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Burundi - Sécurité

Les membres du Cnl toujours dans l’oeil du cyclone

26 juin 2019

Ruyigi, le 26 juin 2019 (Net Press) . Un maçon de la colline Muhongoro, dans les commune et province Ruyigi, à l’Est du pays, du nom d’Eric Nkurunziza, est introuvable depuis dimanche 23 juin 2019. Au départ, il a répondu au téléphone d’un prénommé Alexis, habitant de la commune Kinyinya.

Selon le parent d’Eric Nkurunziza, lorsque ce dernier est arrivé à destination, il a été "cueilli" par l’administrateur, Fulgence Kwizera, en compagnie de policiers et de plusieurs Imboneerakure. Selon le même témoignage, il a été conduit dans le cachot de la police à Kinyinya, mais curieusement, il y est introuvable.

Sa famille craint le pire pour sa sécurité, ce qui ne cause pas de l’insomnie à l’autorité communale car, une fois contacté pour donner des précisions sur cette arrestation, il répond tout simplement qu’il n’est pas au courant de cela.

Toujours dans la province de Ruyigi, nous apprenons que 12 membres du parti Fnl de Jacques Bigirimana ont été interpellés le 9 avril dernier par des Imbonerakure, ce qui étonne plus d’un car cette formation politique est reconnue comme de l’opposition proche du parti au pouvoir, le Cndd-Fdd.

Ils avaient été accusés de perturber la sécurité dans la commune de Butaganzwa. Lors de leur comparution en date du 12 avril devant le tribunal de grande instance, deux d’entre eux ont été acquittés tandis que neuf autres ont été condamnés à une année et six mois de prison. Un autre enfin a été condamné à trois ans de prison ferme.

A Kirundo, au Nord du pays, les choses ne vont pas mieux comme la rédaction ne cesse de le mentionner ces derniers temps. Des informations en provenance de la commune Ntega font état de deux membres du parti politique d’Agathon Rwasa qui sont dans un état critique après avoir été copieusement battus par des jeunes Imbonerakure.

Les victimes de cette bastonnade indiquent qu’elles ont reconnu les auteurs de ce forfait et que malheureusement, elles doivent entrer en clandestinité de peur que leurs vies ne soient achevées sur le lit d’hôpital. Depuis, les autorités de cette entité communales ne sont pas joignables.

Au Nord-Ouest du pays, dans la province de Cibitoke, un corps en décomposition d’une femme a été retrouvé par la population. Des sources policières rapportent qu’elle a été d’abord violée par des gens non encore identifiés avant son assassinat. Elle présentait des blessures un peu partout sur le corps et un ordre a été donné d’enterrer la dépouille au même endroit.

Les habitants, tout comme les défenseurs des droits de l’homme dans cette circonscription dénoncent cet enterrement précipité de la dépouille avant des enquêtes et probablement une autopsie. De son côté, le commissaire provincial de la police à Cibitoke, Opc 1 Bonfort Ndoreraho, affirme avoir donné cet ordre pour éviter la contamination de la population environnante, sans autre précision.

Burundi - Politique

Des collinaires plus déterminantes au cours du processus électoral prochain

Bujumbura, le 26 juin 2019 (Net Press) . Le Burundi chemine vers les élections de 2020 au mépris des inquiétudes émises par la communauté internationale. En effet, les conclusions du rapport du conseil de sécurité des Nations unies et du commissaire à la paix et à la sécurité de l’Union africaine font état d’une situation politique et sociale qui ne garantit pas les principes de la démocratie. L’Union africaine et les Nations unies proposent la reprise des pourparlers sous la médiation de la communauté est-africaine aidée par l’Union africaine.

Même son de cloche chez Human rights watch qui égraine les cas de violation flagrante des droits de l’homme et de torture dans notre pays, une situation qui ne permet pas l’organisation des élections transparentes et apaisées. L’organisation non-gouvernementale International crisis group tire la sonnette d’alarme. Pour elle, la communauté régionale doit impérativement exercer une forte pression sur le Burundi avant la tenue des élections de 2020 pour lui préserver d’une dérive autoritaire du pouvoir qui en sera issu.

Malgré ces multiples conseils, le Burundi a réagi violemment face à ce qu’il qualifie d’ingérence de la communauté internationale dans les affaires d’un pays souverain. Pour balayer d’un revers de la main toutes ces préoccupations, le parti Cndd-Fdd et le pouvoir en place à Gitega ont organisé dans tout le pays une vaste mobilisation de la population afin de s’enrôler pour les élections de 2020 pourtant prises avec des pincettes par la même communauté internationale pour leur caractère non démocratique.

Au regard du code électoral, l’on se rend compte que les élections collinaires cachent le pronostique des résultats de ces rendez-vous de 2020. Car, Pascal Nyabenda, président de l’hémicycle de Kigobe, l’a dit à mots couverts à Cankuzo. Pour lui, le contraire du principe militaire est à prioriser, à savoir "celui qui tient les bas, tient les hauts".

