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Burundi – Sécurité4 mai 2023
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Burundi – Médias3 mai 2023
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Burundi – Politique – Sécurité2 mai 2023
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Burundi – Sécurité1er mai 2023
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Burundi – Société - Sécurité29 avril 2023
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Burundi – Eac – Sécurité28 avril 2023
|Le commandant de la force régionale de l’Eac rend le tablier

Burundi – Justice27 avril 2023
|Comparution de l’ancien premier ministre Alain Guillaume Bunyoni ?

Burundi – Sécurité – Environnement26 avril 2023
|Les habitants de Kanyosha désemparés…

Burundi – Sécurité25 avril 2023
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Burundi – Sécurité24 avril 2023
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Burundi – Justice21 avril 2023
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Burundi – Sécurité20 avril 2023
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Burundi – Justice14 avril 2023
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Burundi – Sécurité12 avril 2023
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Burundi – Justice10 avril 2023
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Burundi - Tanzanie - Sécurité

Un nombre impressionnant de réfugiés burundais disparus en Tanzanie

4 avril 2020

Nduta, le 4 avril 2020 (Net Press) . Entre 170 et 200 réfugiés burundais ont disparu dans différents camps de réfugiés en Tanzanie en moins d’une année. C’est du moins ce qui est rapporté par des défenseurs des droits de l’homme dans les camps de réfugiés des 6 pays de la région, dont la Tanzanie.

Ils évoquent de graves violations des droits de l’homme comme les assassinats, les disparitions forcées et arrestations arbitraires. Selon toujours ces activistes, des juridictions internationales pourraient être saisies sur ces cas. Ils notent que la Tanzanie enregistre le plus grand nombre de violations des droits des réfugiés.

Les trois camps de réfugiés de Tanzanie, à savoir Nduta, Mtendeli et Nyarugusu enregistrent presque la totalité de ces violations, dont 120 au seul camp de Nduta parmi les 200 cas répertoriés. L’on saura que la période observée s’étend de juin 2019 à mars 2020. Ces activistes estiment en outre que certains agents du Hcr dévoilent les secrets des réfugiés qui avancent les mobiles politiques comme raison de demande d’asile.

L’on apprend donc que ceux qui fuient des mobiles politiques sont souvent victimes d’enlèvements, surtout ceux qui ont manifesté contre le troisième mandat controversé de 2015. Ce sont également les anciens militaires et policiers qui ont déserté ces corps ainsi que les activistes de la société civile. Ch.N.

Burundi - Politique

Le parti pour le redressement national (Parena) interpelle le parlement burundais

Bujumbura, le 4 avril 2020 (Net Press). D’emblée, ce parti trouve que pour n’avoir pas été conforme à l’Accord d’Arusha, la constitution de 2005 a produit des milliers de morts et de réfugiés. Il craint que l’actuelle constitution qui l’enterre définitivement ne puisse en produire davantage car, selon cette formation politique, rien n’expliquerait à l’heure actuelle pourquoi elle ignorerait l’accord d’Arusha encore en vigueur comme loi alors que c’est de lui qu’elle tirerait toute sa légitimité.

Pour cela, le Parena demande au parlement, actuellement en session, de se prononcer si oui ou non la constitution burundaise, pour être légitime, doit préalablement se référer à la loi n° 01/07 du 1er décembre 2000 portant adoption de l’accord d’Arusha aussi longtemps qu’elle n’est pas abrogée.

Dans le cas contraire, le Parena invitera l’opinion nationale à se poser la question de savoir pourquoi perdre son temps et son argent pour aller voter les institutions qui alimentent les divisions et qui ne cherchent pas à s’en sortir. A ceux qui pensent que dans pareilles conditions les élections constituent une panacée, le Parena estime que c’est plutôt l’inverse, qu’elle sont comme une malédiction depuis leur introduction en 1958.

Pour le Parena, les premières élections ont opposé en 1961 Rwagasore à ses cousins Birori et Ntidendereza et ils ont tous payé de leur vie. En 1965, elles ont opposé les parlementaires hutu et tutsi de l’Uprona. Les Hutu non contents d’avoir perdu la partie ont organisé des massacres des Tutsi à Bukeye et à Busangana, dans la province de Muramvya.

