Makamba, le 18 juin 2021 (Net Press) . Il s’agit d’Angélique Ndikumwenayo, cette jeune fille au fleur de l’âge et de Samuel Bigirimana, âgé de 33 ans. Leurs corps sans vie ont été découverts pendus. Le premier était pendu sur un arbre sur la colline de Mahembe en zone de Gitaba, dans la commune et province de Makamba, au Sud du pays.
Le deuxième a été découvert dans les mêmes circonstances sur la colline de Kazirabageni, dans la commune de Nyanza-Lac (même province). Les circonstances de la mort dans les deux cas restent non encore identifiées, mais la police affirme avoir ouvert une enquête à ce sujet.
Selon les témoins, le corps d’Angélique Ndikumwenayo a été découvert vers 18h de ce dimanche 13 juin par des individus curieux qui se rendaient à une source pour puiser de l’eau. Il était pendu sur une corde attachée à un avocatier, selon des témoins de la découverte macabre.
Les circonstances de sa mort restent jusqu’ici non élucidées, mais les proches de la défunte soupçonnent une relation de fiançailles qui aurait mal tourné et ajoutent qu’ elle avait été appelée par son fiancé qui habite la même colline. Elle n’est plus retournée. Ils pensent que c’est une piste que la police ne devrait pas négliger pour tenter de savoir ce qui s’est passé. Selon sa famille biologique, dans un message retrouvé sur le téléphone de la défunte, lequel message avait été envoyé par son copain, il lui disait qu’il ne peut pas vivre sans elle.
La deuxième victime est Samuel Bigirimana (33 ans). Il était marié et père de deux enfants.
Son corps a été découvert pendu sur un arbre sur la colline de Kazirabageni en commune de Nyanza-Lac. Une source administrative pense qu’il se serait suicidé sans donner les raisons. Les deux corps ont été évacués dans les hôpitaux de Makamba et de Nyanza-lac. La police indique avoir ouvert une enquête dans les deux cas.
Et dans la même foulée, nous apprenons qu’un certain Anaclet Ndikumwenayo a été tué ce jeudi 17 juin sur la colline de Gitsinda, dans la commune de Buyengero (province de Rumonge, Sud-ouest du Burundi). Les auteurs et le mobile du meurtre n’ont jusqu’ici pas été identifiés, mais la police a interpellé 6 suspects.
Selon des sources locales, le meurtre aurait des liens avec un conflit foncier, le défunt avait un conflit foncier avec des voisins, dont des membres de sa famille. Parmi les personnes suspectées par la police, il y a un frère du défunt. Ils sont détenus au cachot de la police locale de Buyengero. N.R.
Burundi - Politique
"Rien n’est frustrant pour la population que de voler les biens publics au grand jour", dixit Evariste Ndayishimiye
Gitega, le 18 juin 2021 (Net Press) . Ce sont des propos du chef de l’Etat, Evariste Ndayishimiye, ce vendredi 18 juin 2021, lors de la deuxième journée d’une prière d’action de grâce qu’il a organisée à l’occasion de son anniversaire d’une année au pouvoir. Il a demandé à tous les citoyens d’être vigilants.
Il a fait savoir qu’il y a certains administratifs qui octroient des marchés d’une valeur d’1 milliard qu’ils gonflent jusqu’à 5 milliards pour qu’ils consomment 4 milliards. C’est ce qui rend mécontente la population mécontent même si elle préfère ne rien dire. Le président de la République dit qu’il est satanique de voler 4 milliards du trésor public pour construire une maison pour une autre femme dite "deuxième bureau".
Le président Ndayishimiye a appelé la population à les dénoncer et estime que tôt ou tard, les auteurs de tels crimes seront jugés et punis, raison pour laquelle il a mis des boites à suggestion à la disposition du public pour que ces auteurs de ces vols soient dénoncés. N.B.
Burundi - Politique
Le président Ndayishimiye souffle son premier anniversaire au pouvoir, quel bilan !
