Bujumbura, le 15 janvier 2020 (Net Press) . Très tôt ce matin vers 6hoo, un véhicule de la police nationale burundaise a percuté une tricycle communément appelée Bajaj devant la permanence du parti au pouvoir, faisant sur le champ 2 morts.
Les victimes se rendaient à la gare du Nord en provenance du marché dit Cotebu. Assis confortablement dans cet engin roulant, un véhicule double cabine de la police a heurté de derrière la Bajaj qui s’est renversée et les personnes à bord n’ont pas survécu à cet accident. Il s’agissait d’une dame de plus de 40 ans et du conducteur de cet engin. Ces deux cadavres ont été dépêchés à l’hôpital pour attendre que les leurs viennent les identifier et les enterrer dignement.
Pourtant, le nouveau chef Psr donne l’impression d’un homme doué d’énergie au service de la nation pour limiter les cas d’accidents. Car, à 6 h, la police de roulage s’était déjà positionnée le long des axes routiers desservant la capitale économique Bujumbura pour assurer la réglementation routière. L’on ne pourrait pas trouver facilement d’explications à cet accident, surtout qu’à cette heure, la circulation routière n’est pas du tout intense.
Selon des informations sur place au lieu de l’accident, la police roulait à vive allure à telle enseigne qu’il a été plus difficile au conducteur de maîtriser le volant après le tournant du rond-point et il a alors percuté la tricycle devant lui.
Tout à coup, des conducteurs de vélos, de motos et de bajaj se sont rassemblés par centaine au lieu de l’accident et les agents de la police de roulage qui s’étaient positionnés à la hauteur de la station Top One, aidés par leurs collèges qui se rendaient dans différents quartiers pour conduire les membres de ce corps au service, ont interdit un quelconque attroupement à cet endroit.
N’eut été cette intervention, le conducteur de ce véhicule policier allait tout au moins subir une certaine justice de la rue car, la population était dans la désolation totale et tremblait de colère. J.M.
Burundi Sécurité
Le ministre de la sécurité publique tire une sonnette d’alarme
Bujumbura, le 15 janvier 2020 (Net Press) . Lors d’une conférence de presse tenue ce matin relatives aux réalisations de son ministère, le commissaire de police général Alain Guillaume Bunyoni a prié l’opinion de se désolidariser avec la société Crowd1 qui s’occupe de transferts de monnaie virtuelle sans autorisation de la banque centrale, une institution de régulation des banques et institutions financières. Selon ce conférencier, cette société procède à l’escroquerie de la population.
Le ministre Alain Guillaume Bunyoni a rappelé que la banque centrale avait interdit de telles pratiques dans le domaine financier sans l’autorisation préalable de cette institution. Le ministre de la sécurité publique estime que de telles sociétés trompent la vigilance de la population pour l’escroquer de l’argent .
Il a fait savoir que les frais d’adhésion de 400.000 sont une somme colossale que le citoyen ordinaire est obligé d’aller vendre son bétail pour se les procurer ces frais Cette société était donc obligée de recruter d’autres adhérents, ce qui devenait un calvaire pour gravir l’échelon supérieur, encore que ces frais n’étaient pas remboursés.
Le ministre Bunyoni alerte la population burundaise de ne pas tomber dans ce piège et avertit que ce transfert virtuel d’argent de la société Crowd1 est sans autorisation de la banque de la République du Burundi .
Une opinion dit ne pas comprendre comment cette société Crowd1 a pu exercer ses activités sans l’autorisation de la banque centrale et ce, sous le silence coupable de l’administration et des autorités policières. N.R.
Burundi - Sécurité - Anniversaire
Décès du premier ministre Pierre Ngendandumwe, 55 ans déjà !
Bujumbura, le 15 janvier 2020 (Net Press) . Alors qu’il venait d’hériter de la primature en date du 7 janvier 1965, Pierre Ngendandumwe a été abattu en pleine capitale Bujumbura, le 15 janvier de la même année, alors qu’il rentrait de l’hôpital de la clinique Prince Louis Rwagasore, où il était allé rendre visite à son épouse qui venait d’accoucher.