En 1972, les mêmes perdants de 1965 ont encore attaqué au Sud du pays, tuant systématiquement les Tutsi sur leur passage. Une répression sanglante emporta des milliers de Hutu dans tout le pays et dans le cadre extrajudiciaire. En 1993, les élections ont opposé l’Uprona et le Frodebu, l’un qualifié de tutsi et l’autre de hutu. Des massacres des Tutsis s’en sont suivis dans tout le pays après l’assassinat du président Ndadaye et de ses proches collaborateurs.

Aujourd’hui, constate le Parena, le tour des affrontements non moins mortels se passe entre le Cnl et le Cndd-Fdd, en s’accusant mutuellement qu’ils sont pro-tutsi. Cette formation politique pense que les Tutsi méritent mieux que ce jeu de Pingpong que se livrent les partis hutu. L’accord d’Arusha venait donc résoudre définitivement toutes ces crises nées des élections, mais voici que les mauvais rédacteurs de la constitution de 2005 en ont décidé autrement.

C’est pour ces raisons que le Parena interpelle le parlement burundais de prendre le taureau par les cornes et de se prononcer sans se dérober sur la question de savoir si oui ou non l’accord d’Arusha est une loi à laquelle la constitution doit préalablement se conformer avant de prétendre organiser des élections légales et légitimes. Autant la première crise politico-ethnique est venue du parlement, autant ce serait à son honneur si elle trouverait une solution la plus heureuse, conclut le Parena. J.M.

Burundi - Malversations Economiques

L’Olucome n’attend presque rien de la commission de surveillance des dirigeants en fin de mandats

Bujumbura, le 4 avril 2020 (Net Press) . Le président de la République a mis en place au mois de décembre dernier une commission de surveillance des mandataires en fin de mandats pour que ces derniers ne détournent pas les deniers publics. Cette commission a été confiée à Elysée Ndaye, qui est en même temps président de la cour des comptes.

Pour l’Olucome, cet homme est à la fois au service de l’exécutif et de l’assemblée nationale, d’où il y a incompatibilité de servir deux institutions nettement séparées. Sur le plan juridique, poursuit l’Olucome, le président de la République a promulgué une loi anti-corruption le 18 avril 2006 visant la mise en application de la convention des Nations unies contre la corruption et celle de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre l corruption.

Selon toujours cet observatoire, les deux conventions ont été ratifiées par le Burundi le 18 janvier 2005. Il ne comprend pas donc comment les infractions de blanchiment d’argent, d’enrichissement illicite et de la non déclaration en entrant ou en sortant des fonctions de l’Etat ne sont pas clairement définies dans ladite loi.

Depuis donc cette période, déplore l’Olucome, ces infractions ne sont pas réprimées au Burundi. Par ailleurs, les institutions de lutte contre la corruption n’ont pas les prérogatives de mener des investigations car la constitution du Burundi prévoit les privilèges de juridiction. Les dignitaires qui sont protégés par la constitution sont le président de la République, les deux vice-présidents, les présidents de l’assemblée nationale et du sénat, les ministres, les généraux ainsi que toute personne nommée par décret alors qu’ils sont soupçonnés de détourner les deniers publics.

Loin donc de remplir sa mission, l’Olucome trouve qu’elle ne va pas aboutir, que c’est une autre forme de protéger ceux qui vont détourner les fonds publics à la fin de leurs mandats. Il demande pour cela aux candidats aux présidentiels de mai 2020 de montrer comment ils vont lutter contre la corruption. N.R.

Burundi - Commerce

Pénurie du sucre : un feuilleton sans fin...

Bujumbura, le 4 avril 2020 (Net Press) . Cela fait plus de deux mois que les "Bujumburais" peinent à trouver du sucre. Le mystère est total car la société sucrière du Moso, Sosumo, qui fabrique ce produit, dit que sa quantité n’a jamais diminué, estimant que les commerçants de ce produit stratégique s’adonnent à des spéculations pour gagner un peu plus.

Mais le grand problème est que les commerçants, qui avancent que trouver du sucre est un problème sérieux, le vendent à un prix élevé, advienne que pourra. Malgré des sanctions prises à leur endroit, le prix du sucre ne diminue pas et le prix du kilo coûte entre 3.000 et 3.500 Fbu alors qu’officiellement, le prix ne devrait pas dépasser 2.500 Fbu. Il y en a qui ont renoncé à la commercialisation de ce produit pour ne pas s’attirer des foudres de l’aeministration.

