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Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
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Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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|Les défenseurs des droits de l’homme se disent engagés … !

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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Sécurité18 avril 2023
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Burundi – Sécurité15 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
|Limogeage puis incarcération : de mal en pis pour Domithile Ntunzwenimana

 

 

 

 

 

 



Burundi - Sécurité

Deux éducateurs inquiétés par la police pour violence sexuelles

1er juin 2020

Bujumbura, le 1er juin 2020 (Net Press). Ils s’appellent Éric Barutwanayo, cet enseignant à l’école maternelle catholique du quartier Ngagara II et Jean Claude Ndabarushimana, enseignant vacataire au Lycée du Lac Tanganyika, ils sont dans les mains de la police depuis le 27 mai 2020. Ils ont accusés d’avoir violé leurs éduquées comme le confirme le porte-parole adjoint au ministère de la sécurité, Moïse Nkurunziza, dans un point de presse de ce vendredi 29 mai 2020. Les auteurs ne nient pas les faits. Selon ce communicateur du ministère en charge de le sécurité, les faits ont été révélés par l’inspecteur général au ministère de l’éducation.

Quant à Jean Claude Ndabarushimana, professeur en entrepreneuriat au lycée du Lac Tanganyika en 3ème année post fondamentale, il a été arrêté par la police car il échangeait des texto téléphoniques avec son élève, l’invitant à coucher avec elle, ce que cette dernière a refusé .

Selon Moise Nkurunziza, cet éducateur préparait son mariage qui aurait dû être célébré le 4 juillet prochain. Par ruse, ce dernier a invité la jeune fille à participer dans une réunion qui prépare son mariage. A sa grande surprise, la jeune fille n’a trouvé aucun membre du comité au domicile du futur marié, elle a été violée sexuellement. Dans un premier temps, cette fille a eu peur de raconter ce qui lui était arrivé.

Elle a par après décidé de le raconter à son titulaire qui a porté le cas à la direction
Et d’ajouter que lors de l’interrogatoire, ledit professeur a avoué le fait et a même accepté qu’il avait un autre rendez-vous avec une autre fille.

Le second cas de violence sexuelle a été fait par Eric Barutwanayo, âgé de 22 ans. Enseignant à l’école maternelle catholique du quartier Ngagara, il a violé une élève de la 2ème année de l’école fondamentale. C’était au moment où il donnait le cours de renforcement qu’il a profité de l’occasion de faire sortir une de ses éduqués. Il l’a fait entrer dans une autre salle de classe inoccupée et l’a violée.

Rentrée à la maison, la victime a raconté à ses parents ce qui lui est arrivé. Le lendemain, les parents ont saisi la police des mineurs et protection des mœurs. C’est ainsi que l’auteur a été appréhendé. Le même individu a avoué le fait et reconnaît une fois alors que l’enfant dit qu’il s’agit de deux fois.

Moise Nkurunziza rappelle que l’article 571 du code pénal, alinéa 5, stipule que le viol commis par un éducateur sur son élève est puni de 15 à 25 ans de servitude pénale si le viol est commis sur un mineur de 15 à 18 ans, plus une amende qui varie de 50.000 à 200.000 Fbu.

Pour le viol commis sur un mineur de moins de 12 ans, le fauteur est condamné à perpétuité de servitude pénale. La police demande alors à tous les élèves de dénoncer qui que ce soit incite ou courtise une mineure en vue de décourager ce comportement indigne. Notons que cinq personnes sur sept qui sont sous garde à vue à la police des mineurs et protection des mœurs sont soupçonnées de commettre des viols sur mineurs. N.R.

Burundi - Justice

Vers le verdict des journalistes du groupe de presse Iwacu

Bujumbura, le 1er juin 2020 (Net Press) . Les quatre journalistes du groupe de presse Iwacu, à savoir Christine Kamikazi, Agnès Ndirubusa, Térence Mpozenzi et Egide Harerimana, sont incarcérés depuis le 22 octobre 2019 dans la province de Bubanza, à l’Ouest du pays. Ils ont été accusés d’avoir tenté de porter atteinte à la sécurité de l’État.

