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Burundi – Sécurité4 mai 2023
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Burundi – Médias3 mai 2023
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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
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Burundi – Sécurité1er mai 2023
|Une femme attrapée en tentant de voler dans un champ appartenant au chef de l’Etat

Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
|Encore un mort dans la capitale politique Gitega…

Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

Burundi – Justice21 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Sécurité17 avril 2023
|Fouille-perquisition au domicile de l’ancien premier ministre

Burundi – Sécurité15 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi - Justice13 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice11 avril 2023
|La justice s’active dans plusieurs coins du pays, les populations satisfaites …

Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi - Politique

Pancrace Cimpaye ou un Hutu qui pousse les autres à mieux comprendre

30 mars 2016

Bruxelles, le 30 mars 2016 (Net Press). Pancrace Cimpaye, un Hutu qui a été porte-parole de l’ancien président Domitien Ndayizeye, vient de sortir une lettre époustouflante de plus de 5 pages adressée à l’intelligentsia hutu, ceux sont dans les rouages du pouvoir ou non, de mieux comprendre que la crise politique actuelle ne s’identifie pas à une dissension ethnique entre les Hutu est les Tutsi, mais de l’accession de Nkurunziza de façon illégitime.

Pancrace Cimpaye donne des exemples illustrant cette affirmation, en indiquant que l’intelligentsia hutu qui est au pouvoir veut attiser une haine contre les Tutsi, soi-disant que ce sont ces derniers qui seraient derrière la chute du pouvoir Nkurunziza. La même source dit que la haine ethnique contre les Tutsi n’est que pure propagande pour gagner la masse populaire constituée par des Hutus, en témoigne un arsenal de l’intelligentsia Hutus constituées d’anciens dignitaires aujourd’hui en exil, regroupés ou pas au sein du Cnared, qui ont été persécutés, par le pouvoir constitué principalement de Hutus.

Ces derniers ont pour la plupart refusé d’emboiter le pas à Nkurunziza dans sa démarche anti-démocratique. Pancrace Cimpaye explique que les Hutus qui sont au pouvoir n’aiment pas les Hutus car la cherté de la vie due à la fermeture des robinets par les donateurs du Burundi touche principalement les Hutus qui sont plus nombreux, et qu’en diabolisant l’église catholique constituée à majorité de Hutus, est une attaque des Hutus qui sont au pouvoir contre leur électorat qui est principalement composé de hutus. L’ancien porte-parole de Domitien Ndayizeye ne comprend pas comment un arsenal de Hutus qui occupent des postes juteux de la république, en l’occurrence les forces de défense et de sécurité ont échoué de rétablir la tranquillité et la prospérité du Burundi avant de transmettre leur échec à une minorité tutsi.

En terminant Pancrace Cimpaye lance un appel vibrant à l’intelligentsia hutu de se dérouter de cette version erronée, et de s’unir comme un seul homme pour construire une seule nation, prospère dépourvue de toute descension ethnique. Selon les informations disponibles dans notre rédaction, Pancrace Cimpaye n’est pas le seul Hutu, au Burundi ou de la diaspora, à réfléchir de cette manière.

Burundi – Onu - Humanitaire

Le gouvernement japonais assiste des populations sinistrées par la crise

Bujumbura, le 30 mars 2016 (Net Press). Le gouvernement du Japon vient d’accorder deux financements à deux organisations onusiennes ce 30 mars 2016, l’Unicef et le Pam pour assistance aux populations vulnérables comme les enfants ainsi que d’autres catégories nécessiteuses frappées durement par la crise socio-politique que connaît le pays.

A l’Unicef, le gouvernement du Japon a accordé 1,33 millions de dollars américains en faveur de la survie et de la santé des enfants du Burundi. Selon un communiqué conjoint entre les deux parties, ce financement permettra à l’Unicef et à ses partenaires d’accélérer leur aide aux enfants les plus vulnérables. Ce sera notamment la prise en charge de près de 10.000 enfants souffrant de malnutrition aigüe sévère dans les provinces de Cankuzo, de Kirundo, de Makamba, de Rutana et de Ruyigi et d’améliorer m’accès à l’eau potable et à l’assainissement pour 100.000 personnes vivant dans la commune de Nyanza-lac, dans la province de Makamba.

Un financement similaire a été accordé aujourd’hui par le même gouvernement du Japon au programme alimentaire mondial, Pam. La contribution est de 2,65 millions de dollars américains pour fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle immédiate à 53.500 personnes affectées par la crise socio-politique en cours au Burundi.

Le Pam va utiliser ce financement pour assister les personnes vulnérables en insécurité alimentaire et affectées par la crise post-électorale en province de Rumonge au Sud du pays. Les bénéficiaires seront composés de 6.700 familles qui recevront une assistance alimentaire les aidant à satisfaire leurs besoins alimentaires immédiats ainsi que 20.000 femmes enceintes et allaitantes et des enfants âgés de moins de 2 ans qui recevront des produits nutritionnels spéciaux pour prévenir la malnutrition aigüe.

Burundi – Sécurité

Politique : pas d’intérêt pas d’action !

Bujumbura, le 30 mars 2016 (Net Press). C’est un paradoxe qui devient inquiétant quand on observe la dichotomie entre les faits et les déclarations des autorités. En effet, selon des versions officielles régulièrement entendues, le pays connaît la paix et se permet même de l’exporter dans d’autres pays de l’Afrique.

Mais selon un rapport du comité national de contrôle des armes en Afrique du Sud cité par nos confrères du journal « Independant On Line », l’Afrique du Sud a vendu pour 3 millions de dollars américains, soit près de 6 milliards de francs burundais pour l’année 2015, une période pourtant trouble pour notre situation politique et économique comme le disent souvent les autorités monétaires de ce pays.