Cet homme d’ethnie hutu avait vu le jour à Ngozi en 1930 et avait fréquenté le groupe scolaire d’Astrida. Il venait de succéder dans ces fonctions à Albin Nyamoya, soupçonné d’être prochinois et d’avoir interféré dans les affaires congolaises. Des informations qui ont circulé à l’époque faisaient croire qu’il a été tué par balles dans le dos par un réfugié rwandais d’ethnie tutsi ; qui travaillait à l’ambassade des Etats-Unis au Burundi.
Un écrivain burundais du nom d’Augustin Mariro, un retraité de l’Unesco, estime que l’assassinat du premier ministre Pierre Ngendandumwe est l’un des facteurs qui sont à l’origine de la crise ethnique entre les Hutu et le Tutsi en 1965 dans notre pays. Mais d’autres trouvent que la crise date de longtemps avant cette date. D.N.
Burundi - Politique
Toujours du suspens au sein de la formation politique de l’Aigle
Gitega, le 15 janvier 2020 (Net Press). S’il y a une information que le Cndd-Fdd a pu cacher à l’opinion jusqu’à présent, c’est bel et bien la préparation de son congrès extraordinaire qui doit aboutir à la désignation du candidat de ce parti politique aux échéances électorales du président au mois de mai de cette année.
Ici et là, l’on voit tout de même une effigie du général Evariste Ndayishimiye devant toute une foule de gens, en train de saluer avec un poing ainsi que le logo de ce parti. Les analystes politiques disent que cela n’est pas une preuve tangible qui atteste que c’est lui le successeur probable de Pierre Nkurunziza.
Cependant, il fait partie des gens qui sont souvent cités parmi ceux qui ont plus de chances de succéder au président sortant Pierre Nkurunziza. Cet homme avait intégré la rébellion en 1995, fuyant les massacres qui se déroulaient dans les différents campus de l’université du Burundi.
L’on se rappellera qu’avant d’occuper les fonctions actuelles, Evariste Ndayishimiye a été ministre de l’intérieur lors de la première législature du Cndd-Fdd. Il est connu pour avoir chassé sans manière le président du parti de l’époque, Hussein Radjabu, lors d’un congrès extraordinaire qui s’était tenu à Ngozi en 2007. Par après, il a présidé aux destinées du comité national olympique.
Mais jusqu’à présent, personne, même parmi ceux qui se présentent comme des influents du régime, ne donne une information détaillée sur ce congrès qui devrait avoir lieu le 25 janvier dans la capitale politique Gitega. Cette information tenue secrète étonne plus d’un car le public était habitué à avoir des informations avant que même les réunions de cette formation politique ne prennent fin. J.M.
Burundi – Travail
Arrestations intempestives des représentants syndicaux
Muramvya, le 15 janvier 2020 (Net Press) . Dans la matinée de ce lundi 13 janvier, la police présidentielle connue sous couvert du service national des renseignements a procédé à l’arrestation du représentant syndical en province de Muramvya.
Cette interpellation effectuée par le patron du service national des renseignements a été opérée alors que la victime était à son poste d’attache, plus précisément au lycée communal de Shombo, en commune et province de Muramvya.
Selon des informations concordantes en provenance de cette province, Cyriaque Manirakiza, représentant syndical de Sepeduc, a été appréhendé et conduit dans les cachots du commissariat provincial de Muramvya sur plainte déposée par Victor Ndabaniwe, président de la coalition spéciale des syndicats des enseignants pour la solidarité nationale ( Cossesona).
La mise aux arrêts de Cyriaque Manirakiza vient allonger la liste des syndicalistes en détention, victimes d’avoir dénoncé le retrait forcé d’un montant de 500 Fbu à prélever sur les salaires des enseignants que Ndabaniwe et sa junte appellent abusivement le montant alloué à la solidarité des enseignants à travers tout le pays.