Mais également, un autre problème non moins important est que le ministère chargé du commerce et la Sosumo ne donnent pas le même chiffre du prix au kilo. Si la Sosumo parle de 2.500 Fbu, le ministère communique souvent que le prix du kilo du sucre revient à 2.400 Fbu, ce qui désoriente les commerçants de bonne foi qui le reçoivent dans les conditions normales. D.N.

Burundi - Santé

Des personnes retenues pour manque de frais d’hôtel à Kirundo

Kirundo, le 4 avril 2020 (Net Press) . Selon des informations en provenance de la province de Kirundo, au Nord du pays, 6 personnes sur 15 mises en quarantaine devraient rentrer ce samedi 4 avril car leur santé est bonne, donc n’ont pas développé le virus corona. Mais elles ont été retenues car elles n’ont pas pu payer les frais de l’hôtel où elles ont vécu pendant 14 jours.

Selon les mêmes sources, ces personnes ont occupé 3 chambres mais le propriétaire réclame un paiement pour 7 chambres car, dit-il, depuis que l’hôtel est conçu comme un lieu d’isolement, aucun autre client ne l’a fréquenté, d’où les 6 personnes doivent payer, en d’autres termes, les pots cassés.

Il semble que la facture d’hôtel s’élève à 728.000 Fbu et les personnes confinées ont indiqué qu’elle n’ont pas d’argent car ils se sont pris en charge durant ce temps et qu’il ne leur reste rien comme économies. Au moment où ces personnes demandent aux âmes charitables de leur venir en aide, le gouverneur de province propose que leurs familles paient la note avant qu’elles ne rentrent. N.R.

Burundi - Usa - Politique

"Procès en destitution de Trump : Michael Atkinson, à l’origine de l’alerte au Congrès, limogé", dixit Rfi

Washington, le 4 avril 2020 (Net Press) . Dans une lettre à la commission du renseignement du Sénat, Donald Trump écrit qu’il a perdu confiance en Michael Atkinson, l’inspecteur général des services de renseignement.

Loin du coronavirus, dans les salons de la Maison Blanche, Donald Trump continue d’évincer plus ou moins discrètement les haut-fonctionnaires impliqués dans la procédure de destitution qui a visé le président au début de l’année. Dernière victime en date : l’inspecteur général du renseignement, Michael Atkinson, nommé en 2017 par Donald Trump lui-même.

« Je n’ai plus confiance en lui » écrit Donald Trump. Cela faisait des mois que le bruit courait. Le patron de la Maison Blanche ne voulait plus de Michael Atkinson au sein de son administration. « Il est essentiel que j’aie une confiance totale dans les fonctionnaires qui servent comme inspecteurs généraux. Ce n’est plus le cas avec l’actuel inspecteur général », écrit Donald Trump aux deux principaux sénateurs de la commission du renseignement, le républicain Richard Burr et le démocrate Mark Warner, sans décrire les motifs exacts de sa perte de confiance.

L’inspecteur général du renseignement est puni, car c’est lui qui avait permis le procès en destitution du président américain. En effet, en août 2019, Atkinson reçoit la plainte d’un lanceur d’alerte selon lequel Donald Trump abuse de ses pouvoirs diplomatiques et fait chanter l’Ukraine afin d’en tirer un bénéfice personnel. Le président américain et le président Zelensky niaient que leur entretien téléphonique ait donné lieu à une quelconque pression sur l’Ukraine.

Mickael Atkinson étudie le dossier, interroge plusieurs témoins et finit par juger crédibles ces accusations. Comme la loi l’y autorise, il décide d’alerter les parlementaires. Ce sera le début de la procédure lancée contre Donald Trump. Atkinson témoignera devant une commission de la Chambre en charge d’enquêter sur les allégations du lanceur d’alerte anonyme. La Maison Blanche ne voulait pas que des membres de l’administration soient entendus.

Aujourd’hui, le président a été acquitté, Atkinson, lui, prend la porte, comme la plupart des fonctionnaires qui ont osé témoigner contre Donald Trump. D.N.

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