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Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Spécial troisième mandat de Pierre Nkurunziza

L’émissaire de Barack Obama en visite au Burundi

30 avril 2015

Bujumbura, le 30 avril 2015 (Net Press). Le sous-secrétaire d’Etat américain en matière de démocratie, des droits de l’homme et du travail, Tom Malinowski, est en visite de travail dans notre pays depuis hier. Il compte s’entretenir avec le chef de l’Etat, Pierre Nkurunziza, où il va réaffirmer la déception des Etats-Unis suite à la décision du président sortant de briguer un troisième mandat, contrairement à ce que stipulent les accords d’Arusha. Il exhorte également tous les acteurs à ne pas user de la violence afin de préserver les acquis engrangés par le Burundi et le peuple burundais depuis 2005. M. Malinowski fera enfin part de ses préoccupations suite à la décision du gouvernement de fermer les radios privées, et ainsi restreindre davantage la liberté de réunion, d’association et d’expression.

Signalons que les services de la présidence de la République n’ont pas autorisé aux médias privés de couvrir cette rencontre, seuls nos confrères de la radio et télévision nationales ont fait cette activité. Malgré cela, il y a une intention de la part du sous-secrétaire d’Etat de rencontrer les organisations des professionnelles des médias.

L’EurAc contre le troisième mandat de Pierre Nkurunziza

Le réseau européen pour l’Afrique centrale (EurAc) et ses membres, réunis en assemblée générale à Rome en date du 29 avril 2015, appellent l’Union européenne à condamner avec la plus grande fermeté la candidature du président sortant Pierre Nkurunziza à l’élection présidentielle du 26 juin 2015, annoncée le 25 avril 2015 lors du congrès du parti présidentiel ainsi que la répression violente qui a suivi cette annonce.

Une information en provenance de ce réseau indique que l’annonce de la candidature du président Pierre Nkurunziza va à l’encontre des accords d’Arusha et de la constitution burundaise. Elle représente une grave menace pour l’alternance démocratique et la stabilité non seulement du Burundi, mais aussi de la région des grands lacs tout entière. L’Union européenne doit peser de tout son poids pour que l’Etat de droit et l’alternance démocratique et pacifique soient respectés.

La Belgique préoccupée par la situation politique et sécuritaire du Burundi

Par le biais de ses deux vices premier ministre, Didiers Reynders et Alexender De Cro, la Belgique a exprimé sa préoccupation face à la situation au Burundi, suite à des manifestations d’opposants depuis le 26 avril 2015 alors que le parti socialiste, dans l’opposition, a condamné la répression qui a fait au moins cinq morts ces derniers jours. Samedi dernier, le 25 avril 2015, ce royaume a été parmi les premiers à appeler à respecter la sphère publique et les droits de l’homme, alors que le parti présidentiel venait de désigner Pierre Nkurunziza comme candidat à l’élection présidentielle du 26 juin 2015.

Ce pays dit condamner toute forme de violence et d’intimidation commise envers les citoyens, l’opposition politique ou les défenseurs des droits de l’homme. La responsabilité individuelle de ceux qui commettent des actes violents ou des violations graves des droits de l’homme sera engagée, affirment ces deux responsables. Ils avancent que l’accord d’Arusha, considéré comme la pierre faitière du processus de paix au Burundi et qui a mis fin à la guerre civile, énonce clairement qu’aucun président ne pourra diriger ce pays plus de dix ans. Par contre, estiment ces deux premiers vice-premier ministre, la constitution burundaise est moins claire et les supporters du président arguent que ce dernier, élu en 2005 au suffrage indirect – par le parlement – et réélu en 2010 au suffrage universel direct, n’a été élu qu’une seule fois directement. Cependant, la décision de Nkurunziza de briguer un troisième mandat risque d’entraîner le pays dans le chaos et de perturber le bon déroulement des élections, affirment-ils.

