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Burundi – Sécurité4 mai 2023
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Burundi – Médias3 mai 2023
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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
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Burundi – Sécurité1er mai 2023
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Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
|51 ans après, les Burundais n’ont pas encore une lecture commune des événements de 1972

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Burundi – Justice27 avril 2023
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|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi – Malversations Economiques

L’Olucome demande la suspension urgente de la création de la société Mobile virtual network operator

12 novembre 2014

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) .Au cours d’une conférence de presse qu’il a animée ce matin sur la dilapidation des biens au niveau de l’Onatel, M. Gabriel Rufyiri, président de l’observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (Olucome), a indiqué que l’Onatel est une société à 100% étatique. Mais, selon lui, cette société a été caractérisée par plusieurs dossiers louches surtout à la veille des élections. Il a insisté sur 4 cas emblématiques sur 13 dossiers qui sont à leur disposition.

Le premier dossier qui date de 2005 concerne une société Sud-africaine qui s’appelle Spi où une somme de 600.000 dollars a été volée dans les caisses de l’Onatel sur facilitation de quelques autorités burundaises. Le deuxième dossier concerne une société de droit Canadien qui s’appelle Naïtex. Cette dernière a signé un mémorandum d’entente avec Arct et par la suite, elle a signé un contrat. C’est une société qui venait pour contrôler le trafic international entrant au Burundi. Mais comme les dirigeants burundais n’ont pas vu des intérêts personnels, la société a été contrainte de quitter le sol burundais, a fait savoir le président de l’Olucome. Par la suite, il y a une société qui est venue, appelée SG2 qui opère actuellement, même le montant qui provient de ce contrôle du trafic de télécommunication est versé à l’Ecobank.

Le matériel de cette société Naïtex se trouve toujours à l’Onatel alors que cette société a été contrainte de vider les lieux. Aux yeux de l’Olucome, comme il y a les contrats, c’est un contentieux qui est là que demain ou après-demain, l’Onatel sera obligé de payer avec des intérêts moratoires.

Le troisième dossier est celui du projet de fibre optique qui est en train d’être exécuté sous le financement de la Chine mais un financement crédit qui a été donné par eximbank of China d’un montant de 14.980.000 dollars. Ce montant a été subdivisé en 2 parties. La 1ère a été acheminée à l’Onatel pour parachever ce programme fibre optique tandis que la 2ème partie a été transférée au service national des renseignements. Pour l’Olucome, l’Onatel va payer un montant qu’il n’a pas consommé. Le quatrième dossier concerne les dettes de l’Onatel envers les tiers. L’Onatel a une dette à court terme de 32.192.235.659 Fbu, une dette qui n’avait pas la raison d’être, selon l’Olucome.

Le dernier dossier qui a fait l’objet de cette conférence de presse est la nouvelle société qui vient d’être créée qui s’appelle Mobile virtual network operator Burundi (Réseau virtuel mobile du Burundi). Cette société va regrouper Africell et Onatel, volet mobile. Déjà l’Africell Burundi est en phase de fermeture. Le communiqué de l’Arct a indiqué que la dernière date d’opération de cette entreprise est le 16 décembre 2014. Donc, elle n’a plus de licence d’exploitation. Ce qui déduit qu’Africell va opérer sous la licence de l’Onatel. Ce que l’Olucome qualifie de tricherie car chaque société paie la licence d’exploitation à concurrence de 10 millions de dollars américains pour une période déterminée. Africell volet mobile et Onatel mobile ne vont rien payer au trésor public, car elles vont utiliser la licence de l’Onatel.

Pour l’Olucome, il y a le problème en rapport avec le respect des lois, principalement le code des sociétés et le code de commerce. Comme l’Onatel est une société publique à 100% et l’Africell, une société privée, les deux sociétés sont régies par des régimes juridiques différents. Normalement, l’Onatel devrait réunir le conseil d’administration et décider du sort de cette entreprise et non le gouvernement. L’Africell de même devrait réunir le conseil d’administration et l’assemblée générale pour décider soit de sa dissolution soit de migrer vers une autre société, ce qui n’a pas été le cas.