Soulignons que la plupart des représentants syndicaux détenus l’ont été après s’être adressés au président de la République qui avait promis qu’il allait suivre de près la situation. Même la commission nationale indépendante des droits de l’homme (Cnidh) au Burundi s’était déjà saisie de la situation.
En effet, elle avait nommé une équipe de 5 personnes qui allait donner rapport en moins d’une semaine mais Ndabaniwe et la documentation n’ont pas permis aux deux institutions de jouer les bons offices entre la Cossesona et les syndicats du personnel enseignant.
Si la documentation est d’habitude au service du président, l’on comprend aisément que Cossesona est dans les grâces présidentielles, ce qui consacre le harcèlement des syndicalistes jusqu’à leur intégration dans cette coalition, qu’il pleuve ou qu’il neige. Ch.N.
Revue annuelle de la presse (suite et fin).
Burundi - Somalie - Sécurité
Affrontements des militaires burundais en Somalie, info ou intox ?
Mogadiscio, le 21 juin 2019 (Net Press) . Des informations en provenance de la Somalie font état des affrontements entre les militaires burundais et ceux de la Somalie qui ont fait des dizaines de morts. Selon ces nouvelles, les combats se sont déroulés mercredi 19 juin dans la banlieue de la capitale somalienne et auraient fait 24 morts.
Il semblerait que les militaires burundais ont pris en embuscade un convoi des troupes somaliennes, tuant des dizaines de soldats somaliens et détruisant au moins quatre véhicules militaires. Le motif de l’attaque n’est pas encore connu mais l’on pense que les militaires burundais ont intentionnellement déclenché les hostilités, selon des médias de la Corne de l’Afrique.
Cependant, d’autres informations indiquent avec assurance que le lieu où se sont déroulés les affrontements n’est pas contrôlé par les militaires burundais. Il semble que le contingent burundais occupait cette zone entre 2013 et 2014, affirmant qu’il est pour le moment au Nord de Mogadiscio.
Toujours les mêmes sources d’information précisent que le lieu où s’est passé l’incident est gardé par des militaires ougandais, d’où les militaires burundais de l’Amisom ne comprennent pas pourquoi il y a circulation de l’intoxication. Malgré cela, l’on ne précise pas la nationalité des militaires qui ont ouvert le feu sur les Somaliens. N.R.
Burundi - Rdc - Sécurité
L’Onu atteste la présence des Imbonerakure, de l’armée et des rebelles burundais en Rdc
New York, le 22 juin 2019 (Net Press) . Dans son récent rapport qui date du 6 juin dernier, un groupe d’experts de l’Onu sur le pays de Félix Tshisekedi ont fait savoir au conseil de sécurité qu’il y a la présence des éléments de l’armée, des rebelles burundais et des jeunes Imbonerakure affiliés au parti de l’Aigle.
Avec l’arrivée nouveau président au pouvoir en janvier dernier, plusieurs groupes armés ont tenté de déposer les armes à condition qu’il y ait mise en place des structures adéquates, selon toujours ce rapport. Malgré cela, les groupes armés locaux et étrangers présents sur le territoire congolais sont restés la source principale d’insécurité.
Les forces de l’ordre manifestent leurs inquiétudes quant à la protection des civils s’il n’y a pas de solution politique durable à la situation qui prévaut actuellement. Les mêmes forces armées congolaises trouvent qu’il est plus qu’urgent de trouver une solution d’autant plus que les groupes armés locaux et étrangers collaborent, ce qui complique davantage la situation.
Le rapport indique ensuite que les forces du Red-Tabara ont collaboré avec les groupes armés locaux dans la plaine de la Rusizi au moment où deux incursions de l’armée burundaise, Fdn, accompagnée de jeunes Imbonerakure, la jeunesse affiliée au parti Cndd-Fdd, ont été lancées dans cette même partie du Sud-Kivu. Deux groupes armés locaux ont appuyé la Fdn et les Imbonerakure, renchérit ce rapport.
