Cibitoke, le 31 mars 2018 (Net Press) . Il s’appelle Yvan Nduwimana, âgé seulement de 9 ans. Il vit sur la colline Mparambo II, dans la commune de Rugombo en province de Cibitoke, au Nord Ouest du pays. Il vient d’être hospitalisé dans cette province suite aux blessures causées par la bastonnade lui administrée par la femme de son père
Les informations en provenance de cette entité précisent qu’aussitôt après le mariage avec le père du garçon, ce dernier est parti pour une destination inconnue et que l’enfant vit seul avec sa marâtre. Les mêmes informations font savoir que pour le moment, cette femme est en garde à vue au cachot de la police à Mparambo.
Burundi - Belgique - Développement
La Belgique au chevet de l’éducation des Burundais
Bujumbura, le 31 mars 2018 (Net Press) . L’agence belge de développement, Enabel, appuie l’organisation du 2 au 7 avril 2018 des journées pédagogiques pour 13.000 enseignants de l’enseignement post-fondamental au Burundi. Elle le fera sur financement du royaume de Belgique, en appui à la direction générale des bureaux pédagogiques et à l’inspection générale de l’enseignement.
Selon un communiqué de presse de la coopération belge au développement, les journées pédagogiques du mois d’avril 2018 sont consacrées au renforcement des capacités des enseignants en pédagogie des grands groupes. Cette activité est organisée afin de permettre aux enseignants de répondre au souci d’une bonne gestion des classes à effectifs pléthoriques et aux quelques 105.000 apprenants burundais qui passeront en 3ème année du cycle post-fondamental général et pédagogique à la rentrée scolaire 2018 - 2019 d’atteindre les compétences requises.
Ces formations en cascade se dérouleront dans toutes les communes du pays et mobilisent tant les rapports théorique, conceptuel et opérationnel de la pédagogie des grands groupes, que des activités pratiques liées à la gestion, par l’enseignant de classes à effectifs pléthoriques. Selon toujours ce communiqué, l’action est réalisée dans le cadre du soutien de la Belgique à la population burundaise.
Burundi - Confessions Religieuses
L’abbé Simon Ruragaragaza clôture la Semaine Sainte par une page pascale
Bujumbura, le 31 mars 2018 (Net Press) . L’abbé Simon Ruragaragaza, prêtre et journaliste de formation, vient de faire une note extrêmement intéressante. La rédaction a jugé bon de la livrer intégralement à son lectorat pour éviter tout risque de la dénaturer.
" Ma demeure sera auprès d’eux, je serai leur Dieu et eux seront mon peuple (Ez. 37,27)
"Il fallait que Jésus meure pour la nation et non seulement pour elle, mais pour réunir dans l’unité les enfants de Dieu, qui sont dispersés (Jean 11, 52-54)
"Ils (disciples) étaient assidus à l’Enseignement des apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain... Tous ceux qui étaient devenus croyants étaient unis et mettaient tout en commun, cfr Le livre des Actes des Apôtres de St Luc chII : 2,42-47
"C’est ce que nous venons de vivre tout au cours de la Semaine Sainte du 25/3 - 1 Avril. Avec des signes bien visibles et émouvants ! Il ne faut pas confondre la Procession des Rameaux avec une simple promenade comme cet enfant de chœur, qui à la sacristie en train d’activer son encensoir avec art accroché à ses deux doigts, demandait au célébrant : Mon curé, y a-t-il aujourd’hui promenade !
"Le célèbre écrivain et philosophe Blaise Pascal me revient à l’esprit : L’homme écrivait-il dans ses pensées non moins célèbres, n’est ni ange ni bête, Dieu veut que celui qui fait l’ange fait la bête.
"Ce lundi de Pâques, Mgr. l’Archevêque de Bujumbura, son clergé, ses Religieux, Religieuses clôtureront les festivités pascales en beauté avec une sortie au bord du Lac Tanganyika au YOUCCA BEACH, 200 m environs après le CLUB du Lac TANGANYIKA.
"Croyez-moi, de l’ambiance il y en aura et pourquoi pas de l’élégance ! Au lendemain de la prise d’assaut autour des Confessionnaux, des grands rassemblements à l’Archevêché de Bujumbura fraîchement restauré, apparemment pimpant neuf. Mgr. Evariste s’adressant à ses disciples : Venez vous reposer un peu à l’écart ! Quelle délicatesse ! Vraiment Christ est ressuscité : Alléluia ! Joyeuse Pâques. Joyeuses fêtes à tous les amis. Au centre et aux périphéries, selon l’expression consacrée d’A. Riccardi, le diplomate du Vatican, le confident du Pape François et Fondateur de la Communauté Sant Egidio !