Pour cet observatoire, le problème est que c’est une société qui est en train d’être créée à la veille des élections de 2015 et surtout qu’il y a une précipitation exagérée de créer la société sans que les organes compétents n’étudient la question à fond. Sur ce, l’Olucome recommande aux autorités burundaises de suspendre ce projet pour être exécuté après les élections de 2015. Il regrette que cette situation soit ainsi au moment où la santé financière de l’Onatel est critique. Il invite les médias, les organisations de la société civile, les partis politiques d’exercer leurs droits de refuser à tout dirigeant qui veut dilapider les biens publics.

Burundi - Commerce

Avec la création de l’Api, à quel point se trouve les investissements au Burundi ?

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) . C’est la question que Parcem se pose puisqu’au lieu de décoller économiquement, le Burundi régresse alors que d’autres pays post-conflits comme le Burundi ont déjà leurs économies un peu stables grâce à la création des agences de promotion des investissements. Selon Faustin Ndikumana, suite à cette situation, son organisation a alors commandité une étude pour que l’état des lieux soit dégagé et d’en donner des lacunes le cas échéant.

Le consultant Charles Nihangaza qui a fait une étude en rapport avec les réalisations de l’Api a alors précisé que cette institution ne suit pas de très peu les entreprises pour qu’elle sache là où elles sont localisées. Ailleurs, il y a des suivis qui sont effectués pour voir si les engagements que les entreprises font au moment de l’enregistrement sont exécutés, a fait savoir l’ex-ministre des finances.

Il a en outre rappelé que l’Api devait contrôler les problèmes que ces entreprises connaissent au niveau des administrations puisqu’il y a des cas où par exemple au ministère de la santé, ils ne sont pas perméables face à l’implantation des entreprises. Ce que fait l’Api, ce qu’elle accueille bien ceux qui y vont et peuvent même accepter de créer les entreprises mais ne suit pas si le nombre de gens qu’elles acceptent d’engager sont respectés, a déploré l’orateur. Ce qui fait que la réalité de ce que ces entreprises font rentrer dans le pays n’est pas aussi facile à connaître, si l’on tient compte par exemple de la réduction des chômeurs ou aux entrées dans les caisses de l’Etat.

Le Rwanda et la Siéra-Léone, des pays post-conflits ont déjà décollé par rapport à cela puisque ces structures (Api) suivent de près les engagements et le processus final de ces entreprises, a renchéri M. Nihangaza. D’autres problèmes qui freinent les investissements sont entre autres la justice qui n’est pas indépendante, l’instabilité politique, la corruption qui se fait encore parler d’elle, etc. mais tout ce qu’il recommande est que le suivi-évaluation de l’Api soit efficace d’autant plus que ce volet vient d’être créé au sein de cette agence.

Burundi - Politique

Le Mrc stoppé en pleine réunion en commune Busoni.

Kirundo, le 12 novembre 2014 (Net Press) . L’administrateur de la commune Busoni en province Kirundo a décidé de recourir à la police, pour interrompre brusquement une réunion du parti Mrc (mouvement de réhabilitation du citoyen) Rurenzangemero. Le responsable communal de ce parti fondé par le colonel Epitace Bayaganakandi venait d’aborder la culture de la plante Stévia initiée dans notre pays par le président de ce parti, mais combattu par le ministère de l’agriculture et de l’élevage pour des raisons totalement irrationnelles.

Des incidents autour de cette plante ont lieu régulièrement sur l’ensemble du territoire national, alors que la population adhère massivement à la culture du Stévia, parce qu’il leur rapporte de l’argent de façon substantielle. C’est un véritable scandale, une véritable honte de voir les représentants du pouvoir en place combattre systématiquement un produit agricole parce qu’ils savent que cela fait plaisir aux dirigeants de ce pays. Devrait-on aller jusqu’à en déduire que lorsqu’une culture est prisée par les citoyens de ce pays, parce qu’elle leur fournit de quoi vivre et faire vivre leurs familles, de quoi soigner leurs enfants et les envoyer à l’école, cela fait mal aux dirigeants de ce pays ?

Burundi – Recherches Scientifiques - Anniversaire

Dommage que les étudiants de l’université aient décidé de boycotter le 50ème anniversaire de la fondation de leur institution.

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) . Décidées avec 6 mois de retard, les cérémonies du 50ème anniversaire de la création de l’ex-Uob (Université officielle de Bujumbura) ont eu lieu ce mercredi 12 novembre 2014 dans une atmosphère de morosité, car les étudiants ont décidé de les boycotter, en raison des profondes divergences avec le rectorat.

