estaing, organisa un sommet franco-africain à Kigali. Le président burundais fut accueilli à l’aéroport de Kanombe par des tracts d’une rare violence contre lui, contre son régime et contre les Tutsi.

Ils étaient distribués par les exilés hutus, aidés activement par leurs « frères » rwandais des services de renseignement de Juvénal Habyalimana. Bagaza quitta précipitamment Kigali sans même attendre le discours d’ouverture du chef de l’Etat français.

Les relations entre Kigali et Bujumbura s’envenimèrent alors comme jamais auparavant, et Mobutu organisa un sommet tripartite à Ngozi, afin de tenter de calmer la situation, car les deux capitales étaient à 2 doigts de la rupture des relations diplomatiques.

Fixant Habyalimana les yeux dans les yeux qui, à l’inverse, avait la tête baissée comme le raconta Athanase Mutana, l’ancien journaliste-vedette de la Radio Nationale d’heureuse mémoire, Bagaza lui dit textuellement que lui Bagaza était Capable de lâcher son armée appuyée par les réfugiés tutsi rwandais sur son pays et que la prise de Butare, suivie de celle de Kigali, ne serait qu’une question de quelques heures.

Le président rwandais prit la menace au sérieux et commença à être très prudent dans ses relations avec son voisin du sud, jusqu’à ce qu’il quitte le pouvoir 8 ans plus tard. Bagaza n’eut donc pas l’occasion des lâcher son armée pour marcher sur les deux plus grandes villes rwandaises, mais un autre que lui s’en chargea et de la plus belle des manières, le général-major Paul Kagame. C’était le 4 juillet 1994, mais ça c’est une autre histoire.

Bagaza, aurait-il accepté les injoctions de sommet de La Baule ?

Certainement pas. Organisé en 1990 dans cette belle station balnéaire sous la présidence Française de François Mitterrand, un sommet regroupa les chefs d’Etat des pays francophones, dont le Burundais Pierre Buyoya.

Le sujet prédominant inscrit à l’ordre du jour était le passage du monopartisme au multipartisme dans les pays sous influence française. Mitterrand adressa une sorte d’ultimatum accompagné de menaces, selon lesquelles tout pays qui ne s’exécuterait pas à la première occasion, verrait ses vivres coupés par Paris.

Pierre Buyoya fut un des premiers « élèves dociles » de l’ancien président à s’incliner devant des injonctions élyséennes le 1er juin 1993 avec les résultats et la suite que l’on connaît.

La question qui se pose dès lors est celle de savoir si Jean-Baptiste Bagaza aurait réagi avec la même docilité et la même rapidité. Vous avez déjà répondu par la négative, car il n’était pas homme à se faire imposer des ordres venus de l’étranger. Il aurait sans doute expliqué que le Burundi est un cas particulier par rapport à un vote démocratique avec le système « Un homme une voix »

Il aurait fait comprendre à Mitterrand qu’avec un tel système, les vainqueurs tout comme les perdants seraient connus d’avance, ce qui serait contraire à la démocratie tel que définie dans les pays occidentaux, qui suppose que tout vote présenté comme « véritablement démocratique », suppose à l’avance qu’il y aurait un jour l’alternance au sommet de l’Etat et au sein des institutions.

Burundi – Société Civile - Elections

Face aux élections prochaines, la société civile tire la sonnette d’alarme.

Bujumbura, le 31 octobre 2014 (Net Press) . La société civile burundaise est préoccupée par un climat qui ne présente pas d’optimisme quant à la passation des élections inclusives et transparentes ouvertes à tout le monde. Me Vital Nshimirimana, président du Forsc, indique que malgré des moments forts qui ont précédé ce processus comme la mise en place de la Ceni, le retour au pays de certains leaders politiques de l’opposition, la feuille de route, la rencontre de Kayanza en 2013, les rencontres de Kigobe et de Royal Palace, les principes généraux pour la conduite des élections de 2015, la proclamation du calendrier électoral et plus récemment encore la nomination des membres des Cepi, il y a lieu de s’interroger sur la nature des échéances de 2015.

Les divisions internes des partis politiques qui sont orchestrées, selon une certaine opinion, par le ministère de l’intérieur, les procès politiques destinés à exclure nombre d’acteurs politiques de premier plan des prochaines élections, les leaders politiques qui ont peur de rentrer pour exercer leurs droits politiques sont des préoccupations de la société civile face au rendez-vous de 2015. A cela s’ajoute les violations des droits de l’homme, l’instrumentalisation des jeunes affiliés aux partis politiques, l’intolérance politique, la monopolisation de l’espace politique et la politisation publique de la police et de la magistrature.

Le Forsc s’inquiète également de la mise en place d’une Ceni qui est partiale et qui a été reconduite sous les cris de certains hommes et femmes politiques. Il se demande également si cette Ceni pourra alors se retirer des injonctions des hommes politiques qui l’ont mise là et vis-à-vis du comportement qu’elle affiche dans la mise en place des Cepi et dans l’écartement de certains acteurs politiques dans les élections prochaines, la société civile reste pessimiste face à 2015. Elle a alors émis des recommandations multiples au gouvernement, aux partis politiques mais surtout le Forsc demande à la Ceni d’adopter un comportement impartial face à la gestion des élections de 2015 et de corriger rapidement les erreurs commises pour ne pas replonger le pays dans une impasse politique. La société civile a alors fait copie de ce mémorandum au gouvernement et aux ambassadeurs accrédités à Bujumbura.

Burundi – Administration

Deux directeurs du service national des renseignements échangent leurs postes

Bujumbura, le 31 octobre 2014 (Net Press) . Selon un décret présidentiel du 24 octobre 2014, deux directeurs au service national des renseignements, Gilbert Bulanje et Ferdinand Sindayigaya, ont permuté leurs postes. Le premier, qui occupait la direction du service étranger va désormais s’occuper du service économique. Le deuxième qui occupait ce dernier poste va remplacer Gilbert Bulanje au service étranger.

Burundi – Gouvernance –Coopération

Remise des certificats aux porte – paroles des institutions publiques burundaises

Bujumbura, le 31 octobre 2014 (Net Press) . Le ministre chargé de la bonne gouvernance et de la privatisation, Ernest Mberamiheto et l’ambassadeur de France au Burundi, Gerrit Van Rossum, vont procéder aujourd’hui à la remise d’attestations aux participants qui ont suivi la formation en communication institutionnelle et porte-parolat. Cette formation a eu lieu du 27 au 31 octobre 2014 à l’hôtel Martha et c’est là même que les attestations seront délivrées à partir de 16 heures.

Burundi – Communication - Economie

L’Obr a désormais une porte-parole

Bujumbura, le 31 octobre 2014 (Net Press) . L’office burundais des recettes a désormais une porte-parole du nom de Mme Dany Ange Gakunzi. Mais d’ores et déjà, elle apparaît comme une personnalité fictive car les sollicitations d’information à l’Obr passeront toujours par la direction de la communication et des services aux contribuables qui l’aidera dans le traitement de la demande des journalistes.

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