Gitega, le 18 juin 2021 (Net Press). Elu le 20 mai 2020, accédé au pouvoir le 18 juin 2020, le président de la République du Burundi, Evariste Ndayishimiye, ce natif de la commune Giheta, en province de Gitega, au Centre du pays, vient de souffler sa première bougie à la tête de notre pays.
Selon une opinion, son bilan est positif même s’il y a encore beaucoup de choses à redresser. Parmi les actions jugées positives de l’ère Ndayishimiye, l’on peut citer le bémol mis dans l’activisme des jeunes "Cndd-fddistes" qui faisaient la pluie et le bon temps, la réouverture des medias comme la Radio Bonesha, l’une des tribunes du groupe de presse Iwacu, le journal en ligne Ikiriho et la volonté de rouvrir les portes de la radio Bbc.
Du côté de la justice, le président Ndayishimiye a relâché 4 journalistes du groupe de presse Iwacu ainsi que plus de 5.000 détenus qu’il a personnellement graciés. Le président Ndayishimiye a également procédé à l’ouverture des espaces de dialogues avec l’Union européenne pour une reprise de coopération entre les deux parties. Il a également fait de même avec le Rwanda dont les relations sont délétères depuis 2015.
L’on ne peut pas non plus passer sous silence le retour en masse des réfugiés burundais en provenance des pays voisins comme le Rwanda, la Tanzanie, la République démocratique du Congo, mais également du Kenya, de la Zambie, etc. A son actif, l’on peut également évoquer la lutte contre la pandémie du covid-19 en réduisant le prix du savon pour le lavage des mains.
Cependant, des radios comme Rpa, Télé Renaissance et la Voix de l’Amérique restent fermées et malgré l’initiative de réchauffement de la coopération entre le Burundi et le Rwanda, l’on voit de temps en temps des invectives de part et d’autres. Il devrait également consentir beaucoup d’efforts dans le secteur de l’économie car la pauvreté généralisées chez les populations saute aux yeux.
Et quand l’opposition dénonce !
L’opposant traditionnel, Agathon Rwasa, parle d’un bilan négatif de l’administration du président de la République, Evariste Ndayishimiye car l’opposition n’a pas été enrôlée dans les réalités du pouvoir, les attaques à la grenade en mairie de Bujumbura, en province de Muramvya et en commune de Rusaka en province de Mwaro, des arrestations mêlées d’emprisonnements arbitraires, la restriction de l’espace et de la liberté politique, etc.
Cependant il y a un point de convergence entre la mouvance et l’opposition !
L’opposition parle de la chasse de la ligue des jeunes du parti aux affaires Imbonerakure épinglés comme faiseurs du bon et du mauvais temps qui ont été réduits en silence, ce qui rencontre l’approbation du président du parti Front national pour la libération, Jacques Bigirimana qui dresse un bilan de l’administration Ndayishimiye largement positif.
D’autres trouvent que dans plusieurs sorties médiatique, le président Ndayishimiye déclare que le Burundi n’est pas un ilot dans les concerts des nations et doit entretenir des relations avec le monde extérieur, et se réjouissent de son déplacement dans 6 pays africains, y compris trois pays de la communauté est africaine, en l’occurrence l’Ouganda, le Kenya et la Tanzanie. Ils se posent la question de savoir quand arrivera le tour du Rwanda pour réchauffer définitivement les relations diplomatiques avec son voisin du nord.
Ces mêmes commentateurs indiquent que le président Evariste Ndayishimiye devrait effectuer son déplacement à Kigali le 4 juillet 2021, le jour de la célébration de la fête de la libération, comme il l’a fait lors de l’investiture de son homologue Ougandais Yoweli Kaguta Museveni et lors de la fête de la commémoration de l’indépendance du Kenya " Madaraka day " pour discuter ensemble avec son homologue rwandais, Paul Kagame, sur le réchauffement diplomatique de deux pays et visiter le camps des réfugiés burundais de Mahama pour leur rassurer du retour de la paix et de la tranquillité dans le pays et les convaincre de rentrer. N.R.
