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Burundi – Sécurité

Les autorités tentent d’expliquer le contenu de leur vitesse supérieure déjà engagée, mais…

6 novembre 2015

Bujumbura, le 6 novembre 2015 (Net Press). Il y a quelques jours, deux plus hautes autorités de la République, à savoir le président du sénat, Révérien Ndikuriyo (la semaine dernière) et le président de la République, Pierre Nkurunziza (au début de cette semaine), ont adressé des discours pour le moins ambigus quant à leur volonté de traitement des quartiers dits contestataires de Mutakura et de Cibitoke en mairie de Bujumbura.

Le premier, plus virulent dans son discours, a parlé de pulvériser, d’exterminer des populations et que des forces de défense et de sécurité peuvent bénéficier des parcelles si elles travaillent correctement. De son côté, le chef de l’Etat, tout en accordant un délai supplémentaire de cinq jours aux détenteurs illégaux des armes, a donné son feu vert aux forces de l’ordre d’utiliser tous les moyens et toutes les connaissances acquises pour ramener la paix dans ces régions « troubles ».

Ces messages ont été relayés par des membres du gouvernement, dont le premier vice-président Gaston Sindimwo et quatre des ministres du gouvernement Nkurunziza, celle de la justice, celui de la communication et chargé d’encadrer la mairie, celui de la sécurité ainsi que celui de la défense nationale et des anciens combattants. Tous ces ministres, tout comme le premier vice-président, répétaient mot-à-mot les discours du président de la République, avec ce zèle de Gaston Sindimwo qui s’est arrogé le droit de critiquer la « largesse » du président en octroyant un délai supplémentaire aux « insurgés ».

Un discours qui suscite la panique au sein de la population

A l’échelon plus bas, les chefs de zone et de quartiers ont à leur tour répercuté le message présidentiel et c’est à ce moment que la situation est devenue compliquée. Les discours de ces autorités ont créé la panique au sein de la population et les habitants des zones ciblées ont commencé à fuir massivement vers d’autres quartiers plus sécurisés ou alors vers l’intérieur du pays. Ils affirmaient tous qu’ils sont obligés de fuir du moment même qu’ils se sentent comme des laissés pour compte par le régime en place.

Selon des informations parvenues à notre rédaction, même au sein du parti au pouvoir, les discours à l’endroit de la Nation ont été différemment interprétés, les uns indiquant de façon claire qu’ils ne peuvent pas accepter que le gouvernement massacre des populations innocentes.

Un détenu hors du commun

Ce matin, le fils du célèbre défenseur des droits de l’homme, Pierre-Claver Mbonimpa, du nom de Willy Nzitonda, a été arrêté alors qu’il tentait de déménager comme les autres citoyens pris de manique par les discours du chef de l’Etat et du président du sénat.

En début d’après-midi, le président de l’Aprodh, du haut de la Belgique, s’est dit inquiet de cette arrestation de son fils, indiquant qu’il peut avoir des difficultés – disparition physique notamment - liées à son degré de parenté avec le défenseur des droits de l’homme.

L’on notera que toujours en début d’après-midi, des cadres de l’administration étaient occupés à empêcher les populations de Mutakura et de Cibitoke de fuir ces deux quartiers. Signalons enfin que des tirs à l’arme automatique ont été entendus ce matin, faisant deux morts, dont un certain Kazungu, vendeur de la bière locale.

Une panique même au-delà des frontières

Cependant, cette ambiguïté suscitée par ces discours a été remarquée même par des pays et organisations de la communauté internationale. L’Union européenne, à travers sa déclaration de ce matin, a indiqué que « la poursuite d’actes de violence au Burundi confirme l’ampleur de la crise que traverse le pays. Face aux déclarations récentes qui risquent d’aggraver profondément la situation, l’UE en appelle à la responsabilité et à la retenue de tous.