La rédaction a essayé de contacter le porte-parole de l’armée burundaise mais sans succès. Elle a également cherché à entrer en contact avec les Fardc à Uvira et à Bukavu pour avoir plus de précisions. Curieusement, les personnes contactées ont affirmé sans détours ne pas être au courant de ce rapport.
Burundi - Sport
Les Hirondelles volent à bas étage sans toutefois démériter
Alexandrie, le 24 juin 2019 (Net Press) . C’est ce samedi 22 juin à 17 heures Gmt que l’équipe nationale burundaise, Intamba mu Rugamba, a affronté la redoutable équipe nationale du Nigéria. Les Hirondelles ont démontré qu’elles n’avaient pas de complexes face à ce géant africain qui a failli à maintes reprises être surpris par l’équipe nationale burundaise, qui découvrait pourtant cette phase dans l’histoire de son football.
Les Burundais ont tenu en échec l’équipe du Nigeria pendant 77 longues minutes avant qu’ils ne cèdent et encaissent le premier but. Le score restera inchangé jusqu’à la fin du temps réglementaire. Les spécialistes du ballon rond critiquent cependant certaines erreurs du coach dans la composition de l’équipe et surtout au moment d’opérer des changements durant le match.
Pour le moment, le Burundi est dans une situation où il n’a plus droit à l’erreur car il occupe pour le moment la quatrième place derrière le Nigéria, la Guinée et Madagascar. Il devra affronter ce dernier pays jeudi le 27 juin et s’il est battu encore une fois, sa route vers les huitièmes de finale sera hermétiquement barricadée.
Burundi - Justice Internationale
Vers le lancement des mandats d’arrêts internationaux ?
La Haye, le 25 juin 2019 (Net Press). C’est du moins l’information délivrée par le porte-parole de la cour pénale internationale, Cpi, Fadi El Abdallah, qui a fait savoir hier que cette instance judicaire internationale a demandé au Burundi de déposer des plaintes contre ceux, de l’opposition, qui ont violé les droits humains en 2015.
Ce porte-parole a également fait savoir que les enquêtes sont très avancées au regard des dossiers déjà constitués, informant qu’il ne reste que les plaintes du gouvernement burundais pour que les mandats d’arrêts soient émis et ce, d’un moment à l’autre.
Malgré que le Burundi se soit retiré de cette juridiction internationale, l’accusant d’être penchée aux seuls opposants au régime en place au moment des faits, cette dernière a poursuivi ses enquêtes car, dit-elle, le Burundi était encore membre quand les infractions ont été commises. L’on signalera que pour le moment, le Burundi accuse la Cpi de vouloir perturber les élections de 2020. J.M.
Burundi - Santé
Le Burundi au chevet de la santé des mères et des enfants
Bujumbura, le 26 juin 2019 (Net Press). Le lancement de la 1ère semaine édition 2019 de la semaine santé mère-enfant couplée à la semaine africaine de vaccination a eu lieu hier à Nyabikere, dans la province de Karusi, au Centre-Est du pays. Selon des informations de l’Unicef, cette édition touchera environ 800.000 femmes enceintes (2ème et 3ème trimestres de grossesse) et allaitantes, 2 millions d’enfants de moins de 5 ans et 5 millions de garçons et filles de moins 15 ans.
Elle sera marquée par la sensibilisation en faveur de la vaccination, le dénombrement des enfants de moins de 5 ans et des femmes enceintes afin d’identifier ceux qui n’ont pas respecté le calendrier vaccinal, suivi de leur récupération dans le cadre de la mise en œuvre de l’approche atteindre chaque enfant ou chaque communauté, en plus des autres éléments du paquet habituels de la semaine, les séances de sensibilisation sur la prévention des maladies liées au manque d’hygiène et sur le lavage des mains à l’eau et au savon seront réalisées sur les sites de distribution.
Dans la capitale économique Bujumbura, nombreuses sont des mères qui se plaignent pour n’avoir pas été informées de cette campagne. Signalons que cette semaine doit prendre fin ce vendredi 27 juin 2019 dans tout le pays.