Le parti socialiste français déplore les morts suite aux répressions des forces de sécurité

Le parti socialiste français déplore ces morts et exprime ses vives condoléances à leurs proches. Il exige la libération immédiate du militant des droits de l’homme et la réouverture de la Radio publique africaine. Il exprime également sa vive préoccupation face à la décision du Cndd-Fdd. En brisant la règle de la limitation à deux mandats présidentiels, introduite par les accords d’Arusha pour la paix et la réconciliation du 28 août 2000 et retranscrite dans la Constitution promulguée le 18 mars 2005, le président sortant prend la responsabilité de raviver des tensions, difficilement apaisées après 10 ans de guerre civile entre 1993 et 2003.

Le Parti socialiste soutient la société civile et les partis démocratiques qui tentent pacifiquement de faire respecter les règles issues des accords de paix. Il appelle les forces de sécurité à la retenue lors des manifestations, et demande au président P. Nkurunziza d’écouter les demandes légitimes de son peuple qui aspire à la démocratie et à une paix définitive.

Situation sécuritaire au terme du 5ème jour des manifestations

Pour une fois depuis ce 26 avril 2015, tous les quartiers des communes urbaines ont fait des manifestations. Même les communes Kinindo et Kamenge sont entrées dans la danse et selon des informations reçues ici et à, une nouveauté de ce mouvement est que les populations citadines voulaient se rendre au centre-ville pour y faire des manifestations, ce qu’ont refusé les policiers qui étaient aux côtés des militaires.

Cependant, des dégâts matériels ont été enregistrés car dans Kinanira, une voiture d’un policier en tenue civile a été brûlée, des forces de l’ordre ont également tiré un peu partout, que ce soit au Nord et au Sud de la capitale. Une personne a été tuée dans Mutakura, une quinzaine de personnes également blessées dans Kinama, six autres blessées dans Musaga ainsi qu’une autre quinzaine de personnes appréhendées dans la commune urbaine de Kamenge ainsi que plus de 100 dans Musaga. Dans les communes de Bwiza, de Ngagara et de Cibitoke, des pneus de voitures étaient en flammes. Dans la commune de Kanyosha, des Imbonerakure ont été aperçus avec matraques.

Au centre-ville, à l’endroit de l’ancien marché central de Bujumbura, une grenade a explosé dans un bus Coaster de plaque B 0920 A, assurant le transport entre le centre-ville et Mutakura, dans la commune urbaine de Cibitoke, qui venait d’y garer. Heureusement qu’il venait de déposer tous les passagers qui étaient à son bord.

Signalons également qu’hier, six jeunes hommes ont été enlevés dans la commune urbaine de Nyakabiga et acheminés vers une destination inconnue. L’on notera également que les étudiants des campus Mutanga, Kamenge et Zege de Gitega ont commencé à rentrer chez eux ce matin suite à la décision du ministre ayant en charge l’enseignement supérieur. L’insécurité aurait motivé la décision du ministre. Signalons enfin que le jeune de 15 ans, Jean Nepo Komezamahoro, fauché par les policiers le 26 avril 2015, a été enterré avec dignité aujourd’hui, sur intervention de la maison Shalom de Ruyigi.

1056 organisations de la société civile burundaise lancent un cri d’alarme sur la situation actuelle du pays.

Ces organisations de la société civile burundaise ont écrit à l’Ombudsman burundais en tant que médiateur afin qu’il conseille le président Nkurunziza afin qu’il renonce à son troisième mandat qui fait paralyser tout dans le pays depuis qu’il a annoncé sa candidature aux échéances de 2015. Elles interpellent la communauté internationale, qui a copie de cette correspondance, à prendre les choses en main pour éviter le pire dans notre pays.

Ces organisations indiquent en outre que cet état des lieux résulte du fait que les dignitaires de ce pays ont peur d’être poursuivis pour les crimes qu’ils ont commis et elles regrettent que la police s’est mal comportée, se livrant à des tueries et une crise de confiance entre la population et les policiers a fait surface. Au vu et au su des policiers, les Imbonerakure ont assassiné plus de cinq personnes et en complicité avec la police, ceux-ci ont fait beaucoup de personnes blessées et des personnes détenues et l’effectif ne cesse de s’accroître, déplorent ces organisations.