"Au besoin, payez-vous une petite visite en feuilletant son livre ’Péripéties, crises et nouveautés dans l’Eglise’, Edit des Cerf 2016, 195 pages sous l’égide de l’Archange OURIEL : Lumière de Dieu, selon le livre du prophète Daniel ; 10, 13"
Burundi - Justice
Le président du Ranac de plus en plus inquiété
Bujumbura, le 31 mars 2018 (Net Press) . Pour la deuxième fois en moins d’une semaine, le président du Ranac, Aloys Baricako, a de nouveau été appréhendé hier 30 mars 2018 à Bujumbura par la police présidentielle et soumis à l’interrogatoire avant d’être relâché vers 15 heures dans l’après-midi. Selon des informations dignes de foi, tous ses téléphones ont été confisqués, probablement pour surveiller ses contacts avec la plateforme ou alors l’opposition armée.
Ces derniers jours, il ne fait pas bon ménage avec le régime de Bujumbura pour au moins une raison. Il est de l’opposition, membre du Cnared Giriteka, une opposition radicale dont l’essentiel de membres vivent en exil. D’après des sources d’informations indépendantes, il avait été dernièrement en Belgique où il a assisté à une réunion de cette plateforme de l’opposition.
Pour rappel, Aloys Baricako avait été arrêté à Karuzi dans l’après-midi du 26 mars 2018 de retour des cérémonies d’enterrement de sa grand-mère. Il avait passé la nuit dans les cachots du service secret dans la province de Gitega. Les représentants provinciaux qui sont venus lui rendre visite ont eu des difficultés, comme ce président du Ranac dans la province de Muramvya, Daniel Manirakiza, qui est détenu dans les cachots de la police présidentielle à Bujumbura.
L’on rappellera également qu’Aloys Baricako, tout comme plusieurs membres des partis de l’opposition qui vivent dans le pays, est accusé d’atteinte à la sécurité intérieure du pays
Burundi - Education
Le syndicat des enseignants Conapes publie son journal hebdomadaire
Bujumbura, le 31 mars 2018 (Net Press) . Le journal "La voix de l’enseignant" commence sa publication par un constat d’un système de prêt-bourse qui pose trop de conditions. Un système éducatif nouveau, le BMD, difficile à mettre en œuvre, un système de prêt-bourse lourde de procédures, tout un tas d’innovation qui met l’étudiant en difficulté et risque de mettre en péril le système éducatif burundais. Dans tout cela, pas de concertation avec les partenaires.
Par ailleurs, constate le syndicat Conapes, les affiliés de la mutuelle de la fonction publique peinent à trouver les médicaments. Les pharmacies de la mutuelle de la fonction publique sont presque vides tandis que celles des privées refusent de servir les affiliés de cette institution. Publiquement, les tenanciers de ces pharmacies privées disent que ces produits ne sont pas disponibles. Discrètement, ils font savoir que la mutuelle de la fonction publique rembourse les médicaments à un prix très bas par rapport à leur cout réel et après une longue période. Pour cela, ils préfèrent vendre à ceux qui payent cash. Cette situation irrite les affiliés qui estiment que les prestations de l’assureur ne sont pas à la hauteur de leur cotisation. Ils demandent au gouvernement d’obliger la mutuelle de la fonction publique à respecter ses engagements.
Revenant sur la formation à distance, le journal la voix de l’enseignant estime que cette dernière, pour les cadres de l’enseignement, a été mal suivie. Sur un effectif initial de 45 stagiaires, seuls 18 stagiaires ont suivi du début à la fin la formation à distance d’une durée de 4 mois, à laquelle ils étaient inscrits. Ces stagiaires sont des cadres du ministère en charge de l’enseignement au fondamental et au post-fondamental.
Au niveau de ce secteur, l’on parle également de violences sexuelles qui préoccupent la ministre de l’éducation. cette dernière durcit le ton contre les violences sexuelles faites aux élèves. Désormais, un responsable scolaire qui se rendra coupable sera jugé sur place au lieu de recourir à l’ouverture d’une action disciplinaire, une procédure qui souvent dure longtemps et favoriserait la corruption. Les élèves complices devraient être dénoncés avant l’acte.
Burundi - Canada - Loisir
Céline Dion a 50 ans : retour sur son évolution
Ce vendredi 30 mars, Céline Dion a fêté ses 50 ans. Née en 1968, la Québécoise a sorti son premier tube en 1981. En trente-sept ans de carrière, la chanteuse a connu une véritable évolution tant sur le plan musical qu’au niveau de son look.
Née le 30 mars 1968 à Repentigny (Québec), Céline Marie Claudette Dion est la dernière d’une famille de 14 enfants. Son enfance est bercée par la musique et son premier tube voit le jour en 1981. Céline Dion est alors âgée de 13 ans. A cette époque, l’adolescente se fait connaître, tout d’abord au Québec puis en France.
Les années 80 marquent son passage à l’âge adulte. Quelques années plus tard, à 19 ans, la chanteuse débute sa carrière internationale. Dès lors, Céline Dion connaît un succès fulgurant qui, depuis, ne l’a plus jamais quittée. En plus d’enchaîner les tubes planétaires, la chanteuse entame un véritable virage au niveau de son look. Aujourd’hui, Céline Dion est, à la fois, une chanteuse reconnue mais également une icône de la mode.