Burundi - Politique
Le parti Upd Zigamibanga dresse un bilan positif de l’ère Ndayishimiye, mais … !
Bujumbura, le 18 juin 2021 (Net Press) . Dans une déclaration rendue publique dans la matinée de vendredi, le parti Union pour le progrès et le développement, Upd-Zigamibanga, a dressé un bilan largement positif du président de la République Ndayishimiye. Il a évoqué le retour de la paix et de la sécurité, la redynamisation des relations de coopération avec les organisations internationales, avec les Nations-unies, l’organisation internationale de la francophonie et l’Union Africaine.
Abdoul Kassim, président de cette aile proche du pouvoir, a exigé la lumière sur l’assassinat de l’ancien président de ce parti, Zed Feruzi, tué tout près de son domicile en zone Ngagara au nord de la capitale économique.
Abdoul Kassim a déclaré que les membres et les partisans de ce parti se réjouissent que le coauteur de cet assassinat ait été condamné à 20 ans de prison ferme mais demande à la justice burundaise que les autres auteurs soient traqués et traduits devant la justice.
Abdoul Kassim, interrogé à cette sur l’héritage de l’ancien président par la rédaction, a répondu que feu le président de l’Upd a laissé un bon héritage qui sera grave dans les cœurs des membres de l’Upd, d’autant plus qu’il était une personnalité politique qui a été le premier président d’une formation politique issue de la religion musulmane, qui n’avait pas peur de braver tous les dangers pour assoir une culture démocratique de son pays, la cohabitation pacifique, l’humilité.
A la question de savoir pourquoi feu président de l’Upd Zed Feruz était dans le cercle de l’opposition et que son héritage n’a pas été largement poursuivi, au regard que l’Upd-Zigamibanga se trouve aujourd’hui dans la cirque du pouvoir. Pour la rédaction, cette foration politique a élu en 2020 le candidat du Cndd-Fdd Evariste Ndayishimye.
Abdoul Kassim n’y est pas allé par quatre chemins, les programmes de son parti et ceux du parti au pouvoir se ressemblent. Au cours de cette sorite médiatique, il a profité de cette occasion pour s’inscrire en faux contre certains Burundais qui ont le désir de verser le sang des innocents, en témoignent les embuscades tendues en province de Muramvya, les grenades lancées en mairie de Bujumbura et les attaques qui ont été observées dans les communes de Burambi et de Buyengero. N.R.
Burundi - Commerce
La rareté des produits de la Brarudi entraîne des spéculations diverses des commerçants
Bujumbura, le 18 juin 2021 (Net Press) . Certains produits de la Brarudi comme l’Amstel Royal, Amstel blonde, Primus et certaines sortes de Fanta sont devenus rares dans les différents quartiers de la capitale économique Bujumbura. Notre rédaction s’est rendue au quartier Kanyosha, les consommateurs disent que les produits comme Amstel et Royal ne sont plus disponibles il y a un mois.
Ils disent que même dans les cabarets, une semaine peut s’écouler que ces produits ne soient disponibles. Et une fois qu’on le trouve, ils sont venus à des prix exorbitants jusqu’à 3.000 Fbu une bière et ce, sous prétexte les frais de transport sont à l’origine de cette majoration. Les détenteurs des bistrots disent que les activités sont au ralenti suite à ce manque de produits de la Brarudi.
Ils disent même qu’il arrive des moments où ils pensent fermer car ils continuent à payer le loyer alors qu’ils ne travaillent pratiquement pas. Un gérant d’un SSD méga dit que la pénurie de certains produits s’observe et que même pour les autres boissons, il arrive des moments où les quantités commandées ne correspondent pas à la quantité reçue.
La population demande au gouvernement de bien s’occuper de la question des produits de la Brarudi. Signalons qu’une certaine opinion estime qu’il y a carence de ces produits car une bonne quantité se vend dans les pays voisins probablement à la requête des devises qui font défaut dans ce pays. N.B.