Il est regrettable que les étudiants aient décidé de ne pas prendre part aux cérémonies, car l’ancienne puissance de tutelle, le royaume de Belgique, ne peut en aucun cas expliquer aujourd’hui qu’elle ait pu passer plus de 40 ans à administrer un pays sans penser un seul instant à créer une seule université ou même un seul institut supérieur, même aux dimensions modestes.

Le 20 mai 1964 donc, la création de l’université officielle de Bujumbura (Uob) figura parmi les toutes premières décisions de grande envergure dans le domaine de l’éducation prise par le Burundi à peine délivré de la tutelle Belge, un grand événement qui aurait dû réunir tous les étudiants, sans être obligés de défiler ni d’applaudir les autorités rectorales. Cela aurait même été une occasion en or de profiter de la présence des médias pour dénoncer le recteur pour sa mauvaise gouvernance, tout en montrant à l’opinion nationale et à la mission diplomatique belge que le 20 mai 1964 fut une date historique tel que voulu par le nouveau Burundi indépendant.

Burundi – Politique - Anniversaire

Un 11 novembre totalement passé inaperçu au Burundi.

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) . Ce mardi 11 novembre 2014, le monde entier s’est souvenu qu’il y avait tout juste 96 ans qu’était signée l’armistice mettant fin à la première Guerre Mondiale dite « Grande guerre), ainsi qualifiée car nul ne pouvait imaginer une seule seconde qu’un autre conflit aussi meurtrier pouvait se produire et atteindre 18.500.00 morts. Mais on sait que la seconde guerre mondiale fit jusqu’à 60 millions de victimes selon les estimations. Le 2ème 11 novembre commémoré hier est le 10ème anniversaire de la mort de Yasser Arafat décidé à Paris le 11 novembre 2004 où il venait d’être évacué d’urgence, ce qui mit en colère Israël irrité qu’un terroriste puisse être soigné sur le sol français.

Le même jour dans la capitale burundaise, un tremblement de terre politique secouait le sommet de l’Etat, avec la destitution d’Alphonse-Marie Kadege de son poste de vice-président de la République par Domitien Ndayizeye, le chef de l’Etat. C’était en pleins débats sur le référendum constitutionnel dont la date était fixée au 28 février 2005. Le parti Uprona, soutenu par l’ancien vice-président, exigeait que la nouvelle constitution contienne une clause prévoyant l’alternance ethnique au sommet de l’Etat, ce que tout le G7, soutenu discrètement par les missions diplomatiques, considéra comme anti démocratique et donc inacceptable.

Ce 10ème anniversaire passa totalement inaperçu et c’est à peine que la classe politique, à commencer par le parti Uprona et le grand professeur et historien-démographe respecté, Evariste Ngayimpenda, s’en sont souvenus sauf peut-être dans les bistrots, auquel cas la rédaction de Net Press s’excuse de ne pas en parler.

Burundi – Politique

La réconciliation réussira par le « Notre prère qui es aux cieux » interposé.

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) . Une prière qui date de plus de 2000 ans à l’époque où les Hutu et les Tutsi n’existaient pas encore sous leur identité actuelle, peut-elle réussir la mission conciliatrice que s’est assignée la Cvr ? C’est en tout cas ce que croit dur comme fer le président de la République, M Pierre Nkurunziza, hier lors de l’ouverture d’une session de prières pour la paix, la réconciliation et la réussite des élections de 2015.

Se référant aux élections de 2010, il a déclaré qu’elles se sont bien déroulées, ajoutant que celles de l’année prochaine le seront davantage, si tous les scrutins qui se succèderont sont accompagnés de prières. Toutes les élections qui se déroulaient auparavant ont toujours été suivies de troubles sanglants, faisant certainement allusion à celles de 1961, de 1965 et de 1993.

Cette fois-ci, il n’en sera rien, à condition que le passage de la prière recommandée par Jésus « Pater noster », qui est « pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » soit répété à maintes reprises.

Cependant, l’argumentation du chef de l’Etat risque de ne pas être convaincante pour tous, à commencer par les membres de la rédaction de « Net Press », qui ont encore en mémoire que les criminels de l’ex-palipehutu-Fnl (et même semble-t-il, du Cndd-Fdd) accompagnaient leurs atrocités de prières et de chants de gloire, d’actions de grâce et de louanges à Dieu rythmés par « Alleluia ».