De leur côté, les Etats-Unis, par le biais de l’envoyé spécial Tom Pirriello, tirent la sonnette d’alarme. En effet, ce pays redoute une escalade de la violence au Burundi après l’ultimatum du président Pierre Nkurunziza qui a demandé aux insurgé de se rendre avant samedi. M. Pieriello a indiqué : « Nous sommes préoccupés par le comportement des deux parties au Burundi, car ils éloignent le pays des pourparlers de paix. Le Burundi prend le chemin de l’affrontement. Mais nous sommes avant tout préoccupés par l’ultimatum de cinq jours fixé par le président Pierre Nkurunziza, et par des propos particulièrement incendiaires du président du sénat, qui a parlé de pulvériser, d’exterminer, et qui a dit que certaines personnes ne sont bonnes qu’à mourir. Les autorités parlent aussi de réponses coordonnées qui renvoient aux pires heures que la région ait connues ».

Plus loin, il dira aux confrères de Rfi que « mais nous savons aussi que des gens de l’opposition attendent la tombée de la nuit pour lancer des grenades à des forces de police. Tous ces actes contribuent à rapprocher un pays très fragile vers la guerre, alors que nous croyons qu’après dix ans sur le chemin de la paix, le pays devrait reprendre ce cap de la paix. Mais les discours sont extrêmement troublants, et ils interpellent non seulement les Etats-Unis mais aussi l’Union africaine et l’Onu. »

L’UE n’oublie pas pourtant l’article 96 de l’accord de Cotonou

L’Union Européenne a invité les autorités burundaises à participer aux consultations prévues par l’article 96 de l’accord de Cotonou pour rechercher une solution acceptable pour les parties afin de remédier au non-respect des éléments essentiels de l’Accord que sont les droits de l’homme, les principes démocratiques et l’Etat de droit.

Ces consultations, qui seront ouvertes dans un esprit de dialogue et coopération, ont aussi pour objectif de soutenir les efforts visant à assurer une paix durable au Burundi. En saluant et appuyant le communiqué de la présidente de la commission de l’Union africaine du 4 novembre, l’Union Européenne réitère son appui aux efforts de méditation de l’Ouganda et de la Communauté des pays de l’Afrique de l’est et attend du Gouvernement du Burundi que tout soit fait pour entamer un dialogue inclusif sans délai, en préservant les acquis de l’accord de paix d’Arusha.

Tentative d’explication ou décélération de la vitesse

Comme si le pouvoir aurait constaté lui-même que le discours a créé un impact différent de celui qu’il attendait avec ces départs massifs, les différentes autorités commencent à changer de langage, expliquant ce qu’elles ont voulu dire. Tout a commencé avec la sortie médiatique du marie de la ville, Freddy Mbonimpa, qui a demandé aux populations de Mutakura et de Cibitoke de rester dans leurs ménages respectifs. Il a expliqué que l’objectif de ce rendez-vous présidentiel n’était pas de tuer des populations. Il a demandé aux citadins d’héberger ceux qui demandent l’asile, à condition que le chef de quartier soit au courant de cette présence qu’il doit mentionner dans son registre.

De son côté, le premier vice-président Sindimwo, celui-là même qui a suscité plus de panique, a déclaré, au cours d’une rencontre qu’il a eu avec des responsables militaires, que l’objectif du gouvernement n’était pas d’exterminer des gens, ses populations. Il a changé de discours d’autant plus qu’il a demandé aux militaires de rester unis et de ne pas céder à la requête de ceux qui veulent les diviser, une nouvelle donne qui ne faisait pas partie des discours des présidents du sénat et de la République.

Burundi- Sécurité

Des explosions de grenade en zone Musaga.

Bujumbura, le 6 novembre 2015 ( Net Press). C’est hier vers 22heures que deux grenades ont explosé en zone Musaga. Selon les habitants de cette zone, ils ne connaissent pas jusqu’à présent les dégâts enregistrés mais ils ont peur que cette recrudescence de l’insécurité ne soit pas consécutive à l’ultimatum du président de la République d’user de tous les moyens prévus par la loi pour désarmer la population.

En effet, ces habitants disent avoir passé toute la nuit à la belle étoile par peur d’être tués. Ils disent qu’ils ne comprennent pas comment les autorités burundaises et d’autres institutions qui ont le rôle de protéger la population prononcent des discours qui sèment la terreur et le désespoir.

