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Burundi - Anniversaire

Spécial « coup d’Etat du 3 septembre 1987 »

2 septembre 2014

Ce mercredi 3 septembre 2014, 27 ans jour pour jour se seront écoulés après le putsch militaire qui mit fin aux 11 ans de pouvoir de Jean-Baptiste Bagaza. C’était le 3 septembre 1987 et le major Pierre Buyoya profita de l’absence de l’homme né à Rutovu comme lui 3 ans avant pour s’emparer du pouvoir. Une anecdote qui circule depuis lors dans les salons voudrait que Bagaza aurait hésité de faire le voyage vers le lointain Canada, sur insistance de son sorcier privé, mais à la demande de Jacques Chirac, alors premier ministre de la première cohabitation en France sous François Mitterand, il se résolut à braver les sombres pressentiments du magicien

L’homme qui osa « faire ça »

Lorsque le colonel Jean-Baptiste Bagaza est désigné par ses compagnons du mouvement du 1er novembre 1976 pour piloter la IIème République, ses tâtonnements du début de mandat, son esprit de collégialité s’effacèrent petit à petit pour laisser la place à un homme à poigne, au pouvoir solitaire et totalitaire.

Parvenu au sommet de sa puissance et de sa gloire, il prit des décisions totalement irréfléchies comme le conflit Eglise-Etat fabriqué de toutes pièces ou la « dérwagasorisation » destinée à effacer de la mémoire collective l’image du seul homme qui faisait l’unanimité entre Hutu et Tutsi.

Il se croyait tellement et solidement installé au pouvoir au milieu des années 80 qu’il aurait été déclaré à un groupe de proches : »Je ferai au moins 30 ans, et après, je verrai ». C’est pourquoi l’homme qui « osa » le destituer il y a 27 ans ne fut pas n’importe qui, d’autant plus que Pierre Buyoya, chef du G3 à l’état-major de l’armée chargé de l’instruction et des opérations militaires, était décrit comme un homme taciturne et timide, incapable même d’écraser une mouche.

Mais derrière ces apparences se cachait l’image d’un chef militaire décidé à aller directement au front, d’un homme politique calme et réfléchi qui ne ferait rien au hasard, comme il en fera la démonstration éclatante jusqu’à la signature des accords d’Arusha en août 2000.

Même Bagaza finira par reconnaître en son tombeur toutes ces qualités après ses multiples tentatives de retrouver son pouvoir perdu, affirmant tardivement que le major Buyoya était un de ses meilleurs officiers les plus brillants. Pourquoi alors ne pas avoir tenu compte des avertissements de son sorcier ?

Pendant ce temps, dans la ville de Québec…

En raison du décalage horaire, l’annonce du coup d’état à Bujumbura en début d’après-midi peu après 13 heures, coïncida avec la petite matinée dans la ville de Québec où se tenait le sommet de la francophonie. Il était 5 heures du matin passées de quelques minutes, lorsque l’ancien président fut réveillé par un appel téléphonique terrible, funeste et « mortifère » lui annonçant sa destitution. Au bout du fil, Laurent Ndabaneze, le lointain prédécesseur d’Adolphe Nshimirimana à la tête du service national des renseignements.

Selon un membre de la délégation qui l’accompagnait mais qui a toujours requis l’anonymat, Bagaza aurait alors appelé un à un tous ceux qui avaient voyagé avec lui et qui étaient logés dans le même hôtel. Ils le rejoignirent dans un des salons faisant partie de la suite présidentielle et le trouvèrent très énervé.

Si l’on en croit le témoignage de notre interlocuteur qui était membre du dernier gouvernement de la IIème République et qui arriva le dernier, il trouva tout le monde dans un silence de mort, la main sur une joue et la tête penchée en avant, les uns et les autres abasourdis par ce qui venait de se passer à plus de 10.000 km de là.

L’ancien président rompit alors le silence et, s’adressant au dernier venu, lui dit alors en l’appelant par son nom : « N., usanze tumeze nk-umupfumu apfanywe n-umuntu » = « Tu nous trouves pareils à un sorcier (encore un !) qui n’a pu sauver de la mort son patient) ».

Bagaza se serait alors levé pour faire rapidement les 4 pas dans le salon se dirigeant dans tous les sens pour dire et répéter avec nervosité qu’il n’accepterait jamais le coup de massue qui venait de s’abattre sur lui. Les membres de la délégation auraient alors pris peur et tenté laborieusement de le calmer.