Le président Zuma n’a pas vendu pour le seul Burundi, il a ciblé la plupart des pays qui sont en crise politico-sécuritaire comme l’Irak, l’Azerbaïdjan, etc. Une simple analyse démontre donc que le président Jacob Zuma, lui-même en difficultés dans son pays, soutient le régime de Bujumbura. Il suffit de se rappeler pour s’en convaincre que lors de la récente visite de la délégation de haut niveau au Burundi en février dernier, Jaqcob Zuma, qui était à la tête de cette délégation, non seulement est rentré après les autres sans que l’on sache trop pourquoi il a séjourné, mais également il a sorti une déclaration qui lui venait de sa tête et trop différente de celle de l’Union africaine.

Il avait par la même occasion demandé à ce que la communauté internationale reprenne son aide au Burundi, une demande qui n’a pas été suivie d’effet. Par ailleurs, depuis longtemps, le président sud-africain a toujours manifesté son soutien au Cndd-Fdd, ce qui en soi n’était pas une faute politique car le parti présidentiel était encore « en ordre » avec la constitution et l’accord d’Arusha.

L’on apprend également que d’autres armes auraient été acheminées en toute clandestinité, dans des bateaux à Rumonge, d’autres à Migera en commune Kabezi, que d’autres armes auraient été trouvées en Chine mais sans que l’on sache leur destination. Cet armement massif amènerait à conclure que la paix tant chantée par les pouvoirs publics n’est pas aussi concrète qu’on le présente.

Burundi - Sécurité

Les grands pleureurs de la capitale

Bujumbura, le 30 mars 2016 (Net Press). Les habitants de la zone Musaga ont connu une barbarie la plus meurtrière depuis l’annonce de Nkurunziza de son intention de briguer le 3ème mandat et son accession aux affaires suite à des élections controversées, selon une opinion largement répandue dans cette zone. Des enlèvements, des emprisonnements arbitraires, des massacres ciblés et à grande échelle, voire même sous la connotation ethnique, telles sont les opinions d’une personne contactée et qui a éclaté en sanglots car elle avait perdu beaucoup des parentés innocentes au cours de cette barbarie.

Les habitants des Musaga s’étonnent énormément comment parmi les hauts gradés de l’armée burundaise, en l’occurrence le général Adolphe Nshimirimana, tué non loin de chez lui à Kamenge, suivirent des enlèvements et des massacres dans cette localité alors que le forfait a été commis loin de Musaga. un autre l’assassinat du lieutenant-colonel Darius Ikurakure que l’on dirait qu’il a été tué dans sa chambre, mais suivi d’une présence massive de policiers lourdement armés jusqu’aux dents comme s’ils chercheraient à Musaga le tombeur de l’homme fort du système en place.

La même source affirme que les grands tombeurs du gouvernement Nkurunziza ne figureraient pas dans les pauvres gens de cette zone sous le seuil de la misère et la désolation totale comme vient de l’indiquer le président Nkurunziza lui-même à l’occasion de l’ouverture de l’année académique 2015-2016 a l’Iscam. Son discours a été hautement apprécié par les habitants qui vivent non loin de l’Iscam, ou le commandant suprême conseille à ces hommes en uniformes gradés ou non-gradés de faire preuves du patriotisme et ainsi qu’une cohésion sans faille pour le futur et recommande l’unité du corps de défense et de sécurité. Dans ce discours apprécié, la population de cette localité implore le président Nkurunziza de conseiller ses hommes de laisser tranquille les pauvres gens de Musaga et de revoir l’unicité de ces forces profondément divisées sur base ethnique qui peuvent virer vers l’indiscipline extrême et hypothéquer la survie des institutions.

Burundi – France - Politique

Un évènement hors du commun dans l’histoire de la politique Française

Paris, le 30 mars 2016 (Net Press). Selon nos confrères de Nord presse, il y a eu un tremblement de terre dans le monde politique de l’Hexagone, une première dans histoire de la politique française. En effet, le premier ministre français, Emmanuel Valls, vient d’annoncer en direct sur France 2 son intention de participer à la primaire du parti des républicains qui aura lieu à la fin de cette année. En lisse, il sera avec Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, Bruno Lemaire. C’est une première qu’un premier ministre encore en fonctions change de parti alors que son mandat n’a pas encore expiré.

Signalons que Manuel Valls avait échoué à la primaire du parti socialiste en 2011, la plupart des Français comptent sur sa popularité, pour collecter le maximum des voix de la part des républicains déçus de Nicolas Sarkozy et qui considèrent Alain Juppé comme trop vieux pour exercer la fonction suprême.

Burundi -Nigeria – Société

Une mère intelligente

Lagos, le 30 mars 2016 (Net Press). Une maman Nigériane était suffisamment chanceuse de voir ses 3 filles se marier dans la même année. Elle les appela toutes, après chacune de leur cérémonies de mariage. « N’oublie pas ma fille de me faire un texto sur ta première nuit en langage codé donc. Après la première semaine, la 1ère fille envoie NESCAFE. La semaine qui a suivi, la deuxième envoie BENSON. Comme la maman est très intelligente, elle va chercher une boite de NESCAFE et lu là-dessus fantastique jusqu’à la dernière goutte. Elle va chercher un paquet de cigarette BENSON et lit extra long King size c’est à dire gros point. Heureuse, elle sourit et dit « pas mal à leur âge ». Une semaine plus tard, elle reçoit le message de la dernière fille NAIROBI-MOMBASSA et elle appelle pour avoir leur information sur leurs vols et l’agent de l’agence KENYA AIRWAYS répond 3 fois /jour,7 jours /semaine et la durée du vol est de 75 minutes. La maman tombe en syncope et pleure et s’exclame : « le mec va tuer ma fille »

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