Les mêmes habitants demandent aux forces de l’ordre de défendre toujours les intérêts des citoyens et non des politiciens et de garantir le respect de la personne humaine.

Burundi - Justice

Neuf autres membres du parti Msd incarcérés

Bujumbura, le 6 novembre 2015 (Net Press). C’est avant-hier que neuf membres du parti d’Alexis Sinduhije, Msd, ont été transférés à la prison centrale de Mpimba. Selon des informations en provenance de ce milieu carcéral, ces militants avaient l’air fatigué et visiblement, ils avaient été battus où ils avaient été enfermés avant, dans un cachot que l’on ne connait pas encore mais qui est soupçonné d’être celui du service national des renseignements.

C’est donc hier que six d’entre eux ont été embarqués dans une camionnette pickup de la police à l’endroit d’une destination inconnue. Les détenus pensaient dans un premier à temps à un transfert mais ils ont abandonné cette hypothèse quand ils ont vu leurs compagnons d’infortune rentrer vers 17 heures. Selon des informations recueillies plus tard, ces militants avaient été amenés au parquet devant le juge et, selon toujours les mêmes informations, ils comparaîtront de nouveau ce lundi 9 novembre 2015.

Sur un tout autre angle, nous apprenons que les cellules de l’Infirmerie A, le quartier le plus huppé de Mpinmba, est pour le moment sursaturé car dans chaque cellule, il y a au moins quatre détenus, ce qui n’était pas le cas depuis 5ans. Plusieurs personnes ont été emprisonnées dont le colonel Kadende de l’ex-Fab depuis hier. En effet, il aurait participé à un enterrement chez lui à l’intérieur du pays, en tenue de combat et il serait accusé d’atteinte à la sécurité intérieure du pays ;

Sinon d’autres hauts cadres de l’Etat grouillent dans cette cellule, don un certain Bazira, Elysée et Nestor qui viennent d’y passer un peu plus de trois semaines.

Burundi – Sécurité – Administration

Nomination et révocation de plusieurs policiers par le chef de l’Etat

Bujumbura, le 6 novembre 2015 (Net Press). Dans la journée d’hier, le président de la République, en collaboration avec le premier vice-président et le ministre en charge de la sécurité, Alain Guillaume Bunyoni, a nommé tout un troupeau de policiers aux différents postes de l’administration et a révoqué également un autre groupe d’officiers.

En effet, le décret 100/87 du 5 novembre désigne Pierre-Claver Gahungu inspecteur général de la sécurité publique. Quant au décret n° 100/89 de la même date, il désigne l’OPC1 Anicet Nibaruta directeur général-adjoint de la protection civile, C.P. Melchiade Ruceke secrétaire permanent au ministère de la sécurité publique, et OPC1 Serges Ntakavura assistant au ministère de la sécurité publique.

D’autres nominations concernent le premier vice-président de la commission nationale permanente de lutte contre la prolifération des armes légères et de petits calibres, CP Roger Ndikumana, chef de bureau administration et finances, CP Ménédore Ntirabampa, chef de bureau de l’action sociale, OPC1 Carême Bizoza, commissaire chargé de la formation, OPC1 Bertin Gahungu, commissaire général de la police judiciaire, OPC1 Emile Manisha, commissaire régional sud OPC1 Pontien Cishahayo, Commissaire régional Est OPC1 Léonidas Ndaruzaniye, commissaire provincial Buja, OPC1 Ayub Sindayigaya, commissaire provincial Karuzi, OPP1 Ladislas Ndayiragije, sous-commissaire de région de la sécurité intérieure au sein de la région sud, OPP1 Modeste Ndayikengurukiye.

Il n’y a pas que des nominations dans ces décrets de ce 5 novembre 2015 car il y a également quatre révocations dont CPP Edouard Nibigira, CPP Hemernegilde Nimenya, CP Léonard Ngendakumana ainsi que CP Zénon Ndabaneze.

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