Au premier degré, ils ont été condamnés à 2 ans et 6 mois et une amende de 1.000.000 Fbu chacun alors que le ministère public avait requis contre eux une condamnation de 15 ans, de fortes amendes, des saisis de leurs biens ainsi que l’impossibilité pour eux de voter. Ils ont interjeté appel et la cour de céans, en itinérance dans la province de Bubanza a siégé le 6 mai dernier.

Comme l’affaire en délibéré prend un délai de 30 jours, nous sommes théoriquement dans la dernière semaine avant que cette cour ne se prononce. Cependant, elle peut ne pas rendre son verdict au 30ème jour comme cela est exigé par la loi. Le jugement peut se faire avant ou quelques temps après le délai.

Lors de la dernière audience, la défense était satisfaite du déroulement du procès et attendait que le verdict soit en faveur de ses clients. Même la famille des journalistes rentre dans le même ordre d’idées, surtout que les élections ont pris fin, car elles détournaient beaucoup l’attention des autorités tant politiques que judiciaires.

Ces journalistes, qui séjourné sept longs mois dans une prison pour avoir fait leur travail de reportage, devraient donc être relâchés, surtout que la tendance qui se dégage est que le Cndd-Fdd continue à garder les commandes du pays, poussant ainsi les autorités à libérer les journalistes avant que le président élu ne prête serment. J.M.

Burundi - Santé

Une misse en quarantaine pour le moins exceptionnelle

Makamba, le 1er juin 2020 (Net Press) . Nous sommes dans la province de Makamba, au Sud du pays, où 114 personnes venues de la Tanzanie sont mises en quarantaine dans la commune de Mabanda depuis le 22 mai dernier. Ce qui a étonné plus d’un, c’est que ces personnes, dont 5 femmes, sont installées dans une infrastructure destinée à la mise en quarantaine des bovins importés de l’extérieur du pays, appartenant au ministère en charge de l’agriculture, de l’élevage e de l’environnement.

Les informations à la disposition de la rédaction indiquent que ces Burundais sont venus de plusieurs pays de la sous-région, d’où ils craignent des maladies dites des mains sales suite au manque d’hygiène, dû en grande partie à la carence d’eau. Ils n’ont pas non plus du bois de chauffage pour préparer leur nourriture durant cette période de mise en quarantaine.

Il semble qu’ils sont obligés d’y passer plusieurs autres semaines car ils attendent d’autres qui vont venir même s’ils n’ont aucune idée de la date de leur arrivée à cet endroit. Par ailleurs, ces personnes dorment ensemble et partagent les outils sans aucune précaution en matière d’hygiène, ce qui ne fait que renforcer leurs inquiétudes. D.N.

Burundi – Politique

Une réapparition qui suscite beaucoup d’interrogations !

Bujumbura, le 1er juin 2020 (Net Press) . Il s’appelle Innocent Muryango, ancien technicien de la Radio Bonesha, une station détruite en 2015. Il a été enlevé et porté disparu depuis le 25 mai 2020 et retrouvé ce dimanche 31 mai. Rien ne filtre sur cette disparition d’autant plus que l’intéressé ne coopère pas pour donner la lumière sur cet enlèvement .

Selon nos sources, Innocent Muryango a été appelé le 25 mai 2020 sur son téléphone portable par un individu non encore identifié, enlevé et détenu dans un endroit tenu top secret comme le confirment d’autres personnes. Ses ravisseurs ont exigé un rançon de six millions pour son relâchement, la famille en avait donné deux et suite à une intervention musclée d’un haut gradé de la police, selon un témoin sous couvert d’anonymat, Innocent Muryango a été relâché, un véhicule non encore identifié l’a déposé à son domicile .

Selon les membres de la famille biologique, Innocent Muryango a été sérieusement torturé, il apparaissait sale et fatigué, ce dernier ne révèle aucun mot sur son enlèvement, sur le lieu et les conditions de sa détention, La victime et sa famille biologique vivent la peur au ventre car selon elle, Innocent Muryango risque d’être tué par ses anciens ravisseurs. Ch.N.