Et comme ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, le Cndd-Fdd veut concentrer tous ses efforts sur les élections collinaires car l’actuel code électoral prévoit que le conseil communal sera composé de représentants des élus de chaque colline. Or, ces derniers vont élire les sénateurs, le président du conseil de la commune et l’administrateur.

Pour ces élections de 2020, le bâton de pèlerin, dans tous les coins du pays, sera tenu par les candidats aux collinaires qui vont sans doute dévoiler leur appartenance politique pour plus de crédibilité afin de rassembler les voix des membres et des sympathisants de leurs partis politiques.

Dans ce cas, ils auront fait la campagne politique pour tout le processus électoral à tous les niveaux, surtout que les scrutins sont couplés en un seul jour. Les candidats députés et présidents de la République vont appuyer les propagandistes sur les collines, ne fut-ce que pour donner un peu de tonus car ils auront mené la campagne à peu de frais, ni sans s’en rendre compte, ni sans imaginer que tout le processus de battre la campagne repose sur eux.

Burundi - Droits de l’Homme

Des défenseurs des droits de l’homme s’expriment en cette journée

Bujumbura, le 26 juin 2019 (Net Press) . Le 26 juin de chaque année, le monde célèbre la journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture. Ils se joignent donc au monde entier pour témoigner leurs soutiens aux victimes de torture. Ils estiment que la torture est un crime qui ne peut être justifiée en aucune circonstance.

Cette interdiction fait partie du droit international et s’applique à tous les membres de la communauté internationale, que l’État ait ou non ratifié les traités internationaux dans lesquels la torture est expressément interdite. La pratique systématique ou généralisée de la torture constitue un crime contre l’humanité.

Ils se réjouissent du fait que l’Etat du Burundi ait adhéré à la Convention contre la torture et peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants depuis 1993. Il a aussi érigé la torture en une infraction avec la loi 1/05 du 22 avril 2009 portant modification du code pénal, la torture est incriminée dans les articles 204 à 209 du code pénal.

Cependant, malgré cet arsenal juridique, le Burundi se soustrait de ses obligations car les victimes des crimes de torture ainsi que leurs familles ne savent plus où donner la tête. Ils sont privés de leur droit à l’accès à la justice pour la simple raison que l’appareil judiciaire burundais est transformé en instrument de répression des opposants ou présumés au service du pouvoir exécutif, déplorent-ils.

En effet, poursuivent-ils, depuis la crise politico-sécuritaire de 2015, le nombre de victimes a fortement augmenté au Burundi. Cette période a été le début de fortes répressions infligées par le gouvernement à l’encontre de ses opposants ou les acteurs de la société civile. La torture a depuis été utilisée comme moyen d’extorquer les vœux ou encore d’humilier toute personne qui ose dire ce ne qui ne marche pas au Burundi.

Ils sont en outre préoccupés que le processus électoral de 2020 s’accompagne de recrudescence de graves violations des droits de l’homme dont les statistiques en matière de torture ne cessent d’accroître. C’est ainsi que de 2017 à nos jours, ils ont recensé 220 cas de torture et ces chiffres sont loin inférieurs à la réalité car beaucoup de victimes n’osent pas révéler leur situation par crainte des représailles.

Face à cette situation, les activistes des droits de l’homme s’engagent à dénoncer continuellement ces actes ignobles en publiant des rapports réguliers sur la situation des droits de l’homme, en particulier les cas de tortures recensés. Ils continuent également à faire le plaidoyer pour que le Burundi redevienne un Etat de droit dénuée de toute impunité.

Pour cela, ces activistes des droits de l’homme émettent des recommandations à l’endroit du gouvernement du Burundi, des victimes et à leurs familles ainsi qu’à la communauté internationale.

Burundi - Santé

Le Burundi au chevet de la santé des mères et des enfants

Bujumbura, le 26 juin 2019 (Net Press) . Le lancement de la 1ère semaine édition 2019 de la semaine santé mère-enfant couplée à la semaine africaine de vaccination a eu lieu hier à Nyabikere, dans la province de Karusi, au Centre-Est du pays. Selon des informations de l’Unicef, cette édition touchera environ 800.000 femmes enceintes (2ème et 3ème trimestres de grossesse) et allaitantes, 2 millions d’enfants de moins de 5 ans et 5 millions de garçons et filles de moins 15 ans.

Elle sera marquée par la sensibilisation en faveur de la vaccination, le dénombrement des enfants de moins de 5 ans et des femmes enceintes afin d’identifier ceux qui n’ont pas respecté le calendrier vaccinal, suivi de leur récupération dans le cadre de la mise en œuvre de l’approche atteindre chaque enfant ou chaque communauté, en plus des autres éléments du paquet habituels de la semaine, les séances de sensibilisation sur la prévention des maladies liées au manque d’hygiène et sur le lavage des mains à l’eau et au savon seront réalisées sur les sites de distribution.