Burundi - Environnement
Malgré la diminution des eaux, les populations de Gatumba ne veulent pas regagner leurs maisons
Bujumbura, le 18 juin 2021 (Net Press). Cette population dit qu’elle ne veut pas retourner chez elle de peur que les murs des maisons inondées ne s’effondrent sur eux. Elle ajoute qu’elle y va le jour mais que pendant, elle préfère regagner les tentes pour éviter tout risque d’être emportée les murs de ces maisons.
Ces populations disent qu’elles ont tout perdu et demandent à toutes les âmes charitable de leurs venir en aide. Elles demandent également au gouvernement de bien vouloir bâtir les rives de la rivière Rusizi pour prévenir les dégâts qui peuvent surgir pendant la période pluviale. N.B.
Burundi - Education
Départ pour l’Eternité du rédacteur en chef du journal "La Voix de l’Enseignant"
Bujumbura, le 18 juin 2021 (Net Press) . Le Rédacteur en chef du Journal la Voix de l’Enseignant, Dieudonné Hakizimana, s’est éteint le matin du samedi 12 juin 2021 après une courte maladie. Son inhumation s’est faite ce vendredi 18 juin 2021 au cimetière de Mpanda après une messe de requiem qui s’est dite à la cathédrale Regina Mundi. Dieudonné Hakizimana était membre de l’équipe de rédaction du Journal la Voix de l’Enseignant dont il assurait la rédaction en chef depuis le mois de juin 2013. Intelligent et travailleur, il accomplissait sa tâche avec ardeur et dévouement.
Ce confrère évoque également deux promotions des élèves finalistes qui vont être certifiées presqu’en même temps. Des élèves finalistes des humanités générales et techniques, promotion de l’année scolaire 2019-2020, vont bientôt être certifiés en même temps que ceux de la promotion de l’année scolaire 2020-2021.
Les directeurs des établissements indiquent que la lenteur provient du ministère de l’Education Nationale et de la Recherche Scientifique où les diplômes doivent être signés et légalisés. Sinon, tous les certificats de cette première promotion sont dans les bureaux des signataires.
Ceux-ci seraient pris par d’autres tâches comme l’organisation de la passation du concours national de certification et d’orientation après la 9è. Les parents des élèves demandent aux responsables de sursoir sur cette question car leurs enfants ont besoin de ce document. Il faut prioriser les services sinon si deux promotions sont confondues, ce retard ne sera jamais corrigé.
Et à l’occasion de la journée de l’enfant africain, notre confrère fait le point sur le droit à l’éducation au Burundi. La journée de l’enfant africain est célébrée chaque année en souvenir du 16 juin 1976 où des milliers d’étudiants sud-africains ont manifesté à Soweto pour exiger une éducation de qualité.
Des centaines d’enfants ont été tués par le régime de l’apartheid en place à l’époque. Aujourd’hui, ce droit d’accès à une éducation de qualité n’est pas garanti à tous les enfants en Afrique. Au Burundi, en dépit de la gratuité de l’enseignement primaire décrétée depuis septembre 2005, de l’élargissement de l’enseignement de base (fondamental) de 6 à 9 ans en 2010 et de la construction de plusieurs salles de classe, beaucoup d’enfants ne vont pas à l’école et ceux qui y vont l’abandonnent à cause de la pléthore dans les salles de classes, de la pauvreté des parents et de la violence, sous toutes ses formes : châtiments corporels à l’école et à la maison, abus sexuels, etc…. Les dirigeants sont appelés à mettre en place des mesures fortes pour que tous les enfants puissent avoir accès à l’éducation. J.M.
Burundi - Réfugiés
A l’occasion de la journée mondiale des réfugiés, l’Onu s’exprime
New York, le 18 juin 2021 (Net Press). Le 20 juin de chaque année, la communauté internationale célèbre la journée mondiale des réfugiés. A cette occasion, le secrétaire général de l’Onu a livré un message articulé autour du thème "Ensemble, on se soigne, on apprend et on rayonne".