Burundi - Usa - Sécurité

Donald Trump caché dans un bunker de la Maison Blanche lors des manifestations à Washington

Washington, le 1er juin 2020 (Net Press) . Vendredi 29 mai au soir, des agents des services secrets ont emmené le président Donald Trump dans un bunker à la Maison Blanche, lorsque des centaines de manifestants se sont rassemblés devant le palais présidentiel, certains jetant des pierres et secouant les barrières de la police.

Trump a passé près d’une heure dans le bunker, conçu pour être utilisé dans des situations d’urgence telles que des attaques terroristes, selon un républicain proche de la Maison Blanche qui n’était pas autorisé à commenter publiquement des affaires privées et a parlé sous couvert d’anonymat. Sa version a été confirmée par un responsable du gouvernement qui a également parlé sous couvert d’anonymat.

La décision soudaine des officiers reflète l’atmosphère tendue de la Maison Blanche, où les chants des manifestants dans le parc Lafayette ont pu être entendus tout au long du week-end, alors que les agents de la sécurité et des services secrets tentaient de contenir la foule.

Les manifestations de vendredi ont commencé avec la mort de George Floyd, un homme noir décédé après qu’un policier blanc de Minneapolis lui eut serré le cou. Les manifestations à Washington sont devenues violentes et ont semblé prendre les autorités par surprise. Ils ont provoqué l’une des plus grandes situations d’alerte dans le complexe de la Maison Blanche depuis les attentats du 11 septembre 2001.

« La Maison Blanche ne commente pas les décisions et protocoles de sécurité.« A déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Judd Deere. Les services secrets ont noté qu’ils n’avaient pas commenté les moyens et les méthodes de ses opérations de protection. Le New York Times a d’abord signalé le déménagement du président dans le bunker.

Le volume et l’acrimonie de la foule ont choqué le président et sa famille, selon la source républicaine. Au début, il n’était pas clair si la première dame, Melania Trump, et le fils du couple de 14 ans, Barro, avaient rejoint le président dans le bunker. Le protocole des services secrets aurait indiqué que toutes les personnes sous la protection de l’agence vont au refuge souterrain. Trump a déclaré à ses collaborateurs qu’il craignait pour leur sécurité et a salué publiquement et en privé le travail des services secrets.

Trump s’est rendu en Floride samedi pour assister au premier lancement spatial habité des États-Unis en près d’une décennie. Retourné à une Maison Blanche presque assiégée, des manifestants – certains violents – se sont rassemblés à quelques centaines de mètres pendant une bonne partie de la nuit. Trump a poursuivi ses efforts pour se présenter comme énergique, en utilisant une série de tweets provocateurs et d’attaques partisanes au milieu de la crise nationale.

Alors que les villes brûlaient nuit après nuit et que les images de violence dominaient la couverture télévisée, les aides de Trump ont joué avec la possibilité d’un message du bureau ovale dans le but d’atténuer les tensions. L’idée a été rapidement rejetée en raison d’un manque de propositions législatives et du désintérêt apparent du président pour transmettre un message d’unité.

Trump n’est pas apparu en public dimanche. Au lieu de cela, un fonctionnaire de la Maison Blanche Non autorisé à commenter les plans à l’avance, il a déclaré que Trump devrait établir dans les prochains jours une distinction entre le mécontentement légitime des manifestants pacifiques et les actions inacceptables des agitateurs violents.

Trump a retweeté dimanche un message d’un commentateur conservateur exhortant les autorités à répondre avec plus de force. Des manifestants ont mis le feu à une partie de l’église historique de Saint-Jean en face de la place Lafayette. (Infobae)

« Cela ne s’arrêtera pas tant que les gentils ne seront pas prêts à utiliser une force écrasante contre les méchants. Buck Sexton a écrit dans un message amplifié par le président. Ces derniers jours, des agents de la Garde nationale et du personnel supplémentaire des services secrets et de la police du parc ont renforcé la sécurité de la Maison Blanche.

Le ministère de la Justice a déployé dimanche des membres du Federal Marshals Service et des agents de la Drug Enforcement Agency (DEA) des États-Unis pour soutenir les agents de la Garde nationale déployés à la Maison Blanche, selon un membre. Fait saillant du ministère de la Justice. L’officiel n’a pas pu commenter la question publiquement et a parlé sous couvert d’anonymat. J.M.

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