Burundi - Justice
La ministre de la justice défend sa cathédrale
Bujumbura, le 27 juin 2019 (Net Press) . Lors des questions orales à la chambre basse du parlement, la ministre de la justice et garde des sceaux, Aimée Laurentine Kanyana, a plaidé pour l’amélioration des salaires des hommes et des femmes prestant à la cour suprême, la plus haute juridiction que compte ce pays.
Elle a fait savoir qu’il est impensable que les magistrats des cours spécialisées, en l’occurrence la cour des comptes ou la cour de la commission terres et autres biens, qui découlent de la même cour suprême de surcroît, perçoivent un salaire allant jusqu’à trois plus. Un paradoxe aux yeux de la ministre Kanyana. D.N.
Burundi - Sécurité Routière
Un conducteur de taxi-vélo fauché par un accident de roulage
Bujumbura, le28 juin 2019 (Net Press) . La route Kinama - Carama était complètement barrée dans la soirée d’hier de 17 heures 50 minutes à 20 heures. Depuis le quartier Mutakura jusqu’à la limite entre le quartier Carama et Kinama, au lieu-dit Kanga, on remarquait une agglutination de véhicules qui s’alignaient jusqu’à l’horizon.
Pour cause, un conducteur de taxi-vélo a été projeté par un véhicule et le choc l’a entraîné directement à la perte de la connaissance suivie d’une mort subite. A ce lieu d’accident, la population était nombreuse, venue pour assister à l’action des agents de sécurité qui ont procédé à la détermination des circonstances d’accident et à la constitution du dossier pénal pour que les parentés de la victime puissent s’en référer au tribunal et à la maison d’assurance.
Ce qui est étonnant et regrettable, selon les gens qui étaient sur place au moment des faits, c’est que la victime avait été préalablement avertie par la population pour qu’elle fasse attention car, elle conduisait son vélo avec trop de fantaisies en faisait des zigzags en pleine route. Or, cet axe est trop exigu et est beaucoup fréquenté par des voitures venues de Bubanza et celles qui rentraient de la ville vers Carama ou vice-versa.
Comme les vélos et les motos sont interdits de circuler au-delà de 18 heures et que la plupart de conducteurs vivent à Kanga, Kinama et Maramvya, l’on pourrait imaginer qu’il roulait à tombeau ouvert. Cet excès de vitesse visait d’arriver à son domicile avant qu’il ne soit arrêté par les forces de l’ordre ou la jeunesse du Cndd-Fdd, les Imbonerakure, qui font la loi dans les quartiers périphériques de Bujumbura, la capitale économique. N.R.
Burundi - Sécurité
Un haut gradé de l’armée burundaise porté disparu !
Bujumbura, le 29 juin 2019 (Net Press) . Le major Ernest Nimubona, ce haut gradé de l’armée burundaise affecté à l’état major, reste introuvable depuis la soirée de ce vendredi 28 juin 2019, rapportent les membres de sa famille.
Selon nos sources, le major Ernest Nimubona a été aperçu pour la dernière fois au quartier Nyabugete au sud de la capitale. Il a été recherché dans tous les établissements pénitentiaires et sanitaires de Bujumbura mais en vain. Sa voiture n’a pas été non plus retrouvée et sa famille craint le pire.
.
Au moment où d’autres informations indiquent qu’en début de soirée, il était à bord de son véhicule en compagnie d’une autre personne, une certain opinion ne comprend pas tout simplement cas de disparition d’un ex force armée burundaise d’autant plus que ni le porte-parole du ministère de la sécurité publique, ni de la défense, n’ont rien dit sur cette disparition. N.R.
Rectificatif
Dans son édition de ce 13 janvier, la rédaction a mentionné qu’il y a 7 ans jour pour jour après l’incendie qui a ravagé l’ancien marché central de Bujumbura. Un clin d’œil d’un confrère nous fait savoir que c’est plutôt le 27 janvier et non le 13. La rédaction le remercie vivement tout en présentant ses excuses à son aimable lectorat.