Elles regrettent en outre que plus de 80% de l’activité économique est paralysée et ceci engendre de lourdes pertes pour le pays et les citoyens. La violation des droits humains atteint son point culminant car pas de droit d’informer, d’opinion et de manifester, ce qui ne peut pas être accepté au 21ème siècle.

Beaucoup de recommandations ont été alors formulées à qui de droit pour protéger le pays. Les principales sont que le président renonce à ce mandat illégal afin de respecter la loi-mère et les accords d’Arusha, garantir les droits des personnes vulnérables à savoir les enfants, les femmes, les handicapés, de désarmer les Imbonerakure qui bénéficient de la complicité de la police et bien d’autres. A la communauté internationale en général et aux Nations-Unies en particulier, de prendre des mesures pour protéger la constitution et les accords d’Arusha pour sauver la démocratie au Burundi qui est en danger.

Spécial « fête du travail du 1er mai 2015 »

Pas de défilé des travailleurs ce 1er mai 2015

La fête internationale du travail de ce 1er mai 2015 tombe à un très mauvais moment pour le pouvoir du Cndd-Fdd. A près de deux mois de l’élection présidentielle du 26 juin 2015, Pierre Nkurunziza et le groupuscule de ses partisans et de ses inconditionnels qui l’entourent auraient tant aimé faire de cet événement un tremplin pour se présenter aux 10 millions de Burundais, aux diplomates étrangers et à l’opinion internationale comme le seul leader en place qui tient le pays en main dans la paix et la stabilité et que pour cela, il mérite de se succéder à lui-même.

Malheureusement, il y a les manifestations qui durent depuis le début de cette semaine, et même si elles ont commencé à s’essouffler depuis hier, la colère, elle, ne baisse pas. Les deux principales confédérations syndicales du pays, la Cosybu et la Csb, ont lancé dès hier un appel à leurs affiliés, soit presque tous les travailleurs appartenant au secteur public, parapublic et privé, pour qu’ils boycottent le grand défilé prévu.

Ils ne veulent pas du tout donner le sentiment de cautionner la volonté du président de violer les accords d’Arusha et la constitution. Il y aura donc bel et bien fête des travailleurs, mais ils la commémoreront entre eux autour d’un verre, et l’on peut jurer que toutes leurs conversations tourneront autour de leur allergie à revoir Nkurunziza encore président de la République au terme de son 2ème mandat.

Le 1er mai : fête des travailleurs ou des employeurs ?

Depuis que cette fête est commémorée dans le pays, cette question revient sur toutes les lèvres, pour quiconque voudrait observer froidement comment elle se déroule et surtout comment les services du protocole organiseront les choses.

Sous les régimes militaires à parti unique, il y avait le président de la République qui occupait la tribune d’honneur entouré de ses ministres et des grands officiers membres du conseil suprême révolutionnaire (sous Bagaza) ou du comité militaire pour le salut national (sous Buyoya).

Etaient ensuite installés les ambassadeurs des pays étrangers, les hauts fonctionnaires de l’Etat ayant le rang et les avantages des ministres, les directeurs généraux et tous les autres chefs de service dans les différents ministères. Il faut noter tout de même que les membres du comité central de l’Utb, l’ancien syndicat unique, avaient eux aussi leurs places dans la tribune d’honneur au stade prince Louis Rwagasore.

Tous les autres étaient regroupés dans les tribunes latérales et sur le pourtour mais c’étaient eux, les vrais travailleurs, qui avaient défilé sous un soleil accablant. Il précise tout de même que le secrétaire général de l’Utb était le seul à avoir sa place à la tribune centrale d’honneur et son discours était centré sur les éloges au chef de l’Etat, « le leader respecté et bien-aimé » de tous les travailleurs, y compris les 90% d’agriculteurs qui ignoraient jusqu’à l’existence de cette fête.