Dans la capitale économique Bujumbura, nombreuses sont des mères qui se plaignent pour n’avoir pas été informées de cette campagne. Signalons que cette semaine doit prendre fin ce vendredi 27 juin 2019 dans tout le pays.

Burundi - Gambie - Société

"L’ex-président gambien Jammeh rattrapé par des affaires de viols", dixit Rfi.

Banjul le 26 juin 2019 (Net Press) . Ce sont de graves accusations que Human Rights Watch publie ce mercredi 26 juin. Après 18 mois d’enquête, l’organisation accuse Yahya Jammeh de violences sexuelles. L’ex-président gambien, qui a régné durant 22 ans, est soupçonné d’avoir mis en place un véritable système pour abuser de ces jeunes femmes.

Trois victimes témoignent, mais également des proches de l’ex-président dans cette enquête de Human Right Watch. L’une des victimes qui accuse Yahya Jammeh est Toufah Jallow. En décembre 2014, elle vient d’avoir 18 ans lorsqu’elle remporte le concours de Miss Gambie. Yahya Jammeh demande à la rencontrer, explique-t-elle. Plusieurs fois.

Argent, ordinateur, eau courante dans la maison familiale, le président multiplie les cadeaux, prépare le terrain pour arriver à ses fins, selon le témoignage de la jeune femme : « À ce moment-là, il m’a demandé s’il pouvait m’épouser, raconte Toufah Jallow. J’étais très naïve. Je pensais que je pouvais refuser son offre et continuer mes études. Donc, j’ai dit non. »

En disant non, Toufah Jallow va provoquer la colère de Yahya Jammeh, poursuit-elle. Il oblige alors la jeune femme à revenir à la présidence en juin 2015. « Yahya Jammeh m’a invitée au palais, encore une fois. J’ai alors commencé à pleurer, à le supplier et à m’excuser, mais cela ne lui a rien fait », détaille Toufah Jallow.

« Il a frotté son sexe sur ma figure et il m’a forcée à me baisser. J’ai essayé de me débattre et il m’a injecté alors une seringue. Il m’a sodomisée et il m’a dit des choses pour que je regrette de l’avoir rejeté, de lui avoir dit non dès le départ. » Toufah Jallow appelle les autres victimes à raconter les abus de Yahya Jammeh. Elle sera pour sa part entendue prochainement à Banjul par la Commission vérité et réconciliation.

Un système Yahya Jammeh révélé par des ONG

Selon Human Right Watch et Trial, Yahya Jammeh avait mis en place tout un service de protocole bien huilé. Reed Brody, conseiller juridique à HRW, explique comment fonctionnait ce système : « Yahya Jammeh avait tout un système, presque un harem, des femmes qui travaillaient au palais présidentiel, mais dont le vrai boulot, c’était de coucher avec lui. »

« Il allait par exemple à des réunions, à des meetings publics, et il disait à ses collaborateurs : « Je veux celle-là », relate-t-il. On a interviewé huit personnes qui travaillaient dans sa protection rapprochée ou au palais présidentiel, qui nous ont expliqué comment, en fait, il sélectionnait lui-même les jeunes femmes pour assouvir ses fantasmes sexuels. »

Une culture du silence

En Gambie, sur les près de 700 dossiers, pas un seul ne mentionne une agression sexuelle de Yahya Jammeh au Centre des victimes. Pourtant, des histoires sont connues, certaines sont sorties dans la presse. Le problème est le même au bureau des affaires féminines de la Commission vérité et réconciliation. Sa responsable Yadicon Njie Eribo explique : « Ce sont des histoires que l’on entend ici où là, mais on espère que les victimes vont prendre la parole et expliquer leur histoire pour qu’on puisse mener des enquêtes. »

Les témoignages des victimes sont durs à recueillir, à cause d’une culture du silence dans ce petit pays où tout le monde peut se croiser. Fatou Baldeh, présidente d’une association féministe, décrit ce que peuvent subir certaines victimes ayant témoigné : « J’ai discuté avec des femmes qui ont été abusées sexuellement par des hommes très puissants sous Jammeh. Mais pour ces femmes qui osent témoigner publiquement du viol qu’elles ont subi, les conséquences peuvent être très graves. »

« Ces femmes peuvent être discriminées, abusées, ces femmes peuvent être contraintes de divorcer ou être rejetées par leurs familles. Il y a un grand nombre de facteurs qui expliquent le silence des victimes », ajoute-t-elle. Pour le moment, une dizaine de femmes seulement sont venues témoigner devant la Commission vérité et réconciliation qui achève sa cinquième session d’auditions.

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