Dans ce message, le secrétaire général fait savoir que la guerre, la violence et les persécutions ont contraint plus de 80 millions de personnes dans le monde à fuir leur foyer et à tout abandonner pour sauver leur vie et celle de leur famille. Les réfugiés doivent tout recommencer à zéro.
Pendant la pandémie, nombre d’entre eux ont été privés de moyens de subsistance, stigmatisés, dénigrés et exposés de façon disproportionnée au virus. Or, ils ont une fois de plus apporté une aide inestimable à leurs sociétés d’accueil en tant que personnel essentiel et travailleurs de première ligne.
L’on doit aider les réfugiés à reconstruire leur vie. Comme on l’a vu pendant la pandémie, pour réussir, il nous faut être solidaires, a-t-il poursuivi. En cette Journée mondiale, j’engage les communautés et les gouvernements à intégrer les réfugiés, au niveau des soins de santé, de l’éducation et du sport.
António Guterres trouve que pour guérir ensemble, dispensons à tous les soins nécessaires. Pour apprendre ensemble, donnons à tous la possibilité d’étudier et pour rayonner ensemble, faisons équipe et soyons respectueux les uns des autres. À l’occasion de cette Journée mondiale, il salue les pays qui ont accueilli des réfugiés.
Mais les États, le secteur privé, les collectivités et les individus doivent faire davantage pour cheminer ensemble vers un avenir sans exclusion ni discrimination. Les réfugiés qu’il a rencontrés ont expliqué comment ils ont reconstruit leur vie tout en trouvant le courage d’enrichir celle des autres.
Pendant ses 10 années au poste de Haut-Commissaire pour les réfugiés, António Guterres a été impressionné par leur courage, leur résilience et leur détermination. Il remercie les réfugiés et les déplacés du monde entier et demeure admiratif des leçons qu’ils nous lèguent sur la force de l’espoir et de la guérison. En cette Journée mondiale, comme chaque jour, soyons solidaires des réfugiés, a-t-il conclu son message. D.N.
Burundi - Usa - Politique
"États-Unis : la commémoration de la fin de l’esclavage devient un jour férié", dixit Rfi
Washington, le 18 juin 2021 (Net Press) . Aux États-Unis, la commémoration de la fin de l’esclavage devient un jour férié reconnu au niveau fédéral. Le texte a été approuvé par les élus démocrates et républicains du Congrès lors d’un vote bipartisan. Le texte avait été proposé conjointement par deux membres des deux partis.
Il ne manque désormais plus que la signature de Joe Biden pour inscrire officiellement le 19 juin comme jour férié sur le calendrier fédéral des États-Unis. Le 19 juin, ou « Juneteenth », marque effectivement l’émancipation des tous derniers esclaves du pays en 1865, deux ans et demi après l’abolition de l’esclavage par Abraham Lincoln. À l’époque, le pays est en pleine guerre de Sécession, la nouvelle de la fin de l’esclavage met donc deux ans et demi à arriver dans les États sudistes, et notamment au Texas où se trouvaient les derniers esclaves.
Une union bipartisane assez rare
D’ailleurs, ce sont deux élus de cet État, la démocrate Sheila Jackson Lee et le républicain John Cornyn, qui ont introduit le texte pour faire de « Juneteenth » un jour férié fédéral. Une union bipartisane assez rare. D’autant plus que l’année dernière, elle avait été bloquée par un sénateur républicain.
Multiplication des appels au vote
Depuis la mort de George Floyd, les appels au vote de cette législation se sont multipliés. Jusqu’ici, « Juneteenth » n’était célébrée que dans certains États, au niveau local. Souvent l’occasion pour les communautés noires de commémorer leur histoire à travers des défilés, des concerts, des spectacles et des pique-niques en famille. Ch.N.