Et lorsque les cérémonies du stade prince Louis Rwagasore étaient terminées, tous ces dignitaires se retrouvaient à l’endroit convenu pour siffler du champagne ou des boissons de haute qualité et de haute teneur en alcool, tout cela aux frais du prince et à la sueur des vrais travailleurs qui, bien entendu, n’étaient pas présents.

Le jour où Bagaza voulut casser l’Utb

Au mois d’août 1983, l’Utb organisa son congrès national ordinaire à Gitega sous la présidence de celui qui était secrétaire général du syndicat à l’époque, le regretté Mathias Nizigama, emporté par un accident de circulation routière il y a une dizaine d’années.

Les travaux se déroulaient dans la grande et belle salle du l’actuel lycée Sainte Thérèse de Gitega géré par les Sœurs de la congrégation des Bene-Téreziya.

Au dernier jour, il était inscrit au programme que les congressistes renouvellent les membres du comité central. Mais il se posa un grand problème, lorsqu’il fallut décider si le renouvellement devait se faire à main levée ou par bulletin secret.

Le secrétaire général du parti Uprona présent pour la circonstance pour clôturer le congrès, imposa le vote à main levée sur instruction directe de Bagaza à Emile Mworoha au téléphone comme le constatèrent les congressistes. Mais les syndicalistes refusèrent et élirent les nouveaux membres du comité central de l’Utb par le bulletin secret.

Trois jours lus tard, le couperet tomba et Bagaza, fidèle à lui-même, nomma par décret présidentiel, un nouveau secrétaire général du syndicat, Marius Rurahenye et un nouveau comité central, dont la mission était d’applaudir chaque jour la IIème République et son président et aussi de déclarer sur tous les toits du monde que les travailleurs du Burundi étaient les plus heureux de la planète et qu’ils n’avaient aucune revendication à faire prévaloir.

En 1987, Buyoya refuse le multisyndicalisme

Lorsque le major Pierre Buyoya s’empare du pouvoir le 3 septembre 1987 en l’absence de Jean Baptiste Bagaza parti au sommet du Québec au Canada, il cherche à tout prix à donner de lui une image tranchant nettement avec celle de son prédécesseur, c’est-à-dire celle d’un chef d’Etat profondément humain, compréhensif, ouvert au dialogue et acceptant d’être contrarié par ses interlocuteurs.

L’Utb alors profita de ce climat de sérénité au sommet de l’Etat et sollicita une audience avec les nouveaux maîtres du pays. Tout le comité central est reçu par Buyoya entouré de la quasi-totalité des membres du comité militaire pour le salut national.

L’Utb a l’intention d’introduire une profonde réforme en se restructurant beaucoup de cette manière que les différentes fédérations professionnelles de l’époque, au nombre de 18 il y a 28 ans, deviennent autant de syndicats indépendants les uns des autres comme c’est le cas aujourd’hui.

Cependant, les hommes en kaki voient rouge et estiment que les revendications seraient multipliées par autant de syndicats et rejettent la proposition, mais ce n’était que partie remise.

Les seuls syndicats réellement actifs : ceux de l’éducation et de la santé

Les deux secteurs les plus importants du Burundi et même ailleurs dans le monde, ceux de l’éducation et de la santé, sont ceux qui possèdent les catégories des fonctionnaires les plus revendicatifs.

A l’éducation, les enseignants des établissements primaires et secondaires représentent 75 % de l’ensemble des fonctionnaires payés par la fonction publique. Ils sont les plus mal rémunérés, parce que le ministère des finances a peur de voir le trésor public s’effondrer, au cas où toutes leurs revendications seraient satisfaites.

Sans être aussi nombreux, le personnel de la santé, à commencer par les infirmiers et les aides-infirmiers, sont ceux qui réclament un travail très délicat et aussi important que celui des enseignants.

Ce sont les deux catégories qui se révoltent le plus souvent, mais tous les pouvoirs en place depuis 1962 gardent l’oreille sourde. Pourquoi ?

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