Lorsqu’il se rassit dans son fauteuil et après avoir retrouvé un calme relatif, ils lui recommandèrent doucement mais difficilement qu’il accepte le coup de sort qui venait de s’abattre sur lui et sur « tous les Burundais ». Ils lui expliquèrent en substance que son retour serait catastrophique pour l’unité du pays et surtout de l’armée nationale, car si Buyoya venait de réussir son coup, c’est qu’il avait des partisans malgré tout. Il céda momentanément à ce dernier argument (ie affrontement très sanglants au sein de l’ancienne armée « monoethique tutsi »). Mais très vite, le naturel revint au galop, et sans aviser personne, il alla prendre l’avion à l’aéroport pour joindre Paris, afin de ne pas rater le boeing 747 d’Air France qui faisait la liaison bihebdomadaire (mardi et vendredi) entre la capitale française et la capitale burundaise étant entendu que Le 3 septembre 1987 était un jeudi.

La suite est connue : Comme d’habitude, l’appareil d’Air France fait d’abord escale à Kigali avant de se poser à Bujumbura. Mais comme l’entourage de Buyoya était déjà au courant de l’arrivée imminente d’un voyageur indésirable, Habyalimana, en raison de ses très mauvaises relations avec Bagaza, informa les membres de l’équipage que le boeing est interdit de survoler l’espace aérien burundais et que toutes les pistes d’atterrissage sont bloqués par des Blindés.

Bagaza prend alors le chemin de Kampala chez son ami Museveni où il s’installe momentanément avant d’aller à Tripoli chez un autre « ami », le colonel Kadhafi où il trouve asile jusqu’à la victoire de Ndadaye en 1993. Celui-ci lui donne le feu vert de rentrer dans son pays après un exil interminable de 7 ans, les mêmes 7 ans durant lesquels il avait contraint à l’exil en Somalie son prédécesseur, lui aussi de Rutovu, Michel Micombero. Mais ça c’est une toute autre histoire sur laquelle reviendra la rédaction de « Net Press » en temps opportun.

Un grand tournant dans l’histoire politique post-coloniale

N’eussent été les événements sanglants de Ntega et Marangara à partir du 15 août1988, nul ne saurait dire quelle aurait été la politique que le major Buyoya aurait menée par rapport à la question ethnique burundaise.

Confronté à une énième crise tachée de sang comme 1965, en 1969 et surtout en 1972 entre Hutu et Tutsi, le fondateur de la IIéme République décida alors d’en finir une fois pout toutes avec cette question en prenant le taureau par les cornes. Il prit alors la décision de faire ce qui aurait été inimaginable sous Micombero et sous Bagaza, en désignant un premier ministre d’ethnie Hutu, Adrien Sibomana et en mettant en place un gouvernement à parité ethnique composé à 50% par des ministres tutsi et à 50% par des ministres hutu et fit la même chose du côté des gouverneurs de province.

L’immense majorité de Tutsi fut prise de panique et cria à la trahison, mais le major n’en avait cure. Il poursuivit cette politique d’ouverture vers la majorité ethnique de la population burundaise et plutôt que de « punir » ceux qui avaient poussé aux massacres de Tutsi, il leur construisit des maisons, les affecta à des postes juteux dont ceux de chefs des missions diplomatiques en poste à l’étranger, espérant qu’il allait en tirer des dividendes en terme électoral. Mais dès que la première occasion se présenta, il en fut autrement et ce fut le ciel qui lui tomba dessus à la présidentielle du 1er juin 1993 comme nous l’expliquons dans la dépêche qui suit.
Comment expliquer « l’ingratitude » des électeurs hutu ?

Nous venons de l’écrire, Pierre Buyoya s’attendait à ce que les électeurs de la majorité ethnique lui disent « merci » dans les urnes, pour avoir mis fin à leur exclusion dans la gestion des affaires de leur pays. Mais les résultats proclamés au soir du 2 juin 1993 montrèrent que les électeurs hutu avaient choisi un des « leurs », Melchior Ndadaye, avec un score avoisinant les 65%.

Le vote fut donc « ethnique » comme s’en alarmèrent manifestants tutsi qui envahirent les rues dès la mi-journée, du lendemain contestant par là le côté « démocratique » du scrutin. Certains y virent les prémisses de ce qui allait se passer le 21 octobre 1993 avec l’assassinat du président élu, une centaine de jours seulement après son investiture.

Mais pour revenir sur le vote du 1er juin 1993, les électeurs hutu estimèrent sans doute qu’en massacrant les Tutsi 5 ans auparavant, ils avaient en quelque sorte poussé le régime de la IIIème République à les reconnaître comme ayant les mêmes droits que leurs compatriotes de l’ethnie minoritaire. En résumant de façon cynique, ils avaient eu « le mérite » de verser du sang pour accéder aux postes de responsabilité.