Burundi - Education

Les ministères en charge de l’éducation passent la revue sectorielle conjointe de l’éducation 2014

Bujumbura, le 12 novembre 2014 (Net Press) .La revue sectorielle conjointe de l’éducation 2014 a été organisée depuis hier par les deux ministères en charge de l’éducation, celui de l’enseignement supérieur et celui de l’enseignement de base et secondaire. Selon M. Liboire Bigirimana, secrétaire permanent au ministère de l’enseignement de base et secondaire, l’objectif est de pouvoir rassembler les partenaires techniques et financiers qui appuient le sous-secteur de l’éducation à travers le fond commun de l’éducation et les deux ministères en charge de l’éducation pour passer à l’évaluation de toutes les activités qui ont été prévues dans le plan d’action 2013.

Il a fait savoir qu’on organise chaque fois deux réunions de cette dimension. Et d’ajouter que l’une est organisée chaque fois au mois de Mai de l’exercice en cours tandis que l’autre est organisée au mois de novembre de l’exercice toujours en cours. Pour M. Bigirimana, c’est de pouvoir essayer de passer à l’évaluation de toutes les activités qui ont été inscrites dans le plan d’action de l’année n-1 pour voir ensemble les étapes déjà franchies. Et cela par rapport aux différentes recommandations émises à travers les réunions de la revue sectorielle et aussi à travers les réunions effectuées à travers différents cadres de concertation entre les deux ministères en charge de l’éducation et les partenaires techniques et financiers pour passer en revue les différentes activités à faire sur l’année n+1 pour essayer d’arracher un compromis.

Burundi – Rd Congo – Pays-Bas - Justice

L’autre procès dans le procès de Jean-Pierre Bemba devant la Cpi

La Haye, le 12 novembre 2014 (Net Press) . L’ancien vice-président de la République démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba, se trouve sous les verrous à la prison de La Haye depuis maintenant 5 ans. Il fut arrêté en 2009 alors qu’il se reposait tranquillement à Bruxelles, convaincu que rien ne lui arriverait.

Avertie du lieu où il se trouvait, la Cpi demanda à la police belge de mettre à exécution le mandat d’arrêt international dont il était l’objet, pour les crimes graves qu’il a commis en République Centrafricaine de 2002 à 2003. Ils sont qualifiés de crimes contre l’humanité par la cour, lorsque ses hommes de main venus de la Rdc sont intervenus pour combattre la rébellion de François Bozizé et se sont mis à massacrer les populations.

Cependant, deux ans après sa capture, soit en 2011-2012, ses partisans auraient donné de l’argent aux témoins alors que le procès était en instruction, pour qu’ils donnent une version mensongère sur les faits à sa charge. Cet argent aurait été puisé dans ses comptes bancaires particulièrement bien garnis dans l’ancienne puissance coloniale et en Suisse, selon les enquêtes menées par la Cpi.

C’est ce qu’on appelle, dans le langage juridique, un délit de « subornation » qui, a ajouté aux crimes contre l’humanité, risque de lui coûter cher devant les juges qui vont commencer par se pencher sur ce deuxième cas.

Burundi – Nigéria - Elections

Good Luck Jonathan vient de solliciter un autre mandat qui risque de lui compliquer les choses.

Abuja, le 12 novembre 2014 (Net Press) . Le président sortant du Nigeria, M. Good Luck Jonathan, vient de surprendre ses compatriotes, en annonçant qu’il va briguer un 2ème mandat dans la perspective des élections présidentielles de l’année prochaine. Mais cette annonce a été faite au moment où sa popularité est au plus bas auprès de ses compatriotes.

La principale raison est qu’il est complètement incapable de lutter contre l’insécurité dont est responsable la secte islamiste Boko Haram. Les « fous de Dieu » qui en sont membres se promènent comme bon leur semble dans les états du Nord et du Nord-Est sans craindre quoi que ce soit ni qui que ce soit.

Mais surtout, le grand objet de son impopularité, c’est l’enlèvement puis la détention toujours en cours de plus d’une centaine de jeunes lycéennes en avril de l’année en cours, qui, aux dernières nouvelles, auraient été « mariées » de force aux islamistes et la moitié seraient enceintes alors que leur âge se situe entre 8 ans et 20 ans. A plusieurs reprises, Good Luck Jonathan a promis de les faire libérer « dans les meilleurs délais », mais cette promesse est restée lettre morte jusqu’à présent.

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