Si Buyoya les avaient appelés à se joindre à lui aussi massivement dès le 4 septembre 1987, nul doute qu’il n’y aurait jamais eu, ni Ntega et Marangra, ni le « tsunami » électoral du 1er juin 1993.

Le rêve définitivement brisé de Jean-Baptiste Bagaza

Lorsque le colonel Bagaza est évincé du pouvoir le 3 septembre 1987, le fondateur de la IIème République croit que son retour au pouvoir ne serait qu’une question de quelques années, tellement il est persuadé que le fauteuil présidentiel a été conçu pour lui et pour lui seul. Et d’ailleurs, lorsqu’il évoque ce qui se passa le 1er novembre 1976, il ne parle pas de « putsch militaire », mais bel et bien de révolution ». Une bien curieuse conception d’une « révolution » qui se déroule avec l’appui des blindés.

Son rêve fut à deux doigts de se réaliser en juillet 1996, lorsque le chaos provoqué sous la présidence de Sylvestre Ntibantunganya pousse ce dernier à fuir à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique, laissant le fauteuil présidentiel vide.

L’ancien président attend à son domicile que les milliers de ses partisans viennent le porter en triomphe pour l’installer à la place tant convoitée, lorsque Pierre Buyoya prend de court et récidive le coup du 3 septembre 1987. Bagaza ressent l’annonce de l’ancien ministre de la défense, le colonel Firmin Sinzoyiheba comme « un coup de poignard dans le dos » et le fera savoir dans un communiqué de presse publié le lendemain.

Dès lors, il tente de survivre au 2ème coup du sort via le Parena (Parti pour le redressement national) qu’il avait fondé. Mais il ne voit pas les voix des électeurs venir à lui, et suprême humiliation aux élections de 2005, son parti n’obtient aucun député à l’assemblée nationale, alors que le Mrc-Rurenzangemero d’Epitace Bayaganakandi en a au moins trois.

Finalement, en remettant les destinées de son parti entre les mains de Zénon Nimubona, il y a quelques mois, Jean-Baptiste Bagaza, converti au réalisme, a reconnu que son rêve de revenir à la tête du pays venait de se briser définitivement et qu’il devenait un citoyen lamda comme un autre.

De tous ces trois ex-encore en vie, l’homme à la santé de fer politique indéniable

Ni Jean-Baptiste Bagaza, ni Sylvstre Ntibantunganya, ni Domitien Ndayizeye, personne de ces trois ex-chefs d’Etat encore en vie n’a la santé politique comparable à celle de Pierre Buyoya. Même sur le plan se sa santé physique, il se porte comme un charme, en raison des exercices physiques auxquels il se soumet chaque jour et d’une bonne alimentation équilibrée qui fait le bonheur de l’organisme d’un homme âgé aujourd’hui de 65 ans.

Par rapport aux 3 autres ex-, il est le seul dont parlent les médias nationaux et étrangers, et même s’il a peu de chances d’être élu comme prochain secrétaire général de la francophonie en raison de la double opposition canadienne et québécoise, sa place au sein de l’Union africaine et sa position de médiateur dans différents conflits africains restent et resteront pérennes durant de longues années encore.

Burundi – Justice

Le président de l’Adc-Ikibiri en audience publique ce matin

Bujumbura, le 2 septembre 2014 (Net Press) . M. Léonce Ngendakumana, président de l’Adc-Ikibiri, a comparu ce matin au tribunal de grande instance en mairie de Bujumbura. L’audience a été fixée suite à deux plaintes déposées par le parti Cndd-Fdd et la radio Rema Fm contre M. Léonce Ngendakumana. Les deux plaignants l’accusent de propagation d’informations divisionnistes et de dénonciations calomnieuses à travers la correspondance adressée le 6 février 2014 au secrétaire général des Nations Unies, Ban-Ki-Moon. Celle-ci avait pour objet, la prévention d’une catastrophe humanitaire.

Le ministère public a requis contre Léonce Ngendakumana, une peine d’emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 100.000Fbu. La partie civile constituée par le Cndd-Fdd et la radio Rema Fm a requis respectivement contre lui une amende de 10 millions et 100 millions de nos francs. L’affaire a été prise en délibéré.

Rappelons que le 17 avril 2014, le président de l’Adc-Ikibiri avait été interrogé pendant plus de 4 heures sur ce sujet par le substitut du procureur de la République en mairie